LE SIONISTE : SARKOZY SOI-DISANT PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE FRANCAISE!!!
BRAVO !!!!
ET, CELA NE S'ARRETERA PAS AU SANG DES PALESTINIENS....
CE PSYCHOPATHE NOMME SARKOZY, N'A PAS FINI D'EN DEVERSER DES CADAVRES...
ASSAD-PRESIDENT SYRIEN, SARKOZY - : DIALOGUE DE SOURDS
UN ARTICLE DE LEILA MAZBOUDI
06 janvier 2009
Peser sur le Hamas "pour un retour à la paix", c'est la solution prônée par la France pour mettre fin à la guerre israélienne menée contre la Bande de Gaza, solution défendue par le président Nicolas Sarkozy, lors de sa rencontre avec son homologue syrien BACHAR-EL-ASSAD.
Déclarant être " convaincu que la Syrie peut apporter une contribution importante dans la recherche d'une solution", Sarkozy l'a sollicité de "convaincre le Hamas de faire le choix de la raison, de la paix et de la réconciliation" entre les Palestiniens divisés.
Dans son approche du conflit qui fait rage, Damas prône pour une autre solution:"c'est 'Israël qui devrait arrêter ses frappes barbares contre le peuple palestinien" a déclaré le président syrien, rapporté par l'agence de presse officielle syrienne SANA, durant sont entretien, qualifiant ce qui se passe dans Gaza de crime de guerre, révélant que la plupart des victimes étaient des civils, des femmes et des enfants.
Selon plusieurs analystes arabes, les propos de Sarkozy adhèrent au point de vue israélien, soutenu inconditionnellement par les Etats Unis, qui impute au Hamas la responsabilité de l'escalade militaire qui avait précédé la fin de la trêve, le 19 décembre dernier entre les deux parties antagonistes.
L'escalade avait pourtant été déclenchée au début du mois de novembre, lorsque l'entité sioniste a tué dans une incursion 6 Palestiniens, puis en a tué par la suite plus de 20 autres, dans différentes frappes, alors que les ripostes de la résistance palestinienne n'ont fait aucune victime israélienne.
La position de la Syrie qui abrite les bureaux de différentes factions de la résistance palestinienne, dont celui du Hamas est perçue comme étant proche de celle de ce dernier:
l'arrêt des agressions israéliennes (qui ont repris début novembre) et la suspension du blocus imposé à la bande de Gaza, depuis la victoire du Hamas aux élections législatives en 2006 et la formation du gouvernement, puis renforcé en 2007, après l'échec de la tentative du coup de force du chef de la force préventive,
Mohammad DAHLANE de prendre le pouvoir dans la Bande de Gaza.
Entre les deux positions, française et syrienne, et loin des convenances diplomatiques, il n'y a rien de commun. Dans l'état actuel des choses, où la bataille fait rage, elles n'ont aucune chance de s'entrecroiser.
La prépondérance de l'une d'elles dépendra de l'aboutissement de cette guerre, qu'Israël peine à finir en sa faveur.