Le saccage des principes de la Républiqu Française sous le joug des socialistes…
--Sous le règne de Nicolas Ier dit Sarko…les saccages étaient permanent….Sous le règne de « Hollande le petit président du peuple français », les saccages se poursuivent, se renforcent…
Où est le changement…tant promis et répété …. ???---
Peut-être que le socialo Hollande comme son prédécesseur de droite….
Œuvrent-il à la mise en place d’une guerre civile…en France…
Avec intervention de l’Onu… de l’Otan…des miliciens salafo-quataris…avec soutien des services secret de Tel Aviv…Des Usa… ?
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1)Justice et équité ? :
....Seulement « le règne du deux poids deux mesures » :
Agression antisémite du train Toulouse-Lyon: Les arroseurs arrosés ?
Par Farid Merrad
Un adolescent juif de 17 ans, témoin direct dans l'affaire Merah a été selon ses dires victime d'une sauvage agression mercredi soir dans un train reliant Toulouse à Lyon.
Un parallèle insistant a été fait entre cette présumée agression antisémite et l'affaire du "jihadiste de la Ville rose" Mohamed Merah par diverses institutions juives de France relayé par la presse nationale dans son ensemble.
Mercredi soir, le jeune Lior, scolarisé en 1ère ES au lycée juif Ozar Hatorah de Toulouse où il venait de passer son bac français avait pris le TGV pour rejoindre à Villeurbanne en banlieue lyonnaise sa famille pour passer ses vacances d'été.
Deux jeunes gens âgés de 18 ans, d'origine maghrébine, au casier judiciaire vierge selon des sources policières, ont embarqué en gare de Montpellier à bord du TGV et se rendaient dans un centre de recrutement militaire à Lyon, avec l’intention de s’engager dans l’armée française.
C'est dans les locaux de l'ex caserne Frère que les deux jeunes suspects ont été arrêtés jeudi en fin de matinée par les enquêteurs de la sûreté départementale du Rhône et placés immédiatement en garde à vue.
La garde à vue des deux agresseurs présumés a été prolongée vendredi à Lyon, les enquêteurs devant déterminer notamment si cette agression revêt ou non un caractère antisémite.
Les deux suspects ont démenti formellement le caractère antisémite de leur geste.
Lior, la victime présumée, portait une étoile de David autour du cou, et a été pris à partie dans le train à hauteur de Valence.
Il a été roué sauvagement de coups par deux maghrébins au niveau de la plate-forme des toilettes. Un simple coup de téléphone passé depuis le train à son frère pour lui demander de venir le chercher à la gare, car sa mère retenue au travail ne pouvait se déplacer, aurait déclenché l’agression.
Une attaque motivée par l’énoncé au téléphone du prénom juif du frère de la victime, selon les déclarations du plaignant.
"L'un m'a demandé de le suivre sur la plateforme. Je m'exécute, pensant que nous allons avoir une simple explication.
C'est alors qu'il commence à me frapper.
Il est ensuite rejoint par son ami. Durant la bagarre, seul l'un des deux a fait référence à mon judaïsme", a ajouté la victime.
"Seule l'intervention d'un passager et des contrôleurs de la SNCF a pu mettre un terme aux violences", avait précisé le ministère de l'Intérieur dans un communiqué.
Lors de l’arrêt du train à la gare de Valence, des agents de la police ferroviaire ont contrôlé et relevé l’identité des deux agresseurs laissés libres faute de plainte du jeune homme qui a voulu poursuivre son voyage.
Ce n’est que lorsque la victime a raconté l’agression à ses parents qu’ils se sont rendus au commissariat pour porter plainte.
Tsyon, le frère de la victime raconte: "Je suis venu chercher Lior à la gare à Lyon, et je l'ai emmené immédiatement au commissariat pour porter plainte.
D’après ce que mon frère m’a dit, ils se sont acharnés sur sa tête et sa nuque. C’est de la haine gratuite.
Je ne pense même pas que ses agresseurs le connaissaient personnellement. Ils l’ont tapé... Même un animal, on ne le tape pas comme ça », explique le jeune homme, choqué.
« Mon frère est un citoyen comme tout le monde, que ce soit un juif ou n’importe qui. On est tous Français, je ne vois pas pourquoi on aurait cette haine comme ça, envers une personne."
Un médecin généraliste a délivré une incapacité totale de travail de huit jours voire dix selon d'autres sources.
"Une première altercation s’ensuit lorsque le train est à l’approche de Valence.
Là, Lior est pris à partie par l’un des deux jeunes majeurs. Puis il est tabassé et frappé au thorax.
Il a voulu s’éloigner d’eux et changer de place.
Mais l’un de ses agresseurs l’a poursuivi dans le couloir entre deux wagons et il a été roué de coups", raconte Nicole Yardeni, la porte-parole du Conseil représentatif des institutions juives de France –Crif- pour la région Midi-Pyrénées.
Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, avait condamné cette agression, jugeant que "ces actes d'une extrême violence sont inadmissibles".
Dans un communiqué, il s'est dit déterminé "à combattre toutes les résurgences de ce mal profond qu'est l'antisémitisme qui est une offense aux valeurs et à l'histoire de notre République".
"Les instructions de vigilance et de fermeté dans la lutte contre les actes antisémites seront renforcées".
"Les lois de la République prévoient en réponse des sanctions sévères", avait martelé le ministre.
"Cette agression est un attentat de plus contre la citoyenneté française, contre le pacte fondamental citoyen", s’insurge Me Simon Cohen, l’avocat des victimes de la tuerie à l’école Ozar-Hatorah, ulcéré.
"Nous sommes face à une jeune génération qui a pour culture l’antisémitisme", affirme Nicole Yardeni, qui a passé des semaines à faire effacer des tags antisémites qui ont fleuri sur les murs dans l’agglomération toulousaine après l’affaire Merah.
"Cet antisémitisme permanent fait partie de l’éducation de certains", déplore Me Alain Jakubowicz, le président de la Ligue contre le racisme et l’antisémitisme.
"Personne ne doute au sein de la communauté juive qu'il s'agit d'un acte antisémite.
On n'attaque pas quelqu'un sans raison, ou pas simplement parce qu'il téléphonait", a affirmé de son côté Richard Wertenschlag, grand rabbin de Lyon.
Jean-Michel Baylet --Parti radical de gauche--: "Les Radicaux de gauche s'inquiètent de la multiplication des actes antisémites depuis l'affaire Merah.
Il n'est pas acceptable, dans notre République, que l'on puisse être agressé à cause de ses convictions religieuses ou philosophiques.
Ils rappellent que l'éducation à la laïcité est le meilleur moyen de lutter contre les préjugés qui alimentent l'antisémitisme et toutes les formes d'intolérance."
"Depuis l’affaire Mohamed Merah, nous pensions que cet évènement tragique aurait participé à une prise de conscience de la gravité de la situation concernant l’antisémitisme en France, mais il n’en est rien", déplore Patrick Kahn, porte-parole de la ligue contre le racisme et l’antisémitisme –Licra- en Rhône-Alpes.
Au contraire : selon la Licra, depuis l'affaire Merah, les actes antisémites ont augmenté de 53%.
Mais tout le territoire n'est pas concerné de manière égale : "La région Rhône-Alpes, avec l’Ile-de-France, est l’une des régions qui posent le plus de problèmes.
Le dernier évènement de Villeurbanne [en juin dernier] le démontre encore une fois", explique Patrick Kahn. "Il va falloir qu’on regarde ensemble les raisons qui amènent aujourd’hui des jeunes notamment issus de l’immigration à agresser, tuer des juifs en France".
Marcel Amsallem, le représentant du Conseil représentatif des institutions juives de France –CRIF- à Lyon.
"C’est un double traumatisme pour la victime, car c’est un garçon scolarisé lors de la tuerie à Toulouse, à l’école Ozar Hatorah.
Il a assisté aux assassinats, son meilleur ami a été grièvement blessé. Et puis il se retrouve dans un train, et se fait agresser à son tour. L’acte violent s’installe en France. Il y a une détestation, avec des appels à la haine du juif.
Ce que j’espère, c’est que l’on puisse condamner ces deux agresseurs d’une manière lourde, parce que ça servira d’exemple".
"Depuis la tuerie, Lior a organisé la surveillance de l’internat du centre Ozar-Hatorah, avec sa lampe de poche, comme hanté par ce qu’il avait vu et pour protéger les 50 autres internes de cet établissement meurtri" raconte un membre de la communauté scolaire de Toulouse.
Pendant de longues minutes avant l’arrivée des secours à l’école Ozar-Hatorah à Toulouse le 19 mars, Lior, avait tenté de porter secours à Gabriel et Arieh Sandler, deux des sept victimes de Mohamed Merah, le "tueur au scooter".
Il était l’un des premiers témoins de cette scène terrible où le " jihadiste de la Ville rose" avait d’abord abattu ces deux enfants et leur père, le rabbin Jonathan Sandler, puis poursuivi dans la cour de l’école la toute jeune Myriam Monsonégo, la fille du directeur de cet établissement scolaire avant de la tuer.
Il se trouvait juste à côté de la fillette tuée et a même tenté de ranimer le petit garçon de trois ans en lui faisant du bouche-à-bouche.
«Il a été épargné par chance".
L’ami d’internat de Lior n’est autre que Bryan Bijaoui, l’adolescent de 15 ans laissé pour mort par Merah ce jour-là".
La Licra a demandé "la convocation en urgence d'une réunion interministérielle".
Une source judiciaire avait évoqué, jeudi soir, des "témoignages contradictoires", avançant prudemment que dans le cadre du début de l'enquête, "le caractère antisémite de l'agression", pourtant avancé par le ministère de l'Intérieur, "n'était pas encore avéré".
"Les faits de violences sont là, par pluralité d'auteurs et dans un moyen de transport, mais il faut continuer à recueillir des témoignages, notamment des passagers de la rame, pour considérer un caractère antisémite", a ajouté cette source.
La garde à vue des deux jeunes hommes, âgés de 18 ans, a été prolongée vendredi matin pour 24 heures supplémentaires et feront l'objet samedi d'une information judiciaire pour "violences aggravées", alors que l'accusation d'"antisémitisme" doit encore être soumise à des "investigations", a déclaré une source judiciaire vendredi.
Un des agresseurs présumés a porté plainte contre la victime pour coups et blessures, estimant avoir subi des violences de la part de la victime présumée, a indiqué une source proche de l'enquête.
L'affaire est plus compliquée que ce qu'il n'y paraissait au départ, alors que le ministre de l'Intérieur dénonçait un acte antisémite, les enquêteurs se montrent désormais très prudents.
La victime qui voyageait sans titre de transport et ses agresseurs présumés donnent en effet deux versions des faits différentes.
De leur côté, les deux suspects, arrêtés et placés en garde à vue jeudi matin, expliquent que s'ils s'en sont pris au jeune homme, c'est parce qu'il ne cessait de téléphoner et parlait très fort dans le wagon, dérangeant les autres voyageurs et notamment un bébé qui dormait. Ils assurent qu'ils ne savaient pas que la victime était juive et soutiennent ne pas avoir tenu de propos antisémites.
Les premiers témoignages de voyageurs recueillis par les enquêteurs vont dans le sens des deux jeunes maghrébins, agresseurs présumés, indique la police.
Personne n'a entendu d'insultes à caractère antisémite. Mais les enquêteurs cherchent encore à interroger tous les passagers qui se trouvaient dans le wagon au moment de l'agression.
Les enquêteurs ont réussi à déterminer que c'est la victime du passage à tabac qui a en fait porté le premier coup.
Le lycéen a expliqué avoir donné un coup de tête car il se sentait menacé !!!
Les chefs d'accusations se désagrègent lentement mais sûrement....
L'audition des autres passagers du TGV Toulouse-Lyon sera déterminante pour le rétablissement de la vérité sur ce triste fait divers monté en épingle à des fins de politique intérieure par un lobbie arrogant qui n'existe pas, toujours victimisant, pleurnicheur, vindicatif voire antisémite à l'égard des maghrébins.
Les enquêteurs ont de plus un héroïque témoin visuel direct de l'affaire Merah sous la main....
"La Vérité doit être sans cesse répétée parce que l'Idée Fausse est aussi constamment répandue et pas par quelques-uns, mais au contraire par la multitude.
Dans la Presse et les Encyclopédies, dans les Ecoles et les Universités, partout l'Idée Fausse exerce son emprise.... contente et à l’aise de savoir qu'elle a la Majorité de son côté."
---Johann Wolfgang Von Goethe--
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Eh oui certains ont tous les droits même d'accuser, de manipuler les faits et de tabasser en toute impunité comme le raconte Jacob Cohen ci-dessous, et d'autres n'en ont aucun même pas celui de demander à un membre de cette communauté "sacrée" comme dit Emamnuel Todd de respecter la loi qui interdit de téléphoner dans les compartiments..
Soutenons les rares personnes qui osent se rebeller contre ce nouveau macchartysme...
Lettre ouverte à M. Manuel Valls, ministre de l’Intérieur
Monsieur,
Ce qui se passe en ce moment en France vous déshonore.
Je vous dénie le titre de Républicain.
Le 12 mars 2012, j’ai été agressé, en tant qu’écrivain juif antisioniste, par la Ligue de défense juive, qui a filmé et posté l’agression. Vos services n’ont pas levé le petit doigt pour les arrêter.
Se sentant dans une totale impunité, et bénéficiant des protections dues aux judéo-sionistes, la LDJ a récidivé aujourd’hui.
Plainte a été déposée au commissariat du 4e. Mais je ne me fais aucune illusion sur la suite.
Vous avez de tout temps, comme toutes les autorités de la République, et en premier lieu le Président, affirmé votre soutien indéfectible au CRIF et à son bras armé, la LDJ, aux méthodes fascistes.
Cette soumission aveugle est révoltante.
Je vous laisse imaginer si j’avais été un écrivain sioniste membre du CRIF agressé par des islamistes. Le tollé que cela aurait provoqué.
Vous n’avez ni le sens de la justice ni la volonté de mener une politique équilibrée.
L’Histoire vous jugera.
Jacob Cohen
http://jacobdemeknes.blogspot.fr/2012/07/lettre-ouverte-de-j...
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Vendredi 6 juillet 2012
La LDJ vient d’agresser tour à tour Olivia Zémor et Jacob Cohen à Paris.
LA LDJ : DANGEREUX ET LÂCHES
Forts mécontents de la préparation d’une nouvelle mission internationale "Bienvenue en Palestine" du 24 au 31 août, destinée à aller encourager la rentrée scolaire des enfants palestiniens et à affirmer le droit de circulation en Palestine, les fascistes de la LDJ s’en sont pris à Olivia Zémor le 28 juin dernier.
Courageusement, à leur habitude, c’est en bande qu’ils ont commis leur forfait, contre une femme seule, en l’agressant de dos, qui plus est.
Alors qu’Olivia Zémor était assise à la terrasse d’un café à la Bastille , elle a été attaquée et reçu sur la tête, le visage et le corps de la peinture à l’huile qui a nécessité un transport aux urgences de l’Hôtel Dieu par les pompiers, étant donné la toxicité du produit.
Une plainte a été déposée et une enquête a été ouverte, d’autant que la LDJ a revendiqué cet "exploit" en publiant une vidéo sur internet.
La police prend l’affaire très au sérieux.
Reste à savoir ce que feront les autres échelons du pouvoir ?
Quant à Jacob Cohen, écrivain qui dénonce dans ses romans les méthodes de recrutement du Mossad en France, il a fait l’objet d’une attaque jeudi 5 juillet dans le quartier de Saint-Paul où la LDJ fait régner la terreur.
La deuxième du genre, puisqu’il avait été agressé juste avant la présentation de son premier roman en mars 2012, par un groupe de fascistes de la LDJ.
Un témoin des faits avait formellement reconnu trois d’entre eux.
Mais aucune instruction n’a pour autant été ouverte à ce sujet...
POURQUOI LA LDJ N’EST ELLE PAS INTERDITE EN FRANCE ?
La suite de l’article est à lire là :
http://www.palestine-solidarite.org/analyses.capjpo.060712.htm
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Un des agresseurs de Saïd Bourarach était membre du groupe :"Sioniste et fier de l’être "
Entretien avec Nicolas Beau, directeur de Bakchich Hebdo
Un article paru dans le dernier numéro de Bakchich Hebdo révèle que l’un des agresseurs juifs du vigile marocain était membre sur Facebook du groupe, "sioniste et fier de l’être".
Dans un entretien accordé à Oumma.com, Nicolas Beau, directeur de Bakchich Hebdo affirme que cette révélation constitue
"un élément très important sur la piste d’une agression raciste qui s’est terminée tragiquement par la mort violente du jeune marocain."
Comment expliquez- vous le silence médiatique autour du meurtre de Saïd Bourarach ?
Le dernier numéro de Bakchich Hebdo révèle une information importante.
Un des agresseurs juifs de Saïd Bourarach était en effet un membre du groupe Facebook « Sioniste et fier de l’être »
Nous enquêtions sur l’agression de Said Bouarach depuis trois semaines.
C’est ainsi que nous avonsdécouvert le profil d’un des agresseurs juifs du vigile marocain sur Facebook, avant que ce dernier ne l’efface.
Et ce profil, que nous publions dans notre hebdomadaire, Bakchich Info, en vente dans tous les kiosques, montre son appartenance à un groupe sioniste peu connu, "sioniste et fier de l’être".
Ceci constitue un élément très important sur la piste d’une agression raciste qui s’est terminée tragiquement par la mort violente du jeune
marocain
Vous donnez également dans ce numéro plusieurs éléments qui mettent à mal la thèse de l’homicide involontaire du parquet de Bobigny ?
Peut-on parler d’un enterrement judiciaire implicite ?
Il est étrange en effet que la Procureure de Bobigny, une protégée soit dit en passant de Rachida Dati, ait écarté d’emblée la piste d’une attaque raciste.
Cette magistrat aurait dû attendre les premiers éléments de l’enquête.
D’où il ressort que le vigile marocain, retrouvé mort dans le canal de l’Ourcq, avait été frappé avant de se noyer.
Les résultats de l’autopsie le prouvent.
De plus, l’enquête de personnalité menée par la Police judiciaire, évoqués dans Libération, montrent également le profil idéologique et militant des quatre juifs qui ont agressé le jeune marocain.
Un article paru dans le dernier numéro de Bakchich Hebdo révèle que le silence médiatique est moins assourdissant depuis la publication samedi dans l’hebdo de Bakchich et lundi dans Libération d’enquêtes fouillées sur les circonstances de ce qui apparaît comme pouvant être un crime raciste.
Il est certain que la victime aurait été juive et les agresseurs arabes, la presse se serait fait beaucoup plus l’écho de ce drame.
L’hebdomadaire Bakchich Hebdo s’inscrit notamment dans la tradition d’un journalisme d’investigation.
A l’ère de l’homogénéisation de l’ information et de la mainmise de certains milieux industriels et financiers sur les médias, comment cette presse indépendante peut-elle encore survivre ?
Bakchich avec son site et son Bakchich Hebdo en vente le samedi pour 1,5 euro ne peut vivre que si de nombreux lecteurs s’abonnent ou achètent l’hebdo en kiosque.
La publicité sur le site nous rapporte moins de
5000 euros par mois, ce qui ne peut pas faire vivre notre équipe de douze personnes, payées entre 1500 et 3000 euros par mois.
Aujourd’hui, nous avons 12000 lecteurs de l’hebdo et 1000 abonnés.
Il nous en faut le double d’ici trois mois.
Il faut que ceux qui aiment l’information
Indépendante nous fassent connaitre.
SOYONS NOMBREUX A SOUTENIR CETTE PRESSE INDEPENDANTE....
N'oublions pas :
Nous méritons la presse de caniveau qui est la notre actuellement...
simplement parce que nous sommes, peu nombreux, à soutenir des canards tels Bakchich Hebdo....Indépndants ! !
En savoir plus sur l’affaire Saïd Bouarach :
http://www.futurquantique.org/2010/04/13/%C2%AB-on-s%E2%80%99en-fout-que-les-meurtriers-de-said-soient-juifs-ce-qu%E2%80%99on-veut-c%E2%80%99est-la-justice-%C2%BB/
…. » Beaucoup, dans les forums de discussion sur Internet ou dans les propos que j’ai recueillis, réfutent la thèse des « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner ».
Ils croient à un homicide.
Une chose les intrigue, les choque : la faible médiatisation de ce drame. «
Pourquoi un homicide commis par des personnes de confessions juive est-il passé à la trappe alors que lorsqu’un Français de souche, non juif, tue un Arabe, on crie au crime raciste ? »
S’étonne ainsi Bernard, un entrepreneur parisien âgé d’une cinquantaine d’années.
Cette affaire a eu peu d’écho dans les infos à la télévision….. »
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Certainement parce que l'assassinat d'un français à faciés "arabo-musulman" ...par un groupe de personnes de confession juive,
C'est moins grave, moins important, moins interessant...
Que l'agression d'un individu de confession juif par des français...
à faciés "arabo-musulmans"....
Parce que, ce qui compte -avant tout- se n'est ni l'équité, ni la justice
et encore moins de faire respecter le droit...en France,
Mais la possibilité de manipuler les événements afin de reproduire et venir confirmer, attester, de la colonisation... de la soumission des arabo-musulmans, par les juifs, sur le sol de France avec la complicité active des politiciens véreux français et le silence assourdissant de la populace française .... !
Rejouer -inlassablement-en France...ce qui se joue en Palestine Occupée !!!!!
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L'antisémitisme dont on ne vous parle jamais....
Cet antisémitisme là....Ne fera jamais la Une de vos journaux....!
Ce restaurateur lyonnais qui a fait ses classes chez Bocuse puis au Ritz Carlton de Londres est traumatisé par l’extrême violence des agresseurs qui ont eu raison de ses rêves…
Loin de faire la une des journaux qui préfèrent s’épancher sur le cas de l’agression prétendument antisémite d’il y a quelques jours dans un train de Toulouse, le propriétaire maghrébin de deux petits bouchons quitte le Vieux-Lyon après avoir subi agressions, insultes racistes et islamophobes d’une extrême violence.
C'est le quotidien local, le Progrès, qui rapporte l'histoire.
La nuit du 8 au 9 juin semble paisible à Saint-Jean dans le Ve arrondissement de Lyon.
Mais Mohamed n’est pas serein, assis à la terrasse de l’un de ses deux restaurants, « La Grange » et « Chez Louise ».
Il scrute souvent les environs de l’établissement. Il est minuit, c’est l’heure de la fermeture.
Soudain deux hommes se mettent à uriner sur ses plantes, le sourire aux lèvres. «
La France aux Français » crient-ils en réponse à l’énervement du terrassier. Après un vif échange, le duo disparaît pour mieux revenir dix minutes plus tard, une quinzaine d’hommes cagoulés ou cranes rasés saccagent les restaurants, s’en prennent aux employés armés de barres de fer et de poings américains.
Le beau-frère de Mohammed, Hamid Emerzoukene qui tentait de leur venir en aide s’en est sorti avec 12 points de suture au crâne et une jambe cassée. Nous l'avons rencontré, il marche avec une béquille. Maurice, cogérant des restaurants, explique que les agresseurs ont clairement signifié que leur but était de “mettre un terme à leurs activités”.
« Ils nous ont frappé avec des ceintures, j’ai reçu un violent coup sur la tête et le genou ». Un témoin reste bouche bée. « J’ai aperçu une dizaine d’hommes prenant la fuite. Les gens étaient médusés d’avoir entendu des slogans à connotation nationaliste ».
Violence et racisme : un cocktail brûlant associé au développement accéléré de mouvements d’extrême-droite et néonazis dans certains quartiers lyonnais.
Deux jours plus tard, le cauchemar recommence, le directeur de cabinet de la mairie du 5e arrondissement, présent sur les lieux de l’agression, déclare avoir constaté des mouvements de fuite.
Plusieurs dégâts matériels ont aussi été déplorés.
Les restauratrices du Cozy Corner, situé en face des deux bouchons, nous confirment également avoir vu les individus lancer le matériel de la terrasse sur le personnel. Le directeur de cabinet affirme qu’une enquête est en cours pour déterminer les “motivations des agresseurs”.
Deux jours plus tard, un groupe d’une dizaine de clients s'est présenté au restaurant. "Rapidement, j’ai reconnu des croix gammées sur leurs blousons.
A chaque fois qu’ils commandaient, ils faisaient le salut nazi, ils n’arrêtaient pas de répéter : sales juifs, sales bougnoules, sales noirs", nous confie le serveur Damien. M. Chikha décide alors d'alerter la police.
Mais le drame humain ne s’arrête pas là… très lourdement touché aussi bien physiquement que psychologiquement, le restaurateur a décidé de vendre ses deux bouchons et quitter le Vieux Lyon, centre culturel et touristique de la ville des traboules…
Mohamed Chikha affirme aujourd’hui être “dégoûté”.
Ayant fait ses classes de restaurateur chez Bocuse, puis au Ritz Carlton de Londres, il se dit “désabusé” par un tel “manque de reconnaissance”. Ses ambitions, son passé et son ascension dans la restauration sont “souillés” par cette agression. Il est aujourd’hui suivi psychologiquement, expliquant avoir “très peur”. Selon lui, l’agression est liée directement à la diversité d’origines de son personnel qui, pourtant, “s’investit activement dans le travail”.
Comparant avec l’expérience du Ritz Carlton de Londres dont il a bénéficié, il avoue qu’en France, “ce qui manque, c’est le respect”.
Aujourd’hui, il envisage sérieusement de quitter la France. “Je réfléchis à l’Algérie ou au Maroc”, nous confie-t-il, avant d’ajouter :
“J’ai envie de voir grandir mon fils.”
Soupçonné par la victime d’être à l’origine de l’agression, le groupe de jeunes identitaires Rebeyne, dont le local se situe dans le quartier, dément cette accusation. La police, quant à elle, n’a pas souhaité communiquer sur cette affaire.
Source :
L’humanité et Lyon Capitale
http://www6.almanar.com.lb/french/adetails.php?fromval=1&cid=19&frid=19&eid=71311