EN AFGHANISTAN :
Carrefour de l'Asie sur la route de la soie, nation de nomades, de cultivateurs et d'artisants, en 1965 l'Afghanistan et ses multiples ... éthnies comptent sur la toute nouvelle constitution pour accélérer leur entrée dans le concert
des nations....
Ils étaient une fois l'Afghanistan
...Entre temp,la guerre est passeé par la, "les Usionistes et leurs complices Européens et, une fois, encore la France- l'Algerie n'ayant pas étè une leçon mortifiére, suffissante - colonisateurs, Genocidaires réglent leur compte sur le dos du peuple Afghan et, cherchent à s'approprier l'Afghanistan, comme aux beaux temps des conquêtes coloniales et, tout cela sous des pretexte fallacieux, de " chasse aux terroristes...
L'Afghanistan, aujourd'hui : Une Guerre, Une Extermination, Une Occupation, Une Colonisation ...
Quand les Français filment leurs bombardement
SOUVENONS-NOUS :
« La visite précipitée de Nicolas Sarkozy à Kaboul a fait apparaître les Français comme des faibles aux yeux des Talibans »
Bakchich a également rencontré un officier français spécialiste de l’Afghanistan qui souhaite conserver l’anonymat.
Il revient de ce pays où des combattants talibans lui ont raconté comment ils perçoivent les troupes françaises et leurs bombardements.
Comment les Talibans voient-ils les troupes étrangères présentes en Afghanistan dans le cadre de la Force internationale d’assistance à la sécurité (FIAS) ?
Les Talibans se considèrent du côté du bien et estiment que les forces étrangères se comportent en barbares. Surtout les Américains.
Par exemple, ils ne comprennent pas que ces derniers ne procèdent pas à des échanges de prisonniers, ce que les Talibans avaient l’habitude de faire dans le passé.
La doctrine de guerre de l’administration Bush les considère en effet comme des terroristes et non comme des soldats.
Les Talibans se plaignent aussi que les Américains torturent leurs prisonniers alors qu’eux-mêmes affirment qu’au nom de l’Islam, ils n’ont pas – et ne peuvent pas avoir – recours à ces pratiques.
Enfin, ils perçoivent avec le plus grand mépris les bombardements de ce qu’ils appellent les « forces occupantes ».
Pour eux, le combat d’homme à homme est une vertu masculine. Le bombardement qui tue sans discernement est considéré comme une pratique injuste.
Justement, l’armée française bombarde régulièrement leurs positions.
Quel impact cela a-t-il sur la perception qu’ont les Talibans des soldats français ?
La seule chose que les Talibans disent des Français est :
« ils bombardent ».
Ce qui, à leurs yeux, nous place moralement du mauvais côté.
On est donc loin de l’image des Français qui nous est restituée par les grands médias nationaux faisant l’éloge de la « French touch » et du comportement humain des soldats sur le terrain ainsi que dans les villages afghans.
Aujourd’hui, les Talibans ne font plus aucune différence entre les Français présents en Afghanistan avec des armes et ceux présents sans armes, comme les humanitaires.
Ils se disent que dans les deux cas de figure ce sont des étrangers qui les occupent.
Selon vous, comment a été interprétée la visite de Nicolas Sarkozy en Afghanistan après le décès de dix militaires français au cours d’une attaque talibane le 18 août dernier ?
La visite précipitée de Nicolas Sarkozy à Kaboul leur a fait apparaître les Français comme les faibles ou le ventre mou de la coalition internationale présente en Afghanistan.
Ce qui ne peut que les inciter à concentrer désormais sur eux leurs attaques.
Lire ou relire dans Bakchich :
Afghanistan, cette guerre qui ne dit pas son nom
Alors que l’émotion est encore vive quatre jours après le décès de dix soldats français en Afghanistan, la communication politique a repris le dessus.
Elle ne brille pas par son honnêteté.
Décryptage.
LIEN SOURCE :
http://www.bakchich.info/article4778.html
TERRORISMES ET CONTRE-TERRORISMES :
Palestine, l'Irak, Afghanistan
-partie 1-
Gérard CHALIAND -né en 1934 à Bruxelles- est un
Géo-politologue et aventurier français.
Il est spécialiste de l'étude des conflits armés et des relations internationales.
Résumé
Naguère, le terrorisme était considéré comme une technique d'irréguliers pour forcer à des concessions politiques un adversaire beaucoup plus puissant et le contre-terrorisme était, en général, une affaire de police.
Avec la montée de l'islamisme radical, particulièrement à partir du milieu des années quatre-vingt dix lorsque les Etats-Unis et ses alliés au Moyen-Orient sont désignés comme ennemis, la négociation n'est plus de mise.
L'affrontement, comme l'a montré le 11 septembre 2001, est désormais dénué de toute préoccupation tendant à une solution négociée.
En réponse, le contre-terrorisme ne se contente plus d'être une activité policière mais cherche à frapper l'adversaire ou ses alliés réels ou supposés dans leurs citadelles.
Ainsi de l'Afghanistan, et plus récemment, de façon machiavélienne, de l'Irak.
L'exposé cherchera, de 1968 à nos jours, à dégager les grandes lignes du phénomène terroriste de la Palestine à l'Irak, en essayant d'en dégager surtout les enjeux politique.
PARTIE II
PARTIE III
Plusieurs passages de l'émission de ce soir ou jamais consacré à la guerre d'Afghanistan
Ils disent selon moi beaucoup de vérités -surtout l'Américain-.
Sujets brièvement abordés :
- Sarkozy et son changement de positions
- Talibans -diabolisation?-
- Propagande médiatique
- Situation globale
- La drogue -pavot-
La face cachée de la guerre en Afganistan
COMMENT VENDRE LA GUERRE AUX
PEUPLES :"EXPORTER UNE PSEUDO DEMOCRATIE"
PARTIE I
PARTIE II
PARTIE III
PARTIE IV