PARTIE I
POUR COMPRENDRE LE PRESENT
ET, APPRENDRE A
DECRYPTER L’AVENIR…
Du 14 novembre au 1er octobre s’est tenu le Procès
des criminels Nazis à NUREMBERG…
http://fr.wikipedia.org/wiki/Proc%C3%A8s_de_Nuremberg
Il y a de cela bientôt … 63 ans…
Qu’en reste-t-il ?
Quelles leçons les occidentaux/ anciennes victimes- ont-ils tiré des abominations commises par les Nazis ?
Qu’ont retenu les peuples qui sont demeurés passifs, devant les abominations, commises par la soldatesque allemande ?
Souvenons-nous aussi :
Des gouvernants, des peuples européens qui, ont collaborés avec le régime des criminels Nazis… quelles leçons tirent-ils
de leur attitude/collaborationniste ?
A quoi ont servi toutes ces souffrances, ces destruction…Ces cadavres…. ?
Quelle morale, quelle principe du « vivre ensemble » ont-il été extrait de ces abominations, de cette expérience meurtriére ?
SURTOUT quelles sont les victimes, de ces massacres perpétrés par les Nazis et oubliées de l’histoire aujourd’hui… ?
Ensuite,
Existe-il des similitudes, des ressemblances entre les
Abominations, les massacres, les exterminations d’hier,
commises par les Nazis, contre les populations Européennes
Et,
Les guerres, les massacres, les colonisations, les destructions, les exterminations, les emprisonnements arbitraires… perpétrés par la soldatesque des forces de la coalition occidentalo/sionistes, les victimes d’hier, contre les peuples de Palestine, d’Iraq, d’Afghanistan, d’Afrique noire, de Mauritanie etc.… ?
Y-a-t-il REPETION de la même tragédie criminelle, prétendument du passé avec dans le rôle des bourreaux les victimes OCCIDENTALES d’hier et, dans la fonction de victime un nouveau « bouc émissaire » de l’idéologie Nazie qui, pour la circonstance a revêtu, les oripeaux de l’Idéologie sioniste, celle d’un peuple élu qui, s’estime, au-dessus des règles imposées,
par le Droit international ?
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Extrait de L’article- en date d’octobre 1966 -
Ecrit par un témoin direct, de ce passé trouble…:
Daniel MAYER, Président de la Ligue des Droits de l’Homme, ancien Ministre :
… »Le 21 avril 1945, la débâcle est complète.
Berlin tremble sous le grondement des artilleries soviétique, dont les batteries approchent sans cesse…
L’échéance n’est plus qu’une question de jour …
Au terme de leur sanglante domination, les anciens notables de l’Axe ne se font plus d’illusion :
« …Si, nous perdons cette, que le ciel ait pitié de nous ! », s’était exclame le maréchal Goering, le 3 septembre 1939.
Faits rapportés, lors de l’instruction du procès de Nuremberg par Hans Fritzsche, commentateur de Radio-Berlin et adjoint de Goebbels au Ministère de la Propagande :
Les puissances alliées ont constamment renouvelés leurs avertissements et proclamé leur volonté de châtier les coupables.
Le bilan de l’IDEOLOGIE NAZIE :
En POLOGNE :
Automne 1939 :
Les premières informations parviennent dans les capitales OCIDENTALE, relatives à la brutalité de l’OCCUPATION allemande en Pologne asservie.
Des refugiés passés en Roumanie ou en Hongrie, rapportent les mesures prises a l’encontre des élites en vue de DETRUIRE LA NATION POLONAISE.
L’enseignement secondaire et supérieur est supprimé.
Des professeurs, des instituteurs sont arrêtés, torturés et passés par les armes.
Des notables, des prêtres, de hauts fonctionnaires, sont également fusillés.
Dans certains villages, des familles entières sont abattues ; dans les villes crimes et pendaisons se succèdent, terrorisant ne population déjà affamée par des rations alimentaires inférieure à la moyenne vitale.
Tout se passe comme si le territoire polonais devait être TRANSFORME EN DESERT avant sa repopulation par les SEULS ALLEMANDS.
En application des principes de la « guerre totale », les offensives de la Wehrmacht ont toujours été précédées de violents bombardements aériens contre les populations civiles.
Après la Pologne, la Luftwaffe porte ses coups contre les villes de Norvège, en avril 1940, puis contre celles des Pays-Bas, de Belgique et de France, un mois plus tard.
ROTTERDAM, devait demeurer le symbole d’horreur de cette nouvelle méthode de guerre.
C’est cependant en YOUGOSLAVIE et en UNION SOVIETIQUE que se révèle la démesure des occupants.
Elle s’exerce à l’encontre des peuples SLAVES, si méprisés par les maîtres de « l’Ordre Nouveau » européen.
Les « Untermenschen »-« Sous-hommes », n’y ont pas leur place, si ce n’est à titre d’ESCLAVES.
Dés le mois de mai 1941 en SERBIE, et au mois de juin en BIELORRUSSIE et en UKRAINE les sévices, les exactions et les exécutions sommaires commencent, selon des méthodes mises au point en POLOGNE.
Les responsables politiques prisonniers sont passés par la plupart par les armes.
Les militaires sont parqués dans des camps, démunis de ravitaillement, d’abri et de soins.
Les marches sont longues et épuisantes, les trainards sont abattus.
Vols, Pillages, scènes de pendaisons sont bien souvent le lot des populations des TERRITOIRES OCCUPES. De l’EST.
Premières mises en garde :
En dépit du manque de communication, les nouvelles de ces crimes sont relatées avec détail dans la presse occidentale et à la radio soviétique.
Bientôt la répression aveugle s’étend aux pays de l’Ouest.
Le 25 octobre 1941, après les fusillades collectives de Châteaubriant, le président Roosevelt élève une solennelle protestation contre ces horreurs injustifiables.
Son intervention est d’autant plus importante qu’elle émane à l’époque du représentant d’un pays neutre.
Ajout perso :
Un pays dont les banquiers ont financés
l’accession au pouvoir de Hitler- voir là :
http://suntzu.vox.com/library/post/les-usa-et-les-nazi-vous-disent-vive-le-fric-on-recommence.html
Roosevelt :
… »La pratique consistant à exécuter des quantités d’innocents en représailles d’attaques isolées contre les Allemands dans les pays, temporairement, sous la bottes des nazis, révolte un monde déjà endurci à la souffrance et à la brutalité, assure-t-il.
Les peuples civilisés ont, il y a longtemps, adopté le principe de base que nul ne saurait être puni pour le fait d’autrui.
Dans l’impossibilité d’appréhender les personnes responsables de ces attaques, les nazis massacrent cinquante ou cent innocents.
« ceux qui, voudraient » « collaborer » avec Hitler ou tenter de l’apaiser ne peuvent oublier cet affreux avertissement.
Les nazis auraient pu retenir des enseignements de la derniére guerre :
L »IMPOSSIBILITE DE BRISER L’AME DE L’HOMME PAR LA TERREUR.
Au lieu de cela, ils développent leur « espace vital » et leur « ordre nouveau » par le moyen d’une épouvante qui dépasse tout ce qu’eux-mêmes avaient fait auparavant.
« Ce sont là, des gestes d’hommes désespérés qui savent intiment qu’ils ne peuvent vaincre.
L’épouvante ne pourra JAMAIS apporter la paix à l’Europe.
Elle ne fait que semer des graines de la HAINE qui un jour conduira à un châtiment terrible ».
Winston Churchill, Premier Ministre britannique s’associe pleinement à cette déclaration en évoquant pour la première fois la notion de châtiment :
« Le gouvernement de Sa Majesté s’associe pleinement aux sentiments d’horreur et de réprobation exprimés par le président des Etats-Unis au sujet des massacres nazis en France.
Ces exécutions d’innocents, faites de sang-froid, ne pourra que retomber sur les sauvages qui les ordonnent et sur les exécutants.
Les massacres en France sont un exemple de ce les nazis font dans beaucoup d’autres pays sous leur joug…
Le châtiment de ces crimes doit à présent compter parmi les buts majeurs de la guerre… »
Un mois plus tard, exactement MOLOTOV, ministre des Affaires étrangères de l’UNION SOVIETIQUE, dénonce à son tour l’action criminelle entreprise par les Allemands dans les territoires envahis.
Le 6 janvier 1942, il réaffirme ces accusations en dénonçant le caractère murement réfléchi de ces crimes :
« Des faits irréfutables prouvent que le régime de pillage et de terreur sanglante des villes et villages occupés à son origine non seulement dans les excès d’officiers et soldats allemands pris individuellement, mais dans un système bien défini , élaboré à l’avance et appliqué par le gouvernement allemand et le Haut Commandement allemand qui encouragent délibérément parmi les soldats et officiers de leur armée les instincts les plus brutaux ».
Dés ce moment, prend forme un projet de répression des viols MANIFESTES et DELIBERES du droit International dans les territoires occupés.
Le 13 janvier 1942, se réunit à Londres une Conférence groupant les représentants de NEUF puissances Européennes continentales, en guerre avec l’Allemagne :
GRECE, PAYS-BAS, YOUGOSLAVIE, Le LUXEMBOURG NORVEGE, POLOGNE ET LA TCHECOSLOVAQUIE.
Se référant aux textes de la Convention Internationale de la Hay, qui défend aux belligérants :
« Tous actes de violences contre les populations civiles des TERRITOIRES OCCUPES, le non-respect des lois de ces pays et l’abolition de leurs institutions légales », ils rédigent la proclamation suivante :
« Parmi les buts de guerres essentiels des Alliés figure la punition des responsables de ces crimes qu’ils aient ordonnés, commis eux-mêmes ou qu’ils y aient participés.
Les gouvernements signataires sont fermement résolus à veiller à ce que :
1) Les criminels de n’importe quelle nationalité, soient recherchés, traduits devant un tribunal et jugés.
2) Que les jugements soient exécutés »
A l’immunité traditionnelle des tribunaux militaires…
… »Il par conséquent compréhensible que les Alliés de la seconde guerre mondiale ne soient plus cette fois disposés à confier la tâche répressive à une juridiction allemande…. »
17 décembre 1942 seconde déclaration interalliée elle a été publié simultanément à Londres, Washington et à Moscou à la suite des informations selon lesquelles les autorités allemandes s’employaient à EXTERMINER les populations EUROPEENNES, dont de nombreuses minorités juives.
Dans ce texte, les neuf puissances occidentales précédentes et les trois Grands réaffirment solennellement leur volonté de châtier les CRIMINELS DE GUERRE, responsables de ces EXTERMINATIONS.
Ajout perso :
Aux neufs Etats continentaux s’ajoutent les Etats6Unis, la Grande-Bretagne, la Chine, le Danemark, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, le Canada et l’Inde.
Les trois grands abordent cette question pour la première fois lors de la Conférence de TEHERAN le 29 novembre 1943 sans qu’une réponse précise ne soit formulée :
« STALINE nous reçut à dîner, déclarera par la suite Winston Churchill. Nous étions très peu nombreux :
STALINE et MOLOTOV, le président ROOSEVELT, HOPKINS, HARRIMAN et CLAK KERR, moi-même et EDEN, avec nos interprètes.
Chacun se détendit après les travaux de la conférence et de nombreux toasts furent portés.
A un certain moment, Elliot Roosevelt, qui était venu, en avion, rejoindre son père, parut à la porte et quelqu’un lui fit signe d’entrer.
Il prit donc place à notre table, intervient même dans la conversation, et il a fait, depuis, un récit très coloré et remarquablement fallacieux de ce qu’il entendit.
« Staline, comme le raconte Hopkins, s’amusa fort à ma « taquiner », ce que je pris avec beaucoup de bonne humeur, jusqu’au moment où le maréchal se mit à évoquer sur le mode badin un aspect grave et même mortel du châtiment à infliger aux allemands.
Il déclara qu’il fallait liquider leur grand Etat-Major.
La force des armées hitlériennes reposant entiérement sur 50 000 officiers et techniciens environ, si on les rassemblait pour les fusiller à la fin des hostilitées, c’en serait fini de la puissance militaire allemande.
Je me crus alors obligé d’intervenir :
« Le aprlement et l’opinion publique britannique ne toléreront jamais des exécutions en masse.
Même s’ils les laissaient commencer sous l’effet des passions dechaînées par la guerre, ils se retourneraient avec violence contre les responsables dés les premiers massacres.
Que les soviets ne se fassent aucune illusion sur c epoint ».
« Stalinne, cependant, peut-être seulement par malice, n’abondonna pas le sujet.
« Il y en a 50 000 à fusiller », dit-il.
Je me mis dans une colére violente.
« Je préférerais être conduit tout de suite dans le jardin pour y être fusillé moi-même que de souiller l’honneur d emon pays et le mien propre par une telle infamie !».
Sur ce, le président Roosevelt intervient.
Il avait un compromis à proposer.
On n’en fusillerait pas 50 000 MAIS 49 000 seulement !
Il espérait ainsi, sans aucune doute, tourner l’affaire au ridicule.
Eden me faisait également des signes et des siestes pour m’assurer que c’était une simple plaisanterie.
« Mais Elliot Roosevelt se leva et, de sa place au bout de la table, fit un discours, déclarant qu’il approuvait de tout cœur le projet du maréchal Staline et que l’armée américaine, il en était sur l’appuierait.
Devant cette intrusion, je me levai, quittai la table et passai dans la pièce voisine plongée dans une demi-obscurité.
« Je n’y étais pas depuis une minute que, des mains s’abattaient, par derrière, sur mes épaules :
C’était Staline et Molotov à ses côtés.
Tous les deux souriaient largement et déclaraient avec chaleur qu’ils voulaient plaisanter, qu’il n’y avait jamais rien eu de sérieux dans leurs propos.
Staline sait déployer beaucoup de charme, quant il le veut, et jamais je ne le vis en montrer autant qu’en cette occasion.
Bien que je ne fusse pas tout à fait convaincu- et, je ne le suis pas encore aujourd’hui- qu’il n’y eût pas là que des propos futiles, sans arrière-pensées sérieuses, je consentis a revenir dans la salle à manger et le reste de la soirée se passa agréablement »..
Extrait de Churchill « Mémoires », livre V, T.2, pages 47/48
LA PARTIE II :
LES ACTES D'ACCUSATION....,
CE QUE, NOUS DEVONS A NOS AMIS RUSSES...
PAR LE PRIX FORT QU'ILS ONT PAYE
POUR STOPPER L'AVANCEE DE L'ARMEE HITLERIENNE
COMME AUJOURD'HUI, ILS-NOS AMIS RUSSES- S'ACHARNENT A STOPPER L'AVANCEE DE L'ARMEE DES USIONISTES ET, DE LEURS COMPLICES EUROPEENS
PROCHAINEMENT....