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LES TOUAREG, SONT EN DANGER!

 

LA VIE DES TOUAREG

CULTURE, HISTOIRE "des hommes bleus" :

Les origines Préhistoriques et paléoberbéres des TOUAREG là :

http://www.amazighworld.org/studies/articles/touareg_histoire.php

Et, là :

http://www.ac-nancy-metz.fr/Pres-etab/lapicque/Opinfo98/Pourcher/vie.htm


L'HISTOIRE DE LA REVOLTE TOUAREG :

 

http://latelelibre.fr/index.php/2008/02/niger-un-chef-touareg-temoigne/

 

 Là :

http://conflitsoublies.blogspot.com/2008_04_01_archive.html

 

Et, là :

 

http://www.caravaneducoeur.com/lestouareghistoi/index.html

 
MENER, La lutte, en musique ! 

 



29 octobre 2012 1 29 /10 /octobre /2012 05:49

Les mauvais perdants de la crise syrienne, par Thierry Meyssan

- En 2010, la France a fait le choix de relancer sa politique coloniale.

Cela l’a conduit à changer le régime, en Côte d’Ivoire et en Libye,, puis, à essayer de la faire, en Syrie. Mais face à l’échec de cette troisième opération, Paris se trouve emporté par les événements qu’il a provoqués. Après avoir armé et encadré des groupes terroristes, en Syrie, la DGSE a frappé au cœur de la capitale libanaise.

 

Lors d’une table ronde à Ankara, l’amiral James Winnefeld, chef d’état-major adjoint des USA, a confirmé que Washington révélerait ses intentions à l’égard de la Syrie, dès l’élection présidentielle du 6 novembre terminée.

 

Il a clairement fait comprendre à ses interlocuteurs turcs qu’un plan de paix avait déjà été négocié avec Moscou, que Bachar el-Assad resterait en place et que le  Conseil de sécurité n’autoriserait pas la création de zones tampons.

 

De son côté, le secrétaire général adjoint de l’ONU chargé des opérations de maintien de la paix, Hervé Ladsous, a confirmé qu’il était en train d’étudier les possibilités de déploiement de casques bleus en Syrie.

 

Tous les acteurs de la région se préparent donc à un cessez-le-feu imposé par une force onusienne principalement composée de troupes de l’Organisation du Traité de sécurité collective (Arménie, Biélorussie, Karazkhstan, Kirghizistan, Russie, Tadjikistan). De facto, cela signifie que les Etats-Unis poursuivent leur retrait de la région, débuté en Irak, et acceptent d’y partager leur influence avec la Russie.

 

Scène de désolation à Beyrouth après l’attentat survenu dans le quartier chrétien d’Achrafieh. Au vu de ses effets personnels, les autorités ont conclu à la mort du général Wissam el-Hassan. Cependant aucune analyse médico-légale n’a pu établir que la victime se trouvait dans sa voiture. Le général serait rentré le jour même de Paris où il faisait son rapport à son agent traitant, le général Benoît Puga, cependant la police de l’air et des frontières n’a aucune trace de son arrivée au Liban.

 

Simultanément, le New York Times a révélé que des pourparlers directs vont reprendre entre Washington et Téhéran, alors même que les États-Unis s’appliquent à couler la monnaie iranienne.

En clair, après 33 ans de containement, Washington admet que Téhéran est une puissance régionale incontournable, tout en continuant à saboter son économie.

 

Cette nouvelle donne se fait au détriment de l’Arabie saoudite, de la France, d’Israël, du Qatar et de la Turquie qui avaient tous misé sur un changement de régime à Damas.

Cette coalition hétéroclite se divise désormais entre ceux qui réclament un lot de consolation et ceux qui tentent de saboter le processus en cours.

 

D’ores et déjà, Ankara a changé son fusil d’épaule. Recep Tayyip Erdogan, qui se disait prêt au pire, tente de se réconcilier avec Téhéran et Moscou. Quelques jours après avoir insulté les Iraniens et fait molester des diplomates russes, il est devenu tout sourire. Il a profité du sommet de l’Organisation de Coopération Economique à Bakou pour rencontrer le président Mahmoud Ahmadinejad.

 

Il lui a proposé de mettre en place un dispositif complexe de discussion sur la crise syrienne qui permette à la fois à la Turquie et à l’Arabie saoudite de ne pas rester au bord du chemin. Soucieux de ne pas humilier les perdants, le président iranien s’est montré ouvert à cette initiative.

Le Qatar, de son côté, est déjà en quête de nouveaux espaces pour ses ambitions.

 

L’émir Hamad s’est offert un voyage à Gaza et s’est posé en protecteur du Hamas. Il verrait d’un bon œil le renversement du roi de Jordanie, la transformation du royaume hachémite en une république palestinienne et l’installation au pouvoir de ses protégés de la Confrérie des Frères musulmans.

 

Restent Israël et la France qui ont constitué un front du refus.

 

La nouvelle donne serait une garantie de protection pour l’État d’Israël, mais mettrait fin à son statut particulier sur la scène internationale et ruinerait ses rêves expansionnistes.

 

Tel-Aviv serait ravalé au rang de puissance secondaire. Quand à la France, elle y perdrait son influence dans la région, y compris au Liban.

 

C’est dans ce contexte que les services secrets des deux États ont conçu une opération pour faire échouer l’accord USA-Russie-Iran.

 

Dans l’hypothèse où cette opération échouerait, elle devrait quand même permettre d’effacer les preuves de l’ingérence dans la crise syrienne.


La France a d’abord fait circuler une rumeur selon laquelle le président Bachar al-Assad aurait commandité au Hezbollah l’assassinat de cinq personnalités libanaises : le chef des Forces de sécurité intérieure, le directeur des forces du ministère de l’Intérieur, le grand mufti, le patriarche maronite et l’ancien Premier ministre Fouad Siniora.

Puis, Paris a sacrifié Michel Samaha —qui lui servait d’agent de liaison avec les services syriens, mais venait de tomber en disgrâce à Damas et était donc devenu inutile—. Le brillant et versatile politicien est tombé dans un piège tendu par le général Wissam el-Hassan —chef des FSI et lui même agent de liaison avec les salafistes—.

 

Puis, Paris a sacrifié le général Wissam al-Hassan, qui non seulement était devenu inutile en cas de paix en Syrie, mais dangereux tant il savait de choses. Ainsi la rumeur française s’est réalisée : le premier sur la liste des cibles est mort, et une personnalité pro-syrienne a été arrêtée en préparant un attentat contre une autre cible de la liste.

 

Au cœur de cette machination, on trouve le général Benoît Puga.

 

general-puga.jpg

Cet ancien commandant des Opérations spéciales et directeur du Renseignement militaire français a été chef de l’état-major particulier du président Nicolas Sarkozy et a été maintenu à son poste par le président François Hollande.

 

Affichant un soutien inconditionnel à la colonie juive de Palestine [1] et des relations privilégiées avec les néo-conservateurs US,

il a relancé la politique coloniale de la France en Côte d’Ivoire, en Libye et en Syrie.

Il était l’agent traitant à la fois de Michel Samaha et de Wissam el-Hassan. Il est aujourd’hui l’homme fort à Paris. En violation des institutions démocratiques, il gouverne seul la politique proche-orientale de la France, bien que cette attribution ne corresponde pas à ses fonctions officielles.

Thierry Meyssan

[1] «Gaza : la France supervise le prolongement du Mur de séparation»,  

 

Réseau Voltaire, 26 décembre 2009.

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27 octobre 2012 6 27 /10 /octobre /2012 19:06

 

 

Le peuple Islandais a  eu le courage, la conscience politique indispensables pour  RE-Agir différemment, du peuple Espagnole, Grecque,  Irlandais, Italien, Français... devant  la gestion-- désastreuse et Inique-- de la crise par la Troïka, au service de la seule et unique l'oligarchie en place,

Crise dont les SEULS et véritables coupables sont les banquiers, les Ir-responsables politiques qui, ont  mal gérer les finances publics...

Qui ont laissé faire....les sangsues...

Ces peuples soumis qui ont  eu peur face au prix à payer pour la lutte, défaitistes, égocentriques...sectaires... facilement manipulation... récoltent donc ce qui'ils ont patienmment séme en demissionnant de l'action politique,

En revanche le peuple Islandais qui a fait preuve de courage, s'est engagé dans une lutte collective...faisant pression sur son gouvernement doit être salué, admiré, montré en exemple, "adoré" si necessaire...!

Face au courage, du peuple Islandais,

Face à une prise de conscience politique de la nécèssité d'une action collective dans l'intéret national...du peuple Islandais

Mille Bravos cher et "admirable" peuple Islandais...qui a su montrer la voix a suivre...

Mais les peuples Européens lobotisés préférent continuer d'admirer et de copier les modéles imperialistes/nécrophiles tels les Yankees, les sionistes, les allemands,

les japonais...

 

Ces peuples européens lobotomisés ont la mentalité de l'authentique colonisé..

Mais il l'ignore... Ils affirmentt  encore et toujours que les seuls colonisés sont 

les Africains, les arabo-musulmans....  

Là, est l'une de leur plus grossiére erreur!!!

 

--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

 

L’Union européenne fait aujourd’hui le choix de l’austérité face à la crise économique mais se lance en même temps dans le sauvetage — avec des fonds publics — des banques privées qui auraient dû faire faillite à cause de leur mauvaise gestion.

 

Est-ce vraiment la seule solution viable ?

 

Salim Lamrani se penche sur le cas de l’Islande, un exemple que les médias et les apprentis sorciers de la finance européenne préfèrent passer sous silence.

Le 6 mars 2010, plus de 93% électeurs islandais participant à un référendum se prononcent contre le remboursement de presque 4 milliards de dollars au Royaume-Uni et aux Pays-Bas, au titre des dettes accumulées par les banques islandaises en faillite.

Face à la crise économique, alors que l’Union européenne a choisi la voie de l’austérité et a décidé de sauver les banques, l’Islande a au contraire procédé à la nationalisation des institutions financières et a rejeté les politiques de restrictions budgétaires. Avec un taux de croissance de 2,7% en 2012, même le Fonds monétaire international (FMI) salue le redressement économique du pays.

Lorsqu’en septembre 2008, la crise économique et financière a touché l’Islande, petit archipel du Nord de l’Europe peuplé de

320 000 habitants, l’impact a été désastreux, comme sur le reste du continent.

    La spéculation financière a conduit les trois principales banques à la faillite, dont les actifs représentaient une somme dix fois supérieure au PIB de la nation, avec une perte nette de 85 milliards de dollars.

Le taux de chômage a été multiplié par 9 entre 2008 et 2010, alors que le pays jouissait auparavant du plein emploi.

La dette de l’Islande représentait 900% du PIB et la monnaie nationale avait été dévaluée de 80% par rapport à l’euro.

 

Le pays s’est retrouvé plongé dans une profonde récession, avec un recul du PIB de 11% en deux ans [1].

Face à la crise

En 2009, lorsque le gouvernement a voulu appliquer les mesures d’austérité exigées par le FMI, en échange d’une aide financière de 2,1 milliards d’euros, une forte mobilisation populaire l’a contraint à la démission.

Lors des élections anticipées, la gauche a remporté la majorité absolue au Parlement [2].

Le nouveau pouvoir a néanmoins fait adopter la loi Icesave – du nom de la banque en ligne privée qui a fait faillite et dont les épargnants étaient en majorité hollandais et britanniques – afin de rembourser les clients étrangers.

 

Cette législation contraignait l’ensemble des Islandais à rembourser une dette de 3,5 milliards d’euros -40% du PIB- – 9000 euros par habitant – sur 15 ans à un taux de 5%. Face aux nouvelles protestations populaires, le Président a refusé de ratifier le texte parlementaire et l’a soumis à référendum.

En mars 2010, 93% des Islandais ont rejeté la loi sur le remboursement des pertes causées par Icesave.

Soumise une nouvelle fois à référendum en avril 2011, elle a de nouveau été massivement rejetée à 63% [3].

Une nouvelle Constitution, rédigée par une Assemblée constituante de 25 citoyens élus au suffrage universel parmi 522 candidats et composée de 9 chapitres et de 114 articles, a été adoptée en 2011.

 

Celle-ci prévoit :

  1. un droit à l’information, avec un accès public pour les documents officiels -Article 15-,
  2. la création d’un Comité de contrôle de la responsabilité du gouvernement -Article 63-,
  3. un droit à la consultation directe Article 65- – 
  4.  
  5. 10% des électeurs peuvent demander un référendum sur des lois votées par le Parlement –, ainsi que la nomination du Premier Ministre par le Parlement [4].

 

Ainsi, contrairement aux autres nations de l’Union européenne dans la même situation, qui ont appliqué à la lettre les recommandations du FMI exigeant l’application de mesures d’une austérité sévère – comme en Grèce, en Irlande, en Italie ou en Espagne –, l’Islande a choisi une voie alternative.

 

Lorsqu’en 2008, les trois principales banques du pays, Glitnir, Landsbankinn et Kaupthing se sont effondrées, l’Etat islandais a refusé d’y injecter des fonds publics, comme dans le reste de l’Europe.

Il a au contraire procédé à leur nationalisation [5].

 

De la même manière, les banques privées ont été contraintes d’annuler toutes les créances à taux variable dépassant 110% de la valeur des biens immobiliers, évitant ainsi une crise de subprime comme celle des Etats-Unis.

Par ailleurs, la Cour Suprême a déclaré illégaux tous les prêts indexés sur des devises étrangères qui ont été octroyés à des particuliers, obligeant ainsi les banques à renoncer à ces créances, au bénéfice de la population [6].

Accusé de négligence dans la gestion de la crise financière, l’ex-premier ministre islandais Geir Haarde a été déclaré coupable, en avril 2012, par un tribunal spécial qui n’a retenu aucune sanction à son encontre.

Quant aux responsables du désastre – les banquiers spéculateurs qui ont provoqué l’effondrement du système financier islandais –, ils n’ont pas bénéficié de la mansuétude en vogue à leur égard dans le reste de l’Europe où ils ont été systématiquement absous.

En Islande, ils ont été poursuivis par la justice et mis en prison, par Olafur Thor Hauksson, Procureur spécial nommé par le Parlement. Même le Premier Ministre Geir Haarde, accusé de négligence dans la gestion de la crise, n’a pu éviter un procès [7].

Une alternative à l’austérité

Les résultats de la politique économique et sociale islandaise ont été spectaculaires.

 

Alors que l’Union européenne se trouve en pleine récession,  l’Islande a bénéficié d’un taux de croissance de 2,1% en 2011 et prévoit un taux de 2,7% pour 2012, et un taux de chômage oscillant autour de 6% [8].

Le pays s’est même offert le luxe de procéder au remboursement anticipé de ses dettes auprès du FMI [9].

 

Le président islandais Olafur Grímsson a expliqué ce miracle économique : «  La différence est qu’en Islande, nous avons laissé les banques faire faillite. C’était des institutions privées. Nous n’y avons pas injecté de l’argent pour les maintenir à flot. L’Etat n’a pas à assumer cette responsabilité  » [10].

Contre toute attente, le FMI a salué la politique du gouvernement islandais – qui a appliqué des mesures aux antipodes de celles qu’il préconise –, une politique qui a permis de préserver « le précieux modèle nordique de protection sociale ».

En effet, l’Islande dispose d’un indice de développement humain assez élevé. « Le FMI déclare que le plan de sauvetage à la manière Islandaise fournit des leçons pour les temps de crise ». L’institution ajoute que « le fait que l’Islande soit parvenue à préserver le bien être social des ménages et obtenir une consolidation fiscale de grande ampleur est l’une des plus grandes réussites du programme et du gouvernement islandais ».

 

Le FMI a néanmoins omis de préciser que ces résultats ont été possibles uniquement parce que l’Islande a rejeté sa thérapie de choc néolibérale et a mis en place un plan de relance alternatif et efficace [11].

Le cas de l’Islande démontre qu’il existe une alternative crédible aux politiques d’austérité appliquées à travers l’Europe. Celles-ci, en plus d’être économiquement inefficaces, sont politiquement coûteuses et socialement insoutenables. En choisissant de placer l’intérêt général au-dessus de celui des marchés, l’Islande montre la voie au reste du continent pour sortir de l’impasse.

 


[1] Paul M. Poulsen, « Comment l’Islande, naguère au bord du gouffre, a pu se rétablir », Fond monétaire international, 26 octobre 2011. Site consulté le 11 septembre 2012.


[2] Marie-Joëlle Gros, « Islande : la reprise a une sale dette », Libération, 15 avril 2012.


[3] Comité d’annulation de la dette du Tiers-monde, « Quand l’Islande réinvente la démocratie », 4 décembre 2010.


[4] Constitution de l’Islande, 29 juillet 2011. Site consulté le 11 septembre 2012.


[5] Antoine Grenapin, « Comment l’Islande est sortie de l’enfer », Le Point, 27 février 2012.


[6] Marie-Joëlle Gros, « Islande : la reprise a une sale dette », op. cit.

[7] Caroline Bruneau, « Crise islandaise : l’ex-premier ministre n’est pas sanctionné », 13 mai 2012.


[8] Ambrose Evans-Pritchard, « Iceland Wins in the End », The Daily Telegraph, 28 novembre 2011.


[9] Le Figaro, « L’Islande a déjà remboursé le FMI », 16 mars 2012.

 

[10] Ambrose Evans-Pritchard, « Iceland Offers Risky Temptation for Ireland as Recession Ends », The Daily Telegraph, 8 décembre 2010.


[11] Omar R. Valdimarsson, « IMF Says Bailout Iceland-Style Hold Lessons in Crisis Times », Business Week, 13 août 2012.


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24 octobre 2012 3 24 /10 /octobre /2012 22:00

 

 

ET, SI LA VISITE DU TRAITRE QATARI DEVAIT SERVIR DE PRETEXTE, DE PRELUDE, DE  JUSTIFICATION AUX SIONISTES POUR  DECLENCHER  UNE DEUXIEME OPERATION «  PLOMB DURCI » DANS LA BANDE DE GAZA  ASSIEGEE… SOUS EMBARGO DEPUIS  2006 ?

 

A cause de la guerre déclarée par les américano-sionistes, leurs valets européens, leurs laquais turcs et, les financeurs/harkis arabes, à la République Arabe Syrienne,


A cause des répercussions sur le pays voisin qu’est le Liban :--

Assassinat d’el-Hassan : ce n’est pas à Damas que profite le crime


A cause des conséquences de la guerre en Libye sur le Mali --

Quand la guerre en Libye amène le chaos au Mali

Le coup d’Etat militaire au Mali est un des dommages collatéraux de l’effondrement du régime de Kadhafi, un événement qui a déstabilisé une région sahélienne déjà très fragile.

A cause de la traitrise du 1er ministre du Hamas qui a accepté l’ingérence de l’émir du Qatar, ce serial killer de l’unité arabo-musulmane….


A cause de la crise économique, financière, sociale, culturelle en occident…

 

Le génocide du peuple Palestinien, les monstruosités commises par les sionistes, à l’encontre des Gazaouis sont relégués dans l’arriéré cour, des préoccupations, des peuples dits libres de cette planète !!!


N’est-ce pas cela que recherche le sionistan ?


N’est-ce pas cet oubli, cette relégation voulue et orchestrée par le sionistan pour enfin se livrer à l’ELIMINATION« définitivement » du peuple Palestinien, à la disparition pure et simple de la Palestine ?


En effet qui,  peut croire, un seul instant, à la sincérité de cet émir inféodé aux sionistans ?


Qui peut croire que ce criminel qatari qui, a œuvré activement à la destruction de la République arabe libyenne,


Qui peut croire que ce criminel qatari qui, œuvre activement à la destruction de la République arabe Syrienne, avec ses maîtres Yankees :

 

Syrie : l’Otan vise le gazoduc


Qui peut croire que ce criminel qatari soumis, complice actif des américano-sionistes dans leur stratégie de destruction, de pillage, de colonisation des pays arabo-musulmans, de soumission, de neutralisation des esprits des peuples arabo-musulmans  peut être source de bienfaits pour la Palestine occupée et pour le peuple Palestinien GENOCIDE ?


Qui, peut croire un seul instant que ce criminel qatari s’est rendu dans la bande de Gaza sans l’assentiment des représentants, des irresponsables politiques sionistes ?

 

Nous savons tous que rien,  mais strictement rien ne peut se faire, sur ou dans la bande de Gaza sans l’accord, sans l’autorisation des sionistes ?


Le traitre  Ismaïl Haniyeh, a vendu la libération de la Palestinienne, à son frère de traitrise l’émir du Qatar – « cheval de Troie sioniste» qui œuvre activement au maintien des peuples arabo-musulmans sous le joug des américano-sionistes…et de leurs laquais européens...


Emir dont la seule motivation est d’être dans la défense active  des seuls intérêts des sionistes - en échange d’une deuxième offensive « plomb durci » des sionistes contre la Palestine, contre la bande de Gaza, déjà assiégée, affaiblie par plusieurs années de blocus … !!!


Allez un petit devoir de mémoire….

Souvenons-nous....hier  :

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Par Marie Simon,

 

 

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Le véritable objectif du blocus israélien de Gaza

Par Jonathan Cook

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Les conséquences économiques du blocus israélien sur la bande de Gaza

Ziad Medoukh

 

On peut dire que l’économie de la bande de Gaza souffre d’une crise très grave à cause du blocus israélien et des fer­me­tures de tous les pas­sages com­mer­ciaux qui la relient à l’extérieur.

 

 

 

 

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Gaza : la visite de l'émir du Qatar

Dans la bande de Gaza, territoire-- rajout perso : " contrôlé"-- c'est là le terme utilisé par tous les propagandistes/journaleux français- pourtant la réalité est faits : le Hamas a été democratiquement élu par le peuple Palestinien/Gazaoui---par les islamistes du Hamas, l'émir du Qatar a été accueilli en grande pompe.

 

Il est venu financer des projets importants pour la population en injectant plusieurs centaines de millions d'euros dans la région. Un élan de générosité qui n'est toutefois pas dénué d'arrières pensées.

 

Vidéo de cette fumeuse/foireuse visite là :


 

 

 

Au bal des hypocrites, les sionistes sont ROIS :

 

"Israël"fustige la visite de l'émir du Qatar à Gaza

Le ministère israélien des Affaires étrangères a critiqué la visite dans la bande de Gaza de l'émir du Qatar, le cheikh Hamad ben Khalifa al-Thani, l'accusant d'envenimer le conflit interpalestinien et de soutenir les forces radicales au sein de la société palestinienne.
"On s'étonne de constater que l'émir du Qatar s'est solidarisé avec l'une des parties du conflit interne palestinien, en choisissant les extrémistes du Hamas qui professent l'idéologie de la violence.

 

Il n'a jamais accordé un tel appui à l'Autorité palestinienne, et à présent, sa démarche ne fait qu'approfondir la division palestinienne", a déclaré à RIA Novosti la porte-parole de la diplomatie israélienne Ilana Stein.

 

Et d'ajouter que les richesses fournies par l'émir n'aideraient pas Palestiniens et Israéliens à cohabiter en paix, mais finiraient dans les poches des dirigeants corrompus du Hamas.


L'émir du Qatar est arrivé mardi 23 octobre dans la bande de Gaza malgré le blocus diplomatique de ce territoire contrôlé par des islamistes.

 

Il est le premier chef d'Etat étranger à avoir visité la bande de Gaza depuis l'arrivée du Hamas au pouvoir dans cette enclave palestinienne à l'été 2007.

 

Le monarque n'y a passé que quelques heures, donnant le coup d'envoi à des projets d'infrastructure d'un montant de 250.000 dollars dont le Qatar a fait don à l'enclave palestinienne.


Qualifié d'organisation terroriste en Israël et en Occident, le Hamas est en outre considéré comme un mouvement séparatiste par les dirigeants de l'Autorité palestinienne.


L'arrivée du Hamas dans la bande de Gaza, où il a évincé les partisans du leader palestinien Mahmoud Abbas, a placé ce territoire dans un état d'isolement économique et politique, y compris au sein du monde arabe.

 

Source Ria Novosti

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Pourtant nous avons tous que rien ne se fait à Gaza ou ailleurs dans la Palestine occupé sans le consentement, sans l'aval, sans l'apporbation du sionistan, ce colonisateur, cette ancienne victime devenue le bourreau du peuple Palestinien :

 

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L’émir du Qatar à Gaza: les dessous d’un flop

La presse nous parle abondamment de la visite de l’émir du Qatar, cheikh Hamad ben Khalifa al-Thani, dans la bande de Gaza.

On peut lire que

 Yigal palmor, porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères, s’est dit « atterré » que le Qatar ait pris le parti d’une formation considérée par les Etats-Unis et l’Union européenne comme une organisation terroriste.

Il est cependant évident que cet évènement qu’on ne saurait minimiser n’a pu se produire que grâce à l’assentiment des autorités sionistes.

 

Ces dernières ont d’ailleurs tenu à montrer, avant et après cette visite, qu’elles restaient maîtresses du jeu en bombardant ce territoire comme elles ont coutume de le faire.

On ne peut pas préjuger des conséquences diplomatiques de cette visite dont l’objectif est avant tout de renforcer la position du Hamas, moins face au régime sioniste que face à l’Autorité Palestinienne et s’inscrit dans la recomposition du paysage politique arabe recherchée par les Etats Unis et les monarchies (démocratiques) du Golfe.


Le fait que le Hamas soit classé par les Etats Unis parmi les organisations terroristes ne constitue en rien une entrave à cette recomposition palestinienne.

 

Les Etats Unis n’ont en effet pas hésité à s’allier avec ce qu’on appelle des djihadistes en Libye et même en Syrie, et ils se sont longtemps servis des Moudjahidine Khalq iraniens, pourtant inscrits sur la liste des organisations terroristes il y a peu de temps encore.


Le Qatar entend sans doute remercier le Hamas pour s’être démarqué du régime syrien qui offrait encore tout récemment à ce mouvement les moyens de son déploiement vers les Palestiniens de l’extérieur et vers des pays amis de la cause palestinienne.

De fait, le soutien à la cause palestinienne est un des paramètres de la légitimité de tout gouvernement arabe et c’est cet attribut qu’entend s’accaparer l’émir du Qatar après en avoir supposément privé le régime de Damas.

Comme il se doit,

Le Comité exécutif de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) a dénoncé la visite, appelant les pays arabes à « ne pas poursuivre la politique d’établissement d’une entité séparatiste dans la bande de Gaza, qui sert fondamentalement les desseins israéliens ».

De fait, ce qu’on a du mal à percevoir, c’est ce que retirera le projet national palestinien de cette visite et de ces annonces.

 

Elle enfonce un coin supplémentaire entre l’OLP et le Hamas, c’est un des buts recherchés, alors qu’il faudrait au contraire rapprocher ces deux organisations et éloigner l’OLP de l’entité sioniste.


C’est tout le contraire qui va se passer et le risque est bien présent de confirmer le régime sioniste dans la possibilité de constituer des Bantoustans palestiniens, l’un sous la dépendance du Qatar et de l’Egypte, l’autre directement supervisé par le régime sioniste et la Jordanie à un moindre degré.

 

Jusque à l’expulsion complète et progressive des Palestiniens de Cisjordanie qui céderont toute la place aux colons.


L’émir a, nous dit-on, inauguré un certain nombre de projets et annoncé des centaines de millions de dollars d’investissements dans la bande de Gaza, pour construire des routes et des logements notamment.


Faute de règlement politique, ces réalisations seront détruites lors de la prochaine offensive sioniste contre Gaza. Et l’émir est peut-être venu avec de l’argent mais sans proposition politique correspondant aux aspirations nationales du peuple palestinien.

 

Exactement comme lors de sa première visite à Gaza en 1999.

 

Et la solution des bantoustans, même avec un soupçon de prospérité, ne répondra pas aux aspirations du peuple palestinien qui la rejettera nécessairement.

 Côté Hamas, l’heure est à l’enthousiasme apparemment puisque :

Acclamé par des milliers de Palestiniens, alors que sa limousine cahotait sur la chaussée défoncée qu’il a promis de reconstruire, l’émir a ensuite été accueilli avec les honneurs par Ismaïl Haniyeh, Premier ministre de l’administration mise sur pied par le mouvement islamiste.

Et peut-on lire aussi :

« Aujourd’hui, vous annoncez officiellement la levée du blocus politique et économique imposé à la bande de Gaza », a dit à cheikh Hamad le chef du gouvernement du Hamas Ismaïl Haniyeh, à l’occasion de la pose à Khan Younès (sud) de la première pierre d’un projet immobilier destiné à des familles défavorisées, qui portera le nom de l’émir.


« Aujourd’hui, nous abattons le mur du blocus (israélien) grâce à cette visite historique et bénie », a-t-il ajouté.

L’émir n’a pourtant rien annoncé de tel.

 

Il a simplement dit qu’il allait un peu dorer la cage dans laquelle sont enfermés les habitants de Gaza, dont la plupart sont des réfugiés ou descendants de réfugiés d’autres régions de la Palestine.


Si la direction du Hamas et certains Palestiniens semblent se bercer d’illusions sur l’impact de la visite de l’émir, l’opinion palestinienne fait preuve semble-t-il de plus de maturité. Et c’est sans doute pour cette raison que l’engouement populaire pour cette visite est plus apparent que réel.

 Vous voulez une preuve ?

L’émir du Qatar annule son discours dans le stade de Gaza

 

par Ibrahim Barzak | Associated Press –  23octobre 2012 traduit de l’anglais par Djazaïri


Ville de Gaza, Bande de Gaza – L’émir de Qatar a annulé un discours qu’il devait prononcer devant les Palestiniens dans le plus grand stade de football de la ville de Gaza.


Les responsables du Hamas présents dans le stade ont annoncé l’annulation et ordonné aux milliers de personnes présentes ce mardi de rentrer chez elles.


Ce discours était le point d’orgue de la visite historique de l’émir dans la bande de Gaza.


Le Hamas a invoqué l’emploi du temps chargé de l’émir quand il a annoncé le changement.

 

Mais le stade n’était plein qu’à environ un cinquième de sa capacité au moment de l’annonce de l’annulation.

 

A la place, l’émir a prononcé un discours devant un auditoire beaucoup plus réduit à l’université de Gaza.


Comme on le voit, pas plus l’OLP que le Hamas ou l’émir du Qatar ne doivent se faire d’illusions quant à leur popularité réelle auprès de la population palestinienne.

 

Tous incarnent, à des degrés divers, l’incapacité des élites politiques arabes à être à la hauteur des enjeux.


L’OLP va peut-être commencer à en prendre conscience suite à son échec aux élections municipales en Cisjordanie.

 

Il faudra sans doute un peu plus de temps à un Hamas grisé par son succès diplomatique pour comprendre qu’une légitimité acquise dans les urnes il y a quand même quelques années, ne signifie pas un blanc seing ou une adhésion unanime à des démarches qui contribuent à diviser les Palestiniens et à mettre en échec leur projet national.


Le déblocage de la situation s’amorcera peut-être une fois que la crise syrienne s’apaisera au profit, je l’espère, d’une solution conforme à l’intérêt national syrien et arabe.

Après tout, c’est bel et bien avec les basses manœuvres du Qatar, de l’Arabie saoudite, de la Turquie et des Etats Unis que s’est nouée cette évolution inattendue et funeste de la scène politique palestinienne.


Le Hamas qui incarnait jusque là l’esprit de résistance a pris le chemin du renoncement pour une poignée de dollars.

Il lui reste quand même encore un petit bout de chemin à faire pour rejoindre l’OLP dans l’abjection.

 

Lien source :

http://mounadil.wordpress.com/

 

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La visite de la betaine ambulante Qatarie, aux sémites du ghetto de Gaza, 

s'explique-t-elle  par les nombreuses traitrises des irresponsables politiques 

du Hamas tel   Khaled Mechaal?

Pour l'instant il semblerait que la traîtrise et la haine de soi

soient des tickets gagnants pour ceux qui, cherchent fortune...auprés des roitelets du golfe...!!!

 

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L’émir du Qatar choisit Mechaâl pour succéder à al-Qaradhawi 

Selon le journal londonien al-Arab, les raisons du retrait de Khaled Mechaâl du bureau politique de Hamas, -- : des informations indiquent qu’il ne se représentera pour briguer un autre mandat--, s’expliquent par le fait qu’il a une plus grande mission qui l’attend à l’union mondiale des oulémas musulmans.

Des sources proches des milieux de prise de décision au sein de Hamas, citées par alarabonline, indiquent qu'Abou al-Walid, Mechaâl, serait le numéro un de cette organisation.

Mechaâl est candidat à la succession de Youssef al-Qaradhawi, étant donné ses bonnes relations avec le Qatar.

Le riche émirat du Golfe a promu la candidature de Mechaâl pour plusieurs raisons, dont sa qualité de tribun. Les mêmes sources font savoir que l’émir du Qatar a soutenu la candidature de Mechaâl, après les différends ayant surgi au sein de l’organisation mondiale autour de la succession à sa tête.

Des sources proches de l’Union mondiale des oulémas musulmans ont confié auparavant à al-Arab que l’ampleur des désaccords au sein des dirigeants influents de l’union, a conduit à des dissensions en son sein dans les coulisses.

Il existe, selon le journal, une grande rivalité pour la succession à la tête de l’union entre le Saoudien Selmane Ouda, le Tunisien Rached Ghannouchi et le Mauritanien Mohamed Hassan Ould Dadou.

Al-Qaradhawi soutient la candidature de Ghannouchi, ajoute-il.

L’union des oulémas musulmans fait face à une campagne de critiques virulentes de la part des personnes appartenant à des factions de l’islam politique, et d’oulémas indépendants, du fait de son alignement sur le Qatar, ce qui les prive du soutien saoudien.

Par ailleurs, l’union est traversée par d’importants désaccords du fait de ses positions des révolutions du printemps arabe, qui ont fini dans le camp de l’Amérique, soit directement, soit à travers ses alliés comme le Qatar.

Ce faisant, de fortes divergences ont surgi au sein de la direction de Hamas du fait de la position envers la Syrie.

 

Certains la considèrent toujours comme une alliée qui prône la résistance, et Hamas doit être à ses côtés, un point de vue qui reste minoritaire au sein du mouvement de résistance islamiste.

Un deuxième clan a tourné le dos à Damas, et s’est aligné sur une position pragmatique, inspirée de la ligne de la confrérie musulmane, ajoute en substance le journal.

La télévision syrienne d’Etat a lancé une diatribe sans précédent contre Khaled Mechaâl le qualifiant "d’ingrat qui a vendu la résistance pour le pouvoir".

Selon des sources proches des dirigeants du mouvement, le successeur de Mechaâl à la tête de Hamas sera Abou Marzouk.


http://www.gnet.tn/revue-de-presse-internationale/lemir-du-qatar-choisit-mechaal-pour-succeder-a-al-qaradhawi/id-menu-957.html

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Damas fustige Khaled Mechaal

 

 

Damas a attaqué le chef du bureau politique du mouvement Hamas Khaled Mechaal, le qualifiant de traitre et d’ingrat, et d’avoir « vendu » la résistance pour arriver au pouvoir.

Dans son bulletin du soir, la télévision officielle syrienne a dit :

« Mechaal a renoncé à la résistance pour le compte d’Israël et des Etats-Unis.

 

Toutefois, la Syrie ne regrette pas de l’avoir aidé, parce qu’elle ne s’est jamais attendue à des faveurs en échange de ses obligations nationales et patriotiques envers un combattant vagabond auquel elle a fourni tout le soutien pour poursuivre sa lutte ».

« La Syrie est heureuse de voir partir celui qui a échangé la résistance en contrepartie du pouvoir.

C’est votre choix de résistance qui vous a donné ce statut chez le peuple palestinien, non pas votre appartenance aux Frères musulmans », a poursuivi la télévision syrienne, condamnant ses propos tenus aux côtés du Premier ministre turc Recep Tayib Erdogan.---(rajout perso :  Syrie: la Turquie de retour dans son rôle de pièce du système hégémonique mondial) 
Et d’ajouter à l’adresse du chef du bureau politique du Hamas :

« Rappelle-toi de ton vagabondage dans le monde avant que Damas ne t’assurât sa protection ».

Lors du congrès annuel du Parti de justice et développement turc, Mechaal a salué la révolution du peuple syrien, en quête de la liberté et de la dignité, considérant que la liberté, la démocratie et les réformes ne s’opposent pas à la résistance contre l’occupation.

« Comment acceptes-tu la poursuite du blocus sur Gaza du côté égyptien alors que tes frères ont accédé au pouvoir ?

 

Comment participes-tu à la destruction des tunnels de la liberté et de la vie comme tu les appelais ?

 

S’est interrogée la TV syrienne, demandant si les promesses américaines de le nommer président alternatif au pouvoir sont derrière ce changement de position.

 

Lien source :

 

http://www.algerie1.com/flash-dactu/damas-fustige-khaled-mechaal/

 

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La division Palestienne ne sert que les seuls intérets des sionistes :

 

L’Iran, le Hamas et le Hezbollah désunis sur la menace israélienne

 

Il y a quelques années, l’Iran réservait un accueil chaleureux au chef du mouvement radical palestinien Hamas dans la bande de Gaza, Mahmoud al-Zahar.

Mais maintenant, il est reçu avec une certaine froideur, malgré le sourire et l’étreinte du président Mahmoud Ahmadinejad.

La délégation d’al-Zahar est arrivée à Téhéran après une rencontre avec Hassan Nasrallah, le chef des chiites du Hezbollah à Beyrouth.

Al-Zahar a affirmé qu’en cas d'attaque israélienne, Téhéran ne resterait pas sans protection.

Israël se heutera à la résistance coordonnée d'un front uni comprenant l'Iran, le Hamas et le Hezbollah.

Un homme serait prêt à assumer le rôle de coordonnateur. Il s’agit du chef adjoint de la branche militaire du Hamas, Marwan Issa, qui s'est rendu à Téhéran avec Al-Zahar.

En effet, il existe des divergences sur le conflit en Syrie, a rappelé le chef des extrémistes. Certains prennent leurs distances vis-à-vis de Bachar Al-Assad, certains prônent  le renforcement des relations avec les monarchies du Golfe.

 

Mais toutes ces nuances n’empêchent pas la création de « forces de résistances islamique » unies, alors que la région se trouve au bord de la guerre.

 

Cependant, Ahmadinejad et son entourage politique sont restés indifférents face à cette idée tentante, à première vue.

Ils ne croient pas en un «front uni», explique le professeur du Département des études orientales de l’Institut d’Etat des relations internationales de Moscou (MGIMO) Sergueï Droujilovski.

 

« Je ne pense pas qu’une coordination aura lieu, et comment imaginer techniquement cette coordination ?

La frappe sera massive, et dirigée principalement contre les terminaux électroniques, les réseaux de communication, notamment la fibre optique.

 

Je ne pense pas qu’il y aura une frappe coordonnée. Ils vont agir chacun séparément et à leurs risques et périls ».

 

 

Hamas, même s’il est représenté par des sunnites, n’est qu’une copie de l’Iran chiite, son avant-poste.

Alors pourquoi Téhéran, ne miserait-il pas sur Hamas dans les moments difficiles ?

Surtout que son autre allié, Bachar al-Assad, se trouve actuellement dans une situation difficile ?

La période d'euphorie au sujet de la création d'un front anti-israélien uni est déjà révolue en Iran, explique le président de l’Institut de Moyen-Orient Evgueni Satanovski.

« Il s'est avéré que Hamas possède des capacités très limitées pour influencer Israël.

Pour détruire toute la puissance militaire de Hamas dans la bande de Gaza, une division israélienne, accompagnée des services de renseignement et de l’aviation auraient suffi.

C’est exactement ce qu’a montré la guerre de Gaza des années 2008-2009.

 

L’allié était fiable, divisé en factions, et dépendant d'Israël et de l'Egypte.

 

Et tout cela, sachant que Israël est l’ennemi mortel de l'Iran.

 

En conséquence, la fiabilité de Hamas en tant qu’allié a sensiblement baissé aux yeux de Téhéran, ce qui a été démontré par ses dirigeants ».


L'expert attire l'attention sur la situation dans la bande de Gaza, contrôlée par Hamas. Le nouveau président égyptien Mohammed Morsi a repris le contrôle de la frontière de l'Egypte avec la bande de Gaza, après avoir bloqué les tunnels, par lesquels s’effectuait la contrebande.

 

Ce qui a affaibli les militants du Hamas, qui assuraient leur train de vie quotidien principalement grâce à cette contrebande.

Et ils ne peuvent pas redresser l’économie de la région, tout comme donner du travail aux 50.000 Palestiniens employés dans les colonies juives avant leur retrait de la bande de Gaza.

« Le fait de présenter le Hamas comme un atout dans les relations avec l’Iran a pour objectif obtenir de l’argent de Téhéran », poursuit Evgueny Satanovski. «

 

Mais l'Iran, en raison de la crise et des coûts de l’aide accordée à la Syrie, ne mettra pas la main au porte-monnaie, car il ne juge pas cela utile.

 

En conséquence, l’accueil que Mahmoud al-Zahar a reçu à Téhéran correspond entièrement aux possibilités du Hamas ».


Les Iraniens ne sont pas susceptibles de pardonner au dirigeant du Hamas Khaled Mechaal le rapprochement avec le Qatar et la rupture complète des relations avec Bachar al-Assad.

Récemment, Gaza a reçu en « cadeau » de la part du gouvernement du Qatar la somme de 200 millions de dollars.

Cet argent a vite disparu sur son territoire. Et l’aide de Téhéran s’est alors complètement arrêtée.

A la place du Hamas, l’Iran aide un autre groupe dans la région – le Djihad islamique.

Actuellement, les djihadistes sont beaucoup mieux armés que les membres du Hamas.
Si la guerre avec l’Iran est inévitable, quelle attitude adopteront alors le Hamas et le Hezbollah?

L'expert admet qu'ils pourraient frapper l’Israël par l’arrière.

 

Certes, cela serait une décision suicidaire, parce qu'Israël pourrait commencer à détruire physiquement leurs dirigeants.

Cheikh Nasrallah, Khaled Mechaal, Mahmoud al-Zahar et Ismaël Haniyeh - les dirigeants du Hezbollah au Liban et du Hamas dans la bande de Gaza, n'ont pas oublié qu'en 2004 des missiles israéliens ont tué le fondateur du Hamas Cheikh Ahmed Yassine.

Et ils ne ressemblent pas aux kamikazes, qui sont prêts à se sacrifier pour le salut de l’Iran, conclut l’expert.

french.ruvr.ru


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Ces nombreuses traîtrises vont-elles aboutir à l' inanition d'un Etat Palestinien souverain  ?

En tous cas ces multiples  trahisons aboutiront, certainement, sur une attaque de grande envergure sur le ghetto de Gaza et cela quelques soit le nouveau nom, qui sera donné à cet éniéme massacre perpétré sur le  peuple Palestinien  par les colonisateurs/criminels sans foi ni loi que sont les sionistes!!!

 

Seul l'odeur du sang arabe, l'avidité, la racisme et une haine viscerale de l'arabe les motivent....

 

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La plupart des juifs israéliens soutiendraient un régime d'apartheid en Israël, selon un sondage

 

 

Une enquête réalisée par l’institut de sondages public Dialog sur un échantillon de 503 juifs israéliens révèle des sentiments anti-arabes et ultranationalistes partagés par de très larges franges de la société, rapporte le quotidien israélien Haaretz.

59% des personnes interrogées voudraient que les juifs soient prioritaires sur les arabes dans l’accès aux emplois du service public.

 

49% souhaiteraient que l’Etat traite mieux les citoyens israéliens juifs que leurs compatriotes arabes.

 

42% ne veulent pas habiter dans le même immeuble que des arabes et la même proportion refuse que ses enfants soient dans la même classe que des arabes. Un tiers de l’échantillon souhaiterait qu’une loi interdise aux citoyens arabes israéliens de voter aux élections législatives (qui sont les plus importantes dans le système parlementaire israélien).

 

38% des juifs interrogés sont favorables à l’annexion de la Cisjordanie.

Si l’annexion avait effectivement lieu, 69% des personnes interrogées pensent que les Palestiniens ne devraient pas avoir le droit de vote.

 

Haaretz tire d’inquiétantes conclusions de cette étude: 

«L’étude indique qu’entre un tiers et la moitié des juifs israéliens veulent vivre dans un pays qui pratique officiellement et ouvertement une discrimination à l’égard de ses citoyens arabes.

 

Une majorité encore plus large souhaiterait vivre dans un pays pratiquant l’apartheid si Israël annexait la Palestine.»

39% des personnes interrogées pensent d’ailleurs qu’Israël pratique déjà l’apartheid «dans quelques domaines», pour 19%, l’apartheid est pratiqué «dans de nombreux domaines».

58% des juifs israéliens pensent donc qu’Israël pratique déjà l’apartheid dans des proportions plus ou moins grandes.

 

Les résultats de cette étude scandalisent Gideon Levy d’Haaretz, pour qui «les juifs ont mis la démocratie KO»:

«Les Israéliens veulent de plus en plus de judaïsme et de moins en moins de démocratie. A partir de maintenant, ne dites plus démocratie juive. Bien sûr que non, cela n’existe pas. Cela ne peut pas exister. A partir de maintenant, dites Etat juif, seulement juif, uniquement pour les juifs. La démocratie –d’accord, pourquoi pas. Mais seulement pour les juifs.»

Levy note par ailleurs que les Israéliens sont les premiers à dénoncer l’antisémitisme mais ne se rendent plus compte du racisme dont ils font preuve à l’égard des arabes qui sont pourtant des citoyens israéliens:

«Il fait bon vivre dans ce pays, disent la plupart des Israéliens, non pas malgré le racisme, mais peut-être grâce au racisme. Si une telle étude avait été publiée sur l’attitude envers les juifs dans un pays européen, Israël en aurait fait tout un scandale. Mais quand cela se passe chez nous, les règles ne s’appliquent pas.»

The Guardian rappelle que les arabes représentent 20% de la population israélienne.

Pour le quotidien britannique, cette enquête va renforcer les revendications des arabes israéliens qui s’estiment victimes de discriminations racistes.

 

 

Difficile de les contredire lorsque presque la moitié des Juifs israéliens interrogés se prononcent pour le transfert forcé des arabes israéliens vers l’Autorité palestinienne.

 

Lien source :


http://www.slate.fr/lien/63813/sondage-Israel-positions-racistes-nationalistes-segregationnistes

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Vous ne rêvez pas...... C'est bien les victimes d'hier, celle des nazis allemands qui, aujourd'hui se sont transformées en bourreaux - en nouveaux nazis sionistes- du peuple Palestinien...


Comme quoi l'histoire peut se répéter...en changeant seulement les rôles et les protagonistes des mauvaises histoires,  celles  écrites par l'avidité, la bêtise abyssale des hommes/femmes qui peuplent cette planéte....


C'est bien pour cette raison que le Genocide du Peuple Palestinien sera mené a son terme par les sionistes; a moins que les Palestiniens n'y mettent  un terme, en s'unissant, en foudroyant, par les armes, ces sionistes, ces colonissateurs, ces criminels... 

Pour enfin récupérer leurs terres, leur pays.... La Palestine historique!!!....

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Palestine occupée: les étrangers évacués 

 


Les autorités d'occupation ont ouvert le passage d'Erez -au nord de Gaza- pour permettre aux étrangers de quitter la Bande de Gaza.


C'est exactement la même procédure qui a précédé le lancement de l'opération Plomb Fondu

Le président israélien Shimon Pérès a déclaré aujourd'hui "Les fonds qui ont été donnés par le Qatar étaient censés aller à la construction de logements, au lieu de cela, ils financent le terrorisme", "Nous faisons preuve de retenue, mais elle ne durera plus très longtemps", a ajouté le président.

 

"Il est impossible qu'ils nous tirent dessus et que nous restions les bras croisés. Nous serons heureux de voir Gaza se reconstruire et le travail y fleurir, mais il est impensable que l'émir du Qatar vienne et leur donne des millions de dollars et qu'ils nous tirent des roquettes.


Il est impensable où que ce soit -à Londres, à New York ou en Amérique- que d'une part ils collectent de l'argent pour la construction et qu'à la place d'acheter des matériaux de construction, ils tirent.

 

Gaza doit décider si elle veut se reconstruire et se développer ou rester une base terroriste'', a-t-il conclu.


Le Premier ministre Netanyahou a mis en garde le Hamas de Gaza cet après-midi, alors qu'il visitait une batterie du système antimissile "Dôme de Fer" près de la ville d'Ashkélon où deux roquettes sont tombées.

 

"Nous n'avons pas voulu cette escalade, mais au cas où elle se poursuivrait, nous sommes prêts pour une action plus large et plus profonde", a déclaré le chef du gouvernement.


Des milliers de soldats américains sont déjà en Israël pour un exercice militaire conjoint, font-ils partie de cette réponse "plus vaste"? Une "surprise d'octobre" qui pourrait avoir un "vaste potentiel" de destruction...

 

Source : Agences

 


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23 octobre 2012 2 23 /10 /octobre /2012 18:33

 

 

 

 

 

Le président Bachar al-Assad a promulgué aujourd'hui, mardi, le décret législatif N° 71 stipulant amnistie générale pour les crimes commis avant le 23-10-2012,
Damas demande à Paris d'arrêter de soutenir les terroristes en syrie,
Liquidation de nombre de terroristes à Deir Ezzor,

 
Merci de soutenir la Syrie et la résistance du peuple syrien

 

I LOVE SYRIA ..https://www.facebook.com/YACHAME

 


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23 octobre 2012 2 23 /10 /octobre /2012 03:10

Show électoral aux USA.......

par Thierry Meyssan

 

-Au cours des 30 dernières années, aucune élection présidentielle US ... ...n’a marqué de changement dans la politique extérieure de Washington.
Les décisions importantes ont toujours été prises en dehors de cette échéance.
Il est tout à fait évident que le président est le maître d’œuvre d’une politique dont il n’est pas le décideur.
L’impérialisme yankee sera t-il plus performant avec le sourire d’Obama ou avec celui de Romney ?

 

 

Tous les quatre ans, l’élection du président des États-Unis donne lieu à un show planétaire.

La presse dominante parvient à convaincre l’opinion publique internationale que le peuple états-unien désigne démocratiquement l’homme qui dirigera les affaires du monde.

Dans certains pays, notamment en Europe, la couverture médiatique de cet événement est aussi, sinon plus, importante que celle de l’élection du chef d’État local.

 

Implicitement, la presse insinue que si ces États sont des démocraties, leurs citoyens ne décident pas de leur avenir, lequel dépend du bon vouloir de l’hôte de la Maison-Blanche.

 

Mais alors, en quoi ces États sont-ils des démocraties ?


C’est que l’on confond scrutin électoral et démocratie.

 

Cette remarque s’applique aussi aux États-Unis.

Leur grand show électoral serait la preuve qu’ils sont une démocratie vivante. Ce n’est évidemment que poudre aux yeux. Contrairement à une idée répandue, le président des États-Unis n’est pas élu par son peuple, ni directement, ni au second degré.

 

Le peuple US n’est pas souverain et les citoyens ne sont pas électeurs.

Le président est choisi par un collège de 538 personnes, les seuls électeurs, désignés par les États fédérés, les seuls souverains.

Au fur et à mesure du temps, l’habitude a été prise par les États fédérés de consulter leurs citoyens avant de désigner le collège d’électeurs.

L’affaire Gore contre Bush (2000) aura rappelé que l’avis des citoyens n’est que consultatif.

La Cour suprême a considéré qu’elle n’avait pas à attendre le recomptage des voix en Floride pour proclamer le vainqueur.

 

Pour elle, seul importait que l’État de Floride désigne ses électeurs, et pas du tout de savoir ce qu’en pensaient ses habitants.


L’illusion ne s’arrête pas là. Lorsque George W. Bush logeait à la Maison-Blanche, personne n’imaginait qu’un homme aussi inculte et incompétent puisse exercer la réalité du pouvoir.

Chacun pensait qu’une discrète équipe l’exerçait pour lui.

 

Pourtant, lorsque Barack Obama lui a succédé, beaucoup ont déduit que puisqu’il était plus intelligent, il était le pouvoir.

 

Mais comment croire que l’équipe qui exerçait le pouvoir sous Bush y aurait spontanément renoncé sous Obama ?

Regardons un instant l’agenda du président US :

audiences, discours et inaugurations se succèdent sans interruption.

 

A quel moment cet homme aurait t-il le temps de s’informer sur les sujets à propos desquels il lit des discours ?

Il n’est pas plus président que les présentateurs des journaux télévisés ne sont journalistes.

 

Ils font en fait le même métier : lecteurs de prompteurs.


Pourtant, nous sentons confusément que le show Obama-Romney n’est pas uniquement un spectacle ; que quelque chose se décide.

 

En effet, dans le système constitutionnel US, la première fonction du président, c’est de nommer les titulaires de plus de 6 000 postes.

 

L’alternance politique s’apparente ainsi à une vaste migration des élites.

Des milliers de hauts fonctionnaires et des dizaines de milliers d’assistants et de conseillers pourraient être renvoyés au profit de nouveaux, qui seraient majoritairement des anciens de l’ère Bush.

 

L’élection présidentielle US détermine les carrières personnelles de tous ces gens. Et avec elles, son cortège de corruption en faveur de telles ou telles multinationales. Il y a donc des raisons d’investir de l’argent, beaucoup d’argent dans ce duel.

Et la politique internationale dans tout cela ?

 

Au cours des dernières années, les changements ne sont pas survenus lors des élections présidentielles, mais durant les mandats. Bill Clinton (1993-2000) devait poursuivre la réduction des budgets militaires après la disparition de l’URSS et apporter la prospérité économique, mais en 1995 il procéda au réarmement des États-Unis.

 

George W. Bush (2001-2008) devait rationaliser le Pentagone et mener une « guerre sans fin », mais fin 2006, il stoppa le processus de privatisation du Pentagone et commença à préparer les retraits d’Afghanistan et d’Irak.

Barack Obama (2009-2012) devait poursuivre le retrait et redémarrer à zéro les relations avec la Russie et le monde musulman.

Finalement, il a construit le bouclier antimissile et soutenu une révolution colorée en Égypte et des guerres en Libye et en Syrie.

 

Chaque fois, les lecteurs de prompteurs ont opéré sans états d’âme des virages à 180 degrés, trahissant toutes les promesses faites à leur peuple.

 

Le problème de la classe dirigeante US est de trouver le lecteur de prompteur le plus adapté pour justifier les prochains virages politiques.

 

En ce sens Romney représente une nouvelle rhétorique. Il ne cesse de réaffirmer que l’Amérique a vocation à diriger le monde, tandis qu’Obama admet que le monde puisse être ordonné par le droit international.

L’actuel président essaye de résoudre les problèmes économiques en réduisant significativement les dépenses militaires et en transférant le fardeau de la guerre sur ses alliés.

 

Par exemple, il a sous-traité la destruction de la Libye aux Français et aux Britanniques.

Au contraire, Romney affirme que, pour fonctionner, l’économie US a besoin que ses forces armées patrouillent dans les airs et dans toutes les eaux internationales. Par conséquent, il entend maintenir le niveau des dépenses militaires, à la fois malgré la crise et pour la résoudre.


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Insoutenable suspense : qui de Barack Obama ou de Mitt Romney sera choisi pour lire le teleprompteur présidentiel VSS-20 ?

Quelle que soit l’option choisie, le fond ne changera pas.

 

Les États-Unis veulent se dégager du Proche-Orient dont ils sont devenus moins dépendants au plan énergétique.

 

Ils ne pourront le faire qu’en partageant cette région avec la Russie. S’il reste à la Maison-Blanche, Obama présentera cette évolution comme un progrès du multilatéralisme.

 

Si Romney le remplace, il prétendra mener une stratégie reaganienne et attacher un fil à la patte de l’Ours russe pour l’empêtrer dans des conflits interminables.

 

En définitive, sur ce sujet et sur les autres, la seule conséquence de l’élection présidentielle US sera le choix des arguments utilisés pour nous convaincre que l’Amérique est une démocratie agissant avec puissance et bienveillance.

 

De quoi nous plaignons-nous ?

 


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21 octobre 2012 7 21 /10 /octobre /2012 11:27
Le ministre des Finances suédois, Anders Borg, vient d’affirmer, ce 12 octobre 2012 à la radio publique SR, qu’il serait préférable pour la Grèce d’abandonner l’euro afin de redresser son économie.


François ASSELINEAU

Interrogé en marge de l’assemblée du Fonds monétaire international à Tokyo, le très anticonformiste M. Borg a déclaré

« Si la Grèce devait quitter la zone euro, il est probable qu’elle retrouverait sa compétitivité, et qu’alors elle pourrait se remettre sur pied par la suite. »

Et M. Borg a enfoncé le clou : « C’est une voie pénible et compliquée mais il est difficile d’en voir une autre qui pourrait fonctionner. »

En d’autres termes : l’Apocalypse, ce n’est pas de sortir de l’euro, c’est d’y rester !

COMMENTAIRES : LA SORTIE DE L’EURO EST LA SEULE VOIE

Ce n’est pas la première fois que le gouvernement suédois fait montre d’une très grande distance par rapport à la pensée totalitaire des européistes.

Récemment encore, les autorités de Stockholm ont publiquement exprimé leur scepticisme face à la solidarité financière demandée aux États européens.
Elles ont même indiqué qu’elles s’opposeraient à un projet d’union bancaire européenne.

C’est cependant la première fois qu’un membre d’un gouvernement de l’Union européenne conseille officiellement aux Grecs de quitter l’euro, et mieux encore qu’il explique que c’est le seul moyen de sauver la Grèce !

Cette déclaration iconoclaste – qui vaudrait au ministre suédois d’être taxé d’extrême droite, blacklisté médiatiquement et sanctionné professionnellement en France – prend un sel tout particulier lorsque l’on pense au ministre qui l’a faite, et à son pays :

1) La Suède est un pays dont le peuple a refusé de rejoindre la zone euro par un référendum le 14 septembre 2003. Et cela malgré une campagne de terreur que j’ai eu l’occasion de disséquer dans ma conférence « FAUT-IL AVOIR PEUR DE SORTIR DE L’EURO ? » :

http://www.u-p-r.fr/sortie-de-leuro/faut-il-avoir-peur-de-sortir-de-leuro

Or, la Suède connaît depuis lors (c’est-à-dire depuis 10 ans) une économie à la santé insolente, tout comme la Norvège, le Danemark et la Suisse, tous pays qui ont refusé l’euro.

Le ministre suédois sait donc de quoi il parle. Il sait que les menaces de l’arrivée de l’Apocalypse en cas de refus de l’euro ne sont rien d’autre que des manœuvres d’intimidation de la propagande.

Il a pu constater de ses propres yeux que la réalité a prouvé exactement le contraire : le maintien d’une monnaie nationale, donc d’une politique de taux d’intérêt et de taux de change nationale, constitue le meilleur moyen d’assurer la prospérité d’un peuple.

2) En outre, si M. Anders Borg présente une apparence non conformiste (il porte une boucle d’oreille et un catogan : cf. photo), il n’en a pas moins est élu en 2011 « meilleur ministre des finances de l’Union Européenne » dans le classement du Financial Times.

Pourquoi ?
Parce que ce classement prend en compte
  1. « la capacité politique,
  2. la performance économique et la crédibilité sur les marchés » de chacun des ministres des principaux pays européens.
Et qu’il tire les conséquences des résultats brillants de l’économie suédoise (dont le taux de croissance avoisine 4%).

Dans ces conditions, il est quand même bien difficile de taxer d’ignorance ou d’extrémisme ceux qui conseillent de sortir de l’euro !

C’est sans doute la raison pour laquelle les grands médias audiovisuels français – trop occupés ce soir à psalmodier des mantras à la gloire du Prix Nobel de la Paix attribué à l’UE – vont garder le silence sur cette déclaration du « meilleur ministre des finances de l’Union Européenne ».

http://www.u-p-r.fr/actualite/france-europe/suede-conseille-grece-sortie-euro

 


 

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21 octobre 2012 7 21 /10 /octobre /2012 06:57

 

 

 

 

Les les harkis, les traitres mercenaires arabo-musulmans sont entrain de se faire LAMINER par l'armée LEGITIME de la République Arabe Syrienne...!!!

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Saisie d'armes à Deir Ezzor et à Hassaké....Des unités des forces armées liquident nombre de terroristes à Homs, Idleb et Alep,


* Les prédicateurs: Les agressions contre les mosquées en Syrie font partie d'un plan des sionistes, des Etats-Unis et desdits arabes de l'Arabie Saoudite et de Qatar,

 
* Les étudiants syriens en Tchèque réitèrent leur refus catégorique de toute forme d'ingérence étrangère en Syrie. .


Enregistré de officielle syrienne Tv Channel, par https://www.syrianfreepress.net , https://www.facebook.com/Tg24Siria

 

 


 

 

Damas remet à l'ONU une liste de 108 terroristes  étrangers

 

La Syrie a remis une liste de 108 terroristes étrangers arrêtés en Syrie à l'Organisation des nations unies -ONU-.

 

Dressée en arabe, la liste contient les noms d'Irakiens, d'Egyptiens, de Libanais, de Jordaniens, de Tunisiens, de Libyens, ainsi que de réfugiés palestiniens.

La plupart des personnes arrêtées -46- sont des Tunisiens.

 

Le représentant permanent de la Syrie auprès de l'ONU Bachar Jaafari a en outre envoyé jeudi une lettre au secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon et au président du Conseil de sécurité de l'ONU Gert Rosenthal, précisant que la liste expliquait les raisons d'arrestation de chaque personne qui serait impliquée dans les activités terroristes en Syrie.

 

En mai dernier, la Syrie a remis une liste de 26 terroristes de pays arabes voisins qui était envoyés, selon Damas, en Syrie pour commettre des attentats.

 

Selon les données présentées récemment par des experts indépendants au siège de l'ONU, des terroristes de 11 pays participent aux hostilités en Syrie.

 

Source : RIA Novosti

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19 octobre 2012 5 19 /10 /octobre /2012 18:33

 

 

Le minstère des AE: Indices sur l'implication de pays étrangers dans le soutien et l'armement des terroristes en Syrie,

 
* La Russie: Il faut centrer sur ceux qui exportent des armes vers la Syrie pour mener des combats contre l'autorité législative,

 
* Al-Ibrahimi: le règlement de la crise en Syrie dépend au 1er rang des syriens,

 
* Les parties compétentes saisissent différentes armes à Homs.




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7 octobre 2012 7 07 /10 /octobre /2012 15:48

Rien ne changera tant que l'occident dominera la planéte...

5 siécles de terreur, de massacres, de génocides, de colonialismes, de pillages....

Et, pour justifier l'injustifiable, l'occident a toujours eu besoin de créer un "bouc-emissaire", un responsable auquel il fait porter la responsabilité de ses malheurs, de ses maux...De ses erreurs, de ses soumissions, de ses démissions... De sa lâcheté...!!!!

Parce que par essence "l'occidental", "l'homme blanc", "le bon  catholique bon chic bon genre" n'est JAMAIS responsable des conséquences de ses actes...

Parce que par essentiel "l'occidental", "l'homme blanc", le bon catholique bon chic bon genre"  doit justfier sa barbarie pour se donner "bonne conscience" et, rien de tel qu'un "bouc-émissaire"....sur lequel il se déchaîne en ayant auprélable gommé son statut d'être humain respectable, par de nombreuses campagnes de dénigration, de diabolisation....!

Hier, les nazis ont désignés à la vindicte du populo en colére parce appauvri, parce qu'au chômage...à cause de la crise financiére de 29,  les Handicapés mentaux, les communistes, les homosexuels, les sémites juifs....afin qu'il-le populo les dénonce et, les envoi illeco-presto dans les chambres à gaz...

Aujourd'hui, les néocolonisateurs/néolibéraux, l'oligarchie sionistes, pour détourner l'attention du populo des véritables responsables de la nouvelle crise fianciére,  désigne, au populo appauvri, parce qu'au chômage... les Roms, les chômeurs, les communistes, les nationalistes, les sémites arabo-musulmans, comme seuls responsables de ses malheurs....

Que va faire le populo.... Aprés avoir accepté que ses gouvernants attaquent, détruisent, des pays arabo-musulmans souverain?

Aprés que le populo ait accepté que ses gouvernants pillent, colonisent, soumettent les peuples arabo-musulmans...

Le populo va-t-il participer activement à la destruction massive de 1, 3 milliards de musulmans????...

Le populo va-t-il aider à construire des camps - comme celui de Gaza afin d'y enfermer quelques millions de musulmans, les assoiffés, les affamés, les laisser mourir a petit feu...comme il laisse faire en Palestine Occupée...

Comme le populo  laisse faire a GAZA????

Et, aprés avoir participé activement à ces massacres aura-t-il l'hypocrisie d'ériger des monuments, pour glorifier le nom de SES victimes,

pour glorifier le nom de SES "bouc-émissaires...

Pour se donner "bonne conscience" ????

Répétant ainsi encore et toujours les mêmes abominations, à travers les siécles...

Sans rien retenir des erreurs du passé....?

Et, dire que "l'occidental", " l'homme blanc", "le catholique bon chic bon genre" s'auto-affirme "d'essence supérieure",  s'auto-affirme "CIVILISE", alors que ses nombreux actes, les abominations commises, à travers des siécles de domination sont là, pour  ATTESTER, démontrer et prouver sa sauvagerie, son inhumanité, sa montruosités intérieur..

Si, c'est cela être CIVILISE, alors personnellement je préfére et opte pour

le camp "des SAUVAGES"

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Le sort des musulmans au XIXe siècle:

La troublante analogie avec les Juifs du XXe siècle

Par le professeur Chems Eddine  Chitour



-«Ils sont venus chercher les jeunes de banlieue: j’ai approuvé, ce sont des voyous.

Ils sont venus chercher les gens du voyage: normal ce sont des voleurs de poule.

Ils sont venus chercher mon voisin: normal ses parents sont nés au Mali.

Ils sont venus chercher le copain de ma fille: normal ses grands-parents sont nés en Algérie.

Ce matin on a tapé à ma porte. Je ne me souviens plus du lieu de naissance de mes grands-parents.»  Un internaute


 Des poussées de fièvre de plus en plus récurrentes concernant les musulmans se font entendre en Europe. Ces derniers servent de variable d’ajustement quand la misère frappe aux portes.

 

Mutatis mutandis la fameuse citation du pasteur Niemöller peut s’appliquer à la situation actuelle des Musulmans en Europe.

 

Grâce à un relookage pseudo-laïque, en France, la lepénisation des esprits, dans toute l’Europe, l’extrême droite surfe sur une vague islamophobe transversale entretenue à la fois par les pouvoirs de droite et de gauche.


Quelques aspects de la haine ordinaire du musulman

 

Les clivages politiques écrit Kamel Meziti l’historien des religions, s’effacent devant l’ennemi commun, cet islam bouc-émissaire coupable de tous les maux!

 

On l’aura compris, la mode politico-médiatique n’est pas à la conjuration des démons de la haine avec la banalisation d’une islamophobie décomplexée et publiquement assumée. (…) La liberté journalistique et la critique des religions, quelles qu’elles soient, sont un droit imprescriptible dans nos sociétés démocratiques.

Pour autant, l’injure, la stigmatisation et l’incitation à la haine religieuse ne sauraient être convoquées pour servir d’alibi et se substituer à une liberté d’expression chèrement acquise, et élément moteur, consubstantiel de notre Etat de droit.

Charlie Hebdo, journal multirécidiviste dans ses provocations islamophobes, a trouvé encore une fois “le filon en or” dans sa dernière publication de caricatures sordides et répugnantes: au nom de la liberté d’expression, à laquelle nous sommes tous attachés, ce ” charlot hebdo ” déverse sans complexe sa haine viscérale totalement assumée. Sur le plan commercial, l’affaire est, certes, bien huilée dès lors que l’Islam est devenu presque synonyme de sensationnalisme ». (1)

« Ne sommes-nous pas en train de voir se profiler une version revue et corrigée d’un néo-maccarthysme?

 

Force est de constater que nous en apercevons les prémices, notamment après les déclarations de fermeté et l’interdiction de toute manifestation anti-caricatures sous le prétexte de troubles à l’ordre public. (…)

 

Qu’en serait-il si M.Valls interdisait les manifestations des communautés juive, chrétienne, bouddhiste ou même les marches des corporations syndicales en France?

 

L’épisode indigeste des dernières caricatures du Prophète de l’Islam (Qsssl) dans Charlie Hebdo aura tout de même été révélateur d’un modus vivendi entre un ministre de l’Intérieur socialiste et un ancien Premier ministre UMP.

 

Face à ce qui apparaît comme une lecture à géométrie variable d’un concept précieux pour notre démocratie, gageons que les musulmans de France auront tout loisir d’exprimer, dans le cadre de la loi, leur indignation et leur refus d’être salis dans leur dignité et d’être relégués au rang de citoyens de seconde zone.

 

(…) La ” ligne ” Valls n’a d’égale qu’une fermeté de principe dans son appréhension du fait musulman français.

 

Là où la communauté musulmane de France attendait des mots d’apaisement à l’instar de la communauté juive ” qui doit être fière de porter la kippa “, M.Valls a renouvelé son discours de fermeté, alimentant encore l’amalgame.

 

(..) Il ne saurait y avoir d’indignation et de condamnation à géométrie variable. (…) » Conjurer les marchands de haine par la force du stoïcisme pour ne pas succomber à la tentation de l’effet-miroir, tel est le défi pour nos concitoyens musulmans ». (1)


« Il faut croire que vendre de la haine contre les musulmans, cela paye; près les bénéfices de Charlie Hebdo, il en est d’autres bénéfices électoraux.

 

Cette fois c’est Robert Menard qui s’insurge: Nous lisons ce commentaire à son propos: ” N’est-il pas consternant d’observer que lorsque la parole se libère en France, ce n’est plus pour toucher l’intériorité des belles âmes par la magie du verbe, mais c’est pour éveiller ce racisme obscur, qui sommeille, par la noirceur du dénigrement, et toujours à des fins bassement électoralistes (…) Sous le titre percutant ” Ils nous détestent! “, l’oiseau de mauvais augure y est allé de son décryptage hautement délétère sur son blog: estimant que “les prétendues explications de ces actes (“impérialisme US”, “pauvreté endémique”, “relégation des Musulmans”, “mépris pour le monde arabe”) finissent par ressembler un peu trop à des excuses”, il en tire la conclusion que ce qui motive les musulmans en colère, “c’est une détestation de l’Occident dans sa totalité.

 

Ils sont de plus en plus nombreux à vomir nos valeurs, là-bas comme ici, à exécrer tout ce qui fonde nos sociétés: de la liberté d’expression au respect de la femme et même la liberté religieuse”. Puis, se fendant d’un deuxième commentaire, il enfonçait le clou le 22 septembre, en interrogeant sournoisement: “L’Islam est-il soluble dans la démocratie?” (2)

Ajoutons pour notre part que Charlie Hebdo devrait critiquer autant Moïse et Jésus pour être crédible dans sa défense de la “liberté d’expression”.

 

Qui, en France aujourd’hui, oserait faire une caricature de Moïse qui arrose de bombes les enfants palestiniens parce qu’on avait promis une Terre aux juifs?

 

Il y a fort à parier que la communauté juive de France et d’ailleurs réagirait assez mal, et manifesterait plus ou moins.

Alain Gresh démonte la mécanique fine concernant l’Islam victime de la liberté d’expression étendard de la bien-pensance française: ” Dans un éditorial du Figaro (19 septembre), ” Islamisme: le devoir de réagir ” Yves Thréard conclut par ces mots: ” Les pouvoirs publics doivent interdire [les prochaines manifestations], s’interposer, condamner leurs instigateurs “, avant de lancer son cocorico:” La France ne peut se laisser marcher sur les pieds. “. ” Les islamistes veulent encore manifester à Paris. ” Paradoxalement, les mêmes qui se mobilisent pour la liberté de la presse et pour Charlie Hebdo appellent à interdire les manifestations des ” islamistes “.

 

Décidément, la liberté d’expression et de manifestation est à géométrie variable.

 

Charlie Hebdo, qui s’en réclame pour publier de nouvelles caricatures, a viré un de ses dessinateurs vedettes, Siné, sur des accusations mensongères d’antisémitisme.

Ivan Rioufol, dont les chroniques dans Le Figaro et sur son blog sont une défense et illustration des thèmes de l’extrême droite anti-immigrés et islamophobe, explique dans son dernier opus du 19 septembre pourquoi “”Charlie Hebdo” sauve l’honneur de la presse “. (…) Rappelons que la première mesure prise par la nouvelle majorité socialiste du Sénat avait été une loi contre les nounous voilées.(3)

On aurait pu croire que l’islamophobie est européenne, il n’en est rien.

 

Sylvain Cypel nous décrit le sacerdoce anti-Islam aux Etats-Unis: ” Le métro de la ville accueille, depuis le lundi 24 septembre, une campagne publicitaire ainsi libellée:

 

“Dans toute guerre entre le civilisé et le sauvage, soutenez le civilisé. Soutenez Israël, faites échec au djihad.” Sa promotrice, Pamela Geller, qui dirige l’Initiative américaine pour la défense de la liberté (AFDI), patronne en effet une autre formation à l’intitulé plus explicite: “Halte à l’islamisation de l’Amérique”. (…) Le juge Paul Engelmayer a admis que l’on puisse “raisonnablement considérer” que les “sauvages” incriminés sont effectivement les musulmans.

 

Pam Geller est, avec David Horowitz et Robert Spencer, du site Jihad Watch, une des figures de proue aux Etats-Unis de la mouvance anti-musulmans (et/ou anti-Arabes, selon les cas), dont la rhétorique, dépasse dans l’outrance tout ce qui serait considéré comme “raisonnablement” licite en France.

 

M.Spencer a d’ailleurs été nommé par Anders Behring Breivik, l’auteur du massacre d’Oslo en juillet 2011, comme une de ses sources d’inspiration.

Mme Geller, elle, voit en Barack Obama “Hussein, le mahométan ».(4)

 

Les mises en garde contre des nuits de cristal musulmanes.

 

Qu’arrivera-t-il si on laisse faire?

 

Alain Gresh nous met en garde contre les dérives lentes mais inexorables en écrivant:  « Imaginons, en 1931 en Allemagne, en pleine montée de l’antisémitisme, un hebdomadaire de gauche faisant un numéro spécial sur le judaïsme (la religion) et expliquant à longueur de colonnes, sans aucune connotation antisémite, que le judaïsme était rétrograde, que la Bible était un texte d’apologie de la violence, du génocide, de la lapidation, que les juifs religieux portaient de drôles de tenues, des signes religieux visibles, etc.

 

Evidemment, on n’aurait pas pu dissocier cette publication du contexte politique allemand et de la montée du nazisme, et écarter d’un revers de la main, comme le fait Charb dans Libération du 20 septembre, les conséquences de telles prises de position.

Nous vivons en Europe la montée de forces nationalistes, de partis, dont l’axe de bataille n’est plus, comme dans les années 1930, l’antisémitisme, mais bien l’islamophobie.

Un climat malsain s’est installé et les idées hostiles à l’immigration et particulièrement aux musulmans se répandent dans les formations de droite comme de gauche.

En dehors de quelques illuminés (comme Breivik), personne ne réclame un génocide des musulmans.

Mais peut-on faire comme si ces forces n’existaient pas?

Peut-on reprendre le discours et les propositions de ces groupes, accepter le terrain sur lequel ils se placent, sans risques sérieux? “(3)

« Dans une contribution percutante suite à l’assassinat par Bervik de 77 personnes, 

Uri Avnery Israélien, militant des droits des Palestiniens et pacifiste convaincu, écrit dans le même ordre d’idées: ” Le ministre nazi de la Propagande, Dr Joseph Goebbels, appelle son patron, Adolf Hitler, par enfer-phone. “Mein Führer” s’exclame-t-il tout excité. Des nouvelles du monde. Il semble que nous étions finalement sur la bonne voie. L’antisémitisme est en train de conquérir l’Europe!”

“Bon!” dit le Fürher, “Ce sera la fin des Juifs!”

“Hum…eh bien… pas exactement, mein Fürher. Il semble que nous avions choisi les mauvais Sémites. Nos héritiers, les nouveaux nazis, sont en train d’annihiler les Arabes et tous les autres musulmans en Europe.” Puis, avec un petit rire, “Après tout, il y a beaucoup plus de musulmans que de juifs à exterminer.”

” Mais qu’en est-il des juifs?” insiste Hitler “.

” Vous ne le croirez pas: les nouveaux nazis aiment Israël, l’État juif, et Israël les aime!”

“Beaucoup de partis, conclut-il, et de groupes islamophobes renvoient à l’atmosphère de l’Allemagne du début des années 1920, quand les groupes et milices “völkisch” répandaient leur poison de haine, et qu’un espion de l’armée appelé Adolph Hitler gagnait ses premiers lauriers comme orateur antisémite.

 Ils apparaissaient comme insignifiants, marginaux, fous.

Beaucoup de gens riaient de cet homme Hitler, le clown moustachu chaplinesque.

 

Mais le putch avorté de 1923 fut suivi par 1933, quand les nazis prirent le pouvoir, et 1939, quand Hitler lança la Seconde Guerre mondiale, et en 1942, quand les chambres à gaz furent mises en activité.

 

Ce sont les débuts qui sont critiques, quand les opportunistes politiques réalisent qu’engendrer la peur et la haine est la voie la plus facile vers la fortune et le pouvoir, quand des asociaux deviennent des fanatiques nationalistes et religieux, quand attaquer les minorités sans défense devient acceptable comme politique légitime, quand les petits hommes drôles se transforment en monstres. Est-ce le Dr Goebbels que j’entends rire en enfer. » (5)

D’où vient cet acharnement antimusulman, cette islamophobie qui connaît un regain?

Il faut, d’après Samuel Vasquez, déconstruire le mot Islamophobie qui est devenu un mot ” valise ” une éponge, un fourre-tout bien pratique et qui permet de donner corps à tous les amalgames et à toutes les haines.

 

Ecoutons-le: ” Avec la bénédiction du pouvoir, dans l’esprit des récents ” Apéros-Saucisson-Pinard ” et autres ” Soupes au cochon “, une partie du gotha de l’extrême droite européenne s’est donné rendez-vous pour quelques heures à l’Espace Charenton, et ce afin de débattre – joyeusetés gauloises oblige -, des dangers d’une Europe en voie de ” s’hallaliser. »(6)

« (…) Ainsi en est-il, poursuit l’auteur de la critique de la religion musulmane, à la stricte et égale mesure de toute autre religion.(…).

 

Le tollé provoqué par les déclarations de Marine Le Pen, comparant les prières de rue à l’Occupation allemande, suffit à lui seul à illustrer une situation de fait.

Car ne sépare du rejet de l’Islam en France à celui, par extension, des populations d’origine maghrébine et arabe, qu’un pas, que la vice-présidente du FN se défend d’avoir franchi. (…)

 

De Riposte laïque au Bloc Identitaire, les préjugés nourris envers la religion musulmane sont drapés des plus belles toges républicaines, de la défense de l’égalité homme-femme en passant à celle de la laïcité; pour autant, ces subterfuges ne sauraient dissimuler le fond des discours, à savoir une lente mais sûre dégénérescence de la critique de l’Islam vers une stigmatisation de ses pratiquants. » (6)

Que l’on ne s’y trompe pas! les ennemis des Européens d’en bas ne sont pas les étrangers, les mélanodermes et les musulmans qui, les premiers, servent de variables d’ajustement en temps de crise, c’est justement la crise générée par un libéralisme sauvage, une mondialisation-laminoir qui ne fait pas de places aux plus faibles.

 

La crise financière s’est muée en crise sociale. Comme le dit le milliardaire Warren Buffet, la classe des riches est en train de gagner sa guerre: au lieu de renverser la table, les victimes se battent entre elles.

La solidarité perd du terrain. La crise sociale s’est muée en crise de civilisation. L’humanité se cherche. La guerre de tous contre tous est là, alimentée par les discours d’inspiration raciste qui continuent de se déchaîner.


Si rien n’est fait pour mettre un terme à ces dérives, il arrivera aux Musulmans ce qui est arrivé aux Juifs du XXe siècle, des Nuits de cristal de plus en plus récurrentes.

Pour la première fois, il y a une internationale dans le mal qui décide de déclarer la guerre à l’Islam. Partout dans le monde, l’Islam est combattu. Il arrivera un jour prochain où le racisme antimusulman servira d’exutoire à une mal-vie dont les racines sont ailleurs.

Les Musulmans d’Europe même de la dixième génération doivent accepter les lois de la République, éviter l’ostentation et le m’as-tu-vu, la religion devant rester pour tous du strict ressort de la sphère privée en espérant que la République se tienne d’une façon équidistante des religions et applique dans les faits, la laïcité, rien que la laïcité, toute la laïcité. Amen (7)

 

Professeur émérite Chems Eddine  Chitour

Ecole Polytechnique enp-edu.dz


1.Kamel Meziti: Vers une nouvelle chasse aux sorcières Oumma.com 28. septembre 2012


2.Robert Ménard: ” L’islam est insoluble dans la démocratie ” Oumma.com 26. 09 2012


3. http://blog.mondediplo.net/2012-09-20-Charlie-Hebdo-la-liberte-d-expression-et-l   20 09 12


4.S.Cypel: Comment des pubs racistes ont pu tapisser le métro de N.Y Monde 25 09 2012


5. Uri Avnery: Le nouvel antisémitisme 30 juillet 2011, “The New Anti-Semitism” pour l’AFPS Gush Shalom?-?


http://www.france-palestine.org/Le-nouvel-antisemitisme


6. S.Vasquez: http://www.legrandsoir.info/L-islamophobie-un-concept-a-deconstruire.Html


7. http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-sort-des-musulmans-en-europe-86538

 


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7 octobre 2012 7 07 /10 /octobre /2012 15:25

Turquie/Syrie : A chacun d'assumer ses responsabilités,

Par Soraya Hélou

LA TURQUI DECLARE LA GUERRE A LA SYRIE

 

Avec chaque nouveau développement sur le terrain,...

... la Turquie s'enfonce un peu plus dans la crise syrienne et dans la confusion interne.

 

Les rêves ottomans du Premier ministre Erdogan et de son parti de devenir le leader du monde arabo-musulman après avoir pris le contrôle de la Syrie sont en train de s'envoler en fumée.

 

Aujourd'hui, la Turquie si fière d'avoir établi de bonnes relations avec son environnement au cours de la dernière décennie, a des divergences profondes avec l'Iran et l'Irak et elle est au bord de la guerre avec la Syrie, une guerre dont elle n'a visiblement pas les moyens.

Depuis le début de la crise syrienne, la Turquie d'Erdogan et de Davutoglu (le puissant ministre des affaires étrangères) a fait preuve d'une grande légèreté et d'un manque de connaissance du régime qui lui a ouvert les portes de la Syrie.

 

La Turquie s'est ainsi empressée de parrainer l'opposition syrienne et de miser sur la chute rapide du régime d'Assad.

 

Ce sont les services de renseignements turcs qui se présentaient comme les mieux informés sur la Syrie qui ont ainsi inondé les chancelleries occidentales d'informations sur la fragilité du régime, sur la faiblesse prétendue du président Bachar Assad et sur le rôle supposé de son frère Maher, jusqu'alors inconnu des médias occidentaux.

Les responsables turcs se sont ainsi présentés comme les tuteurs de l'opposition, prenant un ton menaçant avec le régime syrien, comme s'ils étaient réellement les décideurs en Syrie.


C'est la Turquie qui a ainsi supervisé la naissance du Conseil national syrien d'opposition ainsi que celle de l'Armée de Syrie libre dont elle a abrité le commandement jusqu'à très récemment.

 

C'est aussi la Turquie qui contrôle le passage des vivres et de l'essence vers la zone de Aazaz au Nord de la Syrie (Que serait-ce alors pour les armes !).

Sans elle, les membres de l'opposition installés dans cette zone ne pourraient pas tenir quelques heures, puisque même les soins médicaux viennent de Turquie.

C'est dire que depuis le début de la crise syrienne, la Turquie n'a pas cessé de s'ingérer dans les affaires internes de ce pays, commençant par soi disant des conseils au régime avant de prendre des initiatives concrètes via l'opposition politique et armée pour le renverser.

Et avec cela, lorsqu'un obus de mortier tombe sur le territoire turc en provenance de Syrie, les responsables turcs s'empressent de dénoncer « l'agression syrienne ».


Comment toutefois appeler les interventions directes et indirectes de la Turquie dans la crise syrienne ?

N'est-ce pas une agression contre le régime et contre les Syriens en général ? Pour l'instant, rien ne prouve encore que l'obus a été tiré par les forces du régime volontairement contre le territoire turc, mais même s'il l'était pourquoi condamner une réaction somme toute naturelle, alors que la Turquie, elle, ne se prive pas d'agresser régulièrement la Syrie et de violer l'intégrité de son territoire, sous prétexte tantôt de pourchasser les indépendantistes turcs et tantôt d'aider l'opposition qui aspire à la démocratie ?

Cette attitude ambigüe ne trompe plus personne et les violentes protestations de la Turquie contre ce que ses responsables qualifient « d'acte de guerre syrien » ne peuvent plus cacher la réalité. L'agresseur est évidemment la Turquie et la victime la Syrie.

 

Les obus de mortier en provenance de Syrie ne sont donc soit qu'une erreur, soit une réaction à l'agression permanente dont le pays est la victime.

Et si aujourd'hui, les deux pays hier encore alliés sont au bord de la guerre, c'est bien à cause de l'attitude de la Turquie à l'égard de la Syrie, qui a transformé la région frontalière en base arrière d'appui contre le régime d'Assad.

Toutes les menaces du monde, ainsi que les déclarations internationales musclées contre le régime syrien ne changeront rien à cette réalité. A chacun d'assumer ses responsabilités.

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PEUPLES OPPRIMES...DEBOUT

LA LIGUE ARABES DES ETATS D'AMERIQUE ...:
LES OCCIDENTAUX DETRUISENT, MASSACRENT, LES PEUPLES MUSULMANS...OCCUPENT...COLONISENT LES PAYS
ET LA LIGUE EST AVEUGLE, SOURDE ET MUETTE...
122-arabe_hypocrisie.jpg

LES PEUPLES SOUVERAINS...S'AVANCENT....VERS... - (Chant du Départ )
La souveraineté a été définie par Jean Bodin (1530-1596) dans son traité "Les Six livres de La République" comme un attribut essentiel de l'État :
"La souveraineté est la puissance absolue et perpétuelle d'une République."
Aucun pouvoir n'est supérieur à la puissance souveraine qui ne peut être anéantie, mais elle n'est pas sans limite (s'exerce sur le domaine public et non privé).
Pour Jean-Jacques Rousseau, le peuple est le seul détenteur légitime de la souveraineté.

En droit, c'est la Constitution qui définit comment s'exerce la souveraineté, quelles sont les institutions qui détiennent le pouvoir et comment elles sont contrôlées.
 
PAYS DETRUITS,
PAYS OCCUPES,
PAYS COLONISES,
PAYS PILLES,
PEUPLES ASSERVIS,
PEUPLES APPAUVRIS, DEPUIS DES DECENNIES PAR UNE OLIGARCHIE AMERICANO-SIONISTE AVIDE AVEC LA COMPLICITE ACTIVE DES PEUPLES OCCIDENTAUX...
      

PALESTINE/PALESTINIENS

 

800px-Flag of Palestine.svg

 

AFGHANISTAN/AFGHANS

LE PROBLEME AFGHAN

 

600px-Flag of Afghanistan.svg

 

 

PAKISTAN/PAKISTANAIS

   

800px-Flag of Pakistan.svg

 

YEMEN/YEMENITES :...Le pouvoir Pro-Us...Tire sur le peuple, comme l'on tire à la foire sur les lapins en plâtre...Sans que cela ne souleve aucune constestation...!!!! 

 

800px-Flag of Yemen.svg

   

ALGERIE/ALGERIENS

 

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Les politiciens français nient les faits

Crimes d'Etat

Les politiciens français réecrivent l'histoire, en s'offrant le "beau rôle"

  

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Le peuple dit : "Ni Shi’ite Ni Sunnite mais Bahreini».

« Nous ne voulons pas renverser le régime comme certains l’imaginent, et nous ne voulons pas obtenir le contrôle du gouvernement. Nous ne voulons pas des sièges et places ici ou là. Nous voulons être un peuple qui vit dans la dignité et dont les droits sont respectés ».  

Les AL KHALIFA repondent par la repression, les massacres, l'occupation saoudienne, encore plus de tyrannie!!!!

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   BAHREIN/BAHREINIS : ...- Monarchie Al Khalifa Et Régime Sioniste Deux Entités Coloniales Racistes Pratiquant Le Nettoyage Ethnique Un Génocide Lent Contre Les Populations Autochtones 

 

Pour ens avoir plus sur la repression là : 

link

BCC800px-Flag of Tunisia.svgC

TUNISIE/TUNISIENS


LE PEUPLE TUNISIEN EXIGE : UNE ASSEMBLEE CONSTITUANTE

Assemblée constituante ?

Une assemblée constituante est une institution collégiale avec pour tâche la rédaction, ou l'adoption, d'une constitution, c'est-à-dire le texte fondamental d'organisation des pouvoirs publics d'un pays. - source Wikipedia

    NOUVEAU DRAPEAU FRANCAIS  

nouveau-drapeau-francais

 

Le peuple français endure quant à lui l'oppression invisible mais tout aussi destructrice que l'idéologie sioniste et l'oligarchie financiére qu'il a lui même installé

 au pouvoir (c'est l'histoire du pendu qui fabrique la corde qui a servi à le pendre)...Si nous voulons casser ces chaines...

 

 

 

 Site source pour les photos:

link

L'ideologie sioniste expliquée par les Chretiens - un rappel historique :

link 

 

Et, si nous nous décidions d'agir...? Comment...? En citoyens/consommateurs/Responsables :

Nous pouvons poursuivre et Renforcer:

boycott israel

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Et parce que les Yankees sont accros au pétrole...Jamais les peuples de cette planéte surtout ceux assis sur cette mane noire...Ne pourrons vivre en paix, nous avons pour obligation d'arrêter d'idolâtrer ces GENOCIDAIRES YANKEES et, de les aider à tomber plus vite dans la fosse à purin !!!!

 

Mc do sheitan


Catégories

LA NOUVELLE MARIANNE


Elle est française...
Indéniablement elle est  française...
Inévitabelement, elle est française,

Assurément, elle est française,
Formellement, elle est française,
Elle est, française... EVIDEMMENT !

Quand le buste de Hafsia HERZI dans toutes les mairies
de FRANCE?


SAINT VINCENT DE PAUL…SYMBOLE DU DON…


LE DON DE SOI


        SAINT VINCENT DE PAUL
1581-1660

         PRETRE HUMANISTE FRANCAIS

Une conscience aigüe de soi et de l'Autre,
Permet d'ouvrir la porte de la Liberté.
Et,

de la maintenir ouverte à  l'Empathie...A la solidarité !
Hadria Riviere

...FEMMES D'HONNEUR...


MARIE GOUZE DITE OLYMPE DE GOUGES (1748-1793)
http://www.histoire-en-ligne.com/spip.php?article=195


LOUISE MICHEL DITE ENJOLRAS (1830-1905)

http://biosoc.univ-paris1.fr/actu/livres/gauthier2.htm


ROSA LOUISE McCAULEY PARKS (1913-2005)
http://fr.wikipedia.org/wiki/Rosa_ParksD


DOLORES IBARRURI GOMEZ DITE LA PASIONARIA (1895-1989)

http://www.mosaique.levillage.org/miroirs/espasionaria.htm

JUSTICE POUR AAFIA SIDDIQUI

 

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