EN SOLDIARITE AVEC LES PARENTS DES ENFANTS DU COLLEGE DE MARCIAC DANS LE GERS

PARTIE III

 URGENT:

MOBILISATION devant le collège de MARCIAC

Merci de faire passer au plus vite, au plus grande nombre de vos contacts.

APPEL à la MOBILISATION

DEVANT LE COLLÈGE DE MARCIAC

lors de la tenue du C.A

VENDREDI  5 DÉCEMBRE à partir de 17H.


J'appelle les hommes et femmes, les parents d'élèves, les enseignants, les élus, les représentants d'associations, les responsables syndicaux d'enseignants et d'associations de parents d'élèves, toutes les personnes qui souhaitent dénoncer que la "terrorisassion" et,  l'intimidation sont à l'opposé de toutes actions de prévention constructive en direction des collégiens.

J'appelle toutes les personnes sensibles aux questions de respect des enfants

dans les établissements scolaires à se mobiliser

Ce vendredi 5 décembre 2008.

Cette mobilisation pour un "OUI"à la prévention,

mais pour un "NON" à la "terrorisassion"

se veut dans le respect de chacun, comme une mobilisation bienveillante

afin que plus jamais des enfants puissent être victimes de tels actes.


NOTA BENE :

Si vous ne pouvez être physiquement présent mais que vous souhaitez apporter vos réactions ou témoignages,

Je vous invite à les envoyer à mon adresse internet :

fredspirale@yahoo.fr.

Mais aussi au collège à

 viescolairemarciac@yahoo.fr

Comments

[Pierre]

Au fait! vous voulez m'estampiller désolé mes commentaires ne refletent que le bon sens

[Pierre]

Aprés ce brillant plaidoyé et ne me gargarisant de mots toute la Sainte journée.Sortez de chez -vous au lieu de vous cantonner dans votre sphére intellectuelle.

[Pierre]

"Nous avons téléphoné hier soir au papa de Zoé "Une question de bon sens:le pére était-il présent,lors de l'intervention? ,vous ne relatez qu'un seul son de cloche.Je vous renvoie le compliment:"Votre idéologie vous aveugle….ET VOUS A RETRECIE CONSIDERABLEMENT LE CERVEAU…. VOUS DIS-JE…"

[Hadria RIVIERE]

 


Bonjour Pierre,


QUELQUES RECISIONS :


1ere


Vous portez le prénom d’un apôtre qui, après avoir
renié par deux fois - et ce bien avant le chant du Coq Jésus - décide parce que, habité par la  CULPABILITE,  d’ENFERMER Dieu dans des églises….


Comme si, Dieu ne pouvais se trouver qu’entre quatre
murs bien épais et IMPERMEABLE ?
2éme …


Au lieu et place de vous acharner ainsi sur les enfants
sous des dehors hypocrite de « vieux père compréhensif «  alors que vous êtes habité par la haine  de l’Autre, parce au service d’une
IDEOLOGIE NECROPHILE, au seul service de la MORT, ASSUMEZ clairement votre Haine de l’Autre, ne la cachez surtout pas derrière une rhétorique liturgique en faisant croire que, vos objectifs
s’inscrivent dans une démarche d’Amour de compassion pour l’Autre…C’est cela le courage et l’honneur : ASSUMER,


3éme


Il y a quelques temps, je me suis rendue compte, en
analysant la provenance des visiteurs de ce blog – qu’un site qui, défend et assume ses thèses racistes et xénophobes etc.,  avait repris et
référencée  la photo du film de Souad El Bouali  accompagnée du texte– sans la commenter…De fait, j’ai
reçu quelques visites et, jamais je n’ai reçu de commentaires insultants ou désobligeants,  sur un blog qui, défend et assumé ses thèses racistes,
xénophobes etc.


Je n’ai pas quant à moi demandé des explications et
encore moins exigée que soit supprimé les références de mon blog… J’ai laissé en l’état..


Ceci pour vous dire : Toutes les idéologies ont
droit de citée dés lors qu’elles sont CLAIREMENT ET VERITABLEMENT ASSUMEES…


Vous tournez autour du pot de miel d’un air gourmand,
vous cherchez à vous en approcher, à vous l’appropriez, à la voler  mais refusez d’assumer les conséquences de votre gourmandise, c’est cette
hypocrisie là…qui, me donne envie de vomir…


Il n’est que de lire vos différents commentaires
quelque soit l’argument qui vous ait opposé au lieu et place d’en démonter la fausseté…Non, vous en opposez un autre aussi mesquin aussi bête que le précèdent…


Discuter avec vous, source d’une  perte de temps, considérable.


Mes
hypothèses :


Vous n’avez pas d’enfants,


Vous êtes un vieux agris, égoïste, d’une très grande
étroitesse d’esprit, effrayé devant les années qui, viennent alourdit votre acte de naissance, vous craignez la mort car vous voulez encore et encore jouir de la vie…


De fait, vous ne supportez pas de voir,  devant vous des jeunes, débordants de vitalité alors que la votre, de vitalité et de vie, vont en s’amenuisant,


Vous ne supportez pas de devoir bientôt renoncer aux
plaisirs incommensurables de la vie alors que vous pouvez constater que ces « JEUNES » eux, ont la vie devant et pourront donc jouir de ce qui, vous sera refuse… INSUPPORTABLE pour
vous,


Vous refusez de VIELLIR et, vous ne supportez pas la
jeunesse chez « l’Autre » alors pour faire PAYER à ces abrutis de jeunes leur JEUNESSE et surtout pour effacer de vos yeux le spectacle de la vie, de la joie, des plaisirs qui, vous
sont ou seront bientôt refusés, vous cherchez et justifiez la DISPARITION de ces jeunes…


Comme vous êtres trop lâche pour les MASSACRER
physiquement tous, vous optez pour l’ENFERMEMENT = SUPPRESSION ET PUNITION non pas d’avoir fait des « bêtises » mais d’être ce qu’ils sont : Des jeunes avec la vie, des années
devant eux !!!!


En effet, je ne suis pas une adepte de cette
idéologie..


Je préfère et suis au service de la
VIE…


Les vieux – comme vous ou comme moi (j’ai 50 ans-
doivent) laisser la place et accompagner les jeunes sur le chemin de la vie non pas en cherchant toutes les solutions possible et imaginables pour les ENFERMER, les réduire à néant…Mais, pour
leur apprendre a gerer leur liberté quelle soit psychique ou physique !!!


En acceptant cette idée toute simple mais qui, pourtant
à désertée notre société égo-NARCISSIQUE : Nous ne sommes pas ETERNELS, il ne sert a rien de jouer les compétiteurs de la jeunesse contre nos propres enfants…La jeunesse n’est pas
ETERNELLE..La vie est une succession de passages de relais…


Nous avons reçu le relais de nos parents…Nous le
passerons à nos enfants qui, eux-mêmes etc.…


Il n’y a eu que, NARCISSE pour croire ou penser qu’il
est ETERNEL (et ce, malgré les progrès de la chirurgien esthétique etc.…)


Il n’y a que les individus comme vous, ceux du
gouvernement, ceux de l’autoproclamé Elite ou pseudo-Intellectuel  qui, tels des nihilistes, s’en vont leur chemin…Au seul service de leurs instincts
mortifères !!!


Un nihilistes, ne cherche certainement pas à
accompagner de jeunes enfants sur le chemin leur  transformation en adultes responsable et respectueux de la vie et ce quelque soit la forme que,
revêt la VIE !!!


Si, c’est cela avoir l’esprit RETRECIE par cette
IDEOLOGIE…ALORS OK !


J’assume : je suis donc une Femme a l’esprit
REDUIT par le RESPECT de la vie, la solidarité, l’entraide et la fraternité…OUI et triple OUI…


 J’ai
l’esprit rétréci par justement, toutes ces belles  croyances là…


Par cet idéal de VIE
là !!!


JE VOUS SUGGERE – EN VAIN D’AILLEURS JE LE SAIS - POUR
SORTIR DU COULOIR LIMITE, DE LA PENSEE UNIQUE…QUELQUES OUVRAGES, INSTRUCTIF A LIRE


BIBLIOGRAPHIE – DELINQUANCE DES
MINEURS :


« LA JUSTICE DES ENFANTS PERDUS- INERVENIR AUPRES DES
MINEURS


Manuel PALACIO


 


NOTE EDITEUR – « LA DECOUVERTE » :


En vingt ans, la délinquance des mineurs est devenue un sujet d’inquiétude
majeur en France et constitue l’une des figures les plus emblématiques – avec le chômage – des angoisses sociales actuelles, les politiques publiques n’amenant pas la décrue annoncée. Blousons
noirs, jeunes en errance ou en manque de repères…


De tout temps, la société a eu ses « enfants perdus », s’interrogeant sur leur
prise en charge et y répondant essentiellement en les renvoyant à sa marge.


C’est au XXè siècle que va progresser l’idée qu’au-delà de la
sanction de la faute, il faut réinsérer le mineur qui l’a commise en lui apportant l’éducation qui lui a manqué.


Mais cette justice originale a été mise à mal : les profondes mutations subies
par la société ont changé son regard sur l’enfant et sur le délinquant, tout comme sur les institutions qui en sont responsables.


C’est ce choc et ses effets sur la justice et sur l’éducation spécialisée que
l’auteur analyse dans ce livre, dans quatre lieux majeurs : le tribunal, la ville, les centres éducatifs et la prison.


Une réflexion indispensable – et particulièrement précieuse pour les
professionnels de l’enfance en difficulté – afin d’ouvrir des voies nouvelles, dans l’intérêt des mineurs et de ceux qui en ont peur.


 


« FAITS D’ECOLE ---François DUBET


 


NOTE EDITEUR :


 


Ce livre est le résultat de plusieurs années d’observation et d’interventions
sociologiques dans le monde de l’école. Que fabrique l’école ? François DUBET l’observe, décrypte ses disputes, analyse ses résistances.


 


« L’école est un champ de batailles et de conflits plus ou moins feutrés. Quoi
qu’il en pense et quoi qu’il en dise, le sociologue est dans cette bataille et y participe, même quand il veut s’extraire de la mêlée. »



Par-delà les conflits d’intérêts et les querelles d’appareil, François DUBET
pose son regard de sociologue sur les « faits d’école ». Comment l’école s’inscrit-elle dans la société ? Que fait-elle aux individus ?


 


Mutations, crises, débats et réformes sont passés au crible des pratiques et
des expériences – celles des élèves et de leurs familles, celles des enseignants et des syndicats, et celles… du sociologue. Observant le monde de l’école, il décrypte ses disputes, analyse ses
résistances et tente de comprendre ses explosions de violence.



Loin de toute posture de surplomb, François DUBET revendique ici une sociologie
de l’éducation engagée et offre une synthèse de ses réflexions et de ses combats. Il témoigne de sa rencontre avec ce monde social – enseignants, élèves, syndicats… –, et s’interroge sur les
difficultés à réformer un système scolaire qui en a pourtant besoin.


 


Voici un livre qui devrait permettre de penser l’école aujourd’hui et de donner
à chacun une conscience plus claire des effets des politiques publiques.






Laurent MUCCHIELLI  -  A consulter sur le site internet www.claris.org/


___________________________________________________________________________


… »Une adolescente errante. Fugueuse multirécidiviste,
paumée.


Eh face d'elle, une juge pour enfants qui cherche une place en foyer, là où les
éducateurs ont l'expérience d'une jeunesse aussi fragile que difficile. La gamine a pour seul tort de ne pas avoir commis de délit.


Il faut trouver un prétexte, pénaliser sa détresse.


La situation confine à l'absurde, mais ainsi en est-il depuis la fin du mois
d'août.


Depuis qu'une circulaire d'orientation budgétaire a restreint la mission des
éducateurs de la Protection judiciaire de la Jeunesse –PJJ- à la seule mise en œuvre des mesures pénales. Fini les mesures civiles dans le cadre de la protection de l'enfance.


La charge en est désormais transférée aux conseils généraux, à l'Aide sociale à
l'Enfance ASE-, déjà largement débordée. Résultat :


«Dans le Val-de-Marne, par exemple, on se retrouve avec 150 jeunes qui ne
sont plus suivis parce que leur profil n'est pas assez délinquant», explique Catherine Sultan, présidente de l'Association française des Magistrats de la Jeunesse et de la
Famille.


Aux Mureaux, le service ouvert de la PJJ ne compte plus que quatre éducateurs
sur les sept qui l'animaient.


«Parce qu'elles n'entrent pas dans un cadre pénal, on laisse tomber des
jeunes filles en grossesse précoce ou victimes d'abus sexuels familiaux, raconte Sonia Casai, éducatrice dans le 93. Sur le plan humain, c'est insupportable.»


Comme si la justice n'avait plus vocation qu'à s'occuper des mineurs
délinquants, en attendant que les autres le deviennent.


Comme si l'ordonnance de 1945, dont l'esprit est de faire de l'éducation la
règle et de la condamnation à une peine l'exception, était en réalité enterrée vivante.


Gommer la primauté de l'éducatif, en débarrassant bientôt le juge pour enfants
de sa mission civile, pour plus de répression :


 


«C'est considérer que le jeune délinquant, coupable, ne peut pas être en
même temps un mineur en danger, victime... Une absurdité qui revient à couper l'enfant en deux, s'indigne Hélène FRANCO, présidente du Syndicat de la Magistrature. Alors qu'il
est acquis que la meilleure prévention de la délinquance passe par la protection de l'enfance.»


 


Un exemple :


 


 Une adolescente qui a volé un
téléphone portable en fait l'aveu sur son blog; les gendarmes perquisitionnent chez elle, se rendent ainsi compte qu'elle vit dans un grenier sale, pas chauffé, qu'elle a subi des violences
sexuelles petite, qu'elle est finalement victime aussi.


 


«Dans ce cas, il est évident que le vol est accessoire, explique
Muriel EGLIN, juge pour enfants et vice-présidente du tribunal de grande instance de Bobigny. J'ai ouvert une procédure d'assistance éducative, au civil.


 


Et la gamine a pris un avertissement au niveau pénal. Si cette double
compétence est remise en question, c'est une vraie régression. Envisager l'enfant de façon radicalement différente, selon qu'il est victime ou dangereux, c'est revenir à avant
1945.»


 


Peines planchers, comparutions immédiates, le resserrement du filet pénal
autour de la figure du jeune dangereux est pourtant déjà largement amorcé


 


:«On ne nous laisse plus le temps de replacer le délit au centre d'une
histoire, déplore Alexia PEYRE, psychologue.


 


On ne donne plus au jeune la possibilité d'évoluer, de réfléchir avant
d'être jugé. On a l'impression de ne plus travailler que sur un acte chiffré, la délinquance, au mépris du sujet, i enfant, qui sera pourtant l adulte de demain.»


 


Car, au fond, c'est bien de cela qu'il est question, cette place qu'on réserve
à nos enfants dans une société que Manuel PALACIO, ancien directeur de centre éducatif de la PJJ et aujourd'hui conseiller à l'Inhes (Institut national des Hautes Etudes de Sécurité), juge
«immature, avec des adultes infantilisés politiquement et démunis devant la jeunesse».


 


Et une société où «l'opinion publique oscille entre l'image de l'enfant-roi
et celle, monstrueuse, du méchant adolescent des cités, oubliant que ce dernier est aussi un enfant».


 


La peur, signe à'«une société vieillissante, selon Hélène FRANCO, juge
pour enfants. Le mineur, conçu hier comme une richesse, est aujourd'hui une menace qu'il faudrait mettre à l'écart.


Comme s'il fallait faire le deuil d'une partie de sa jeunesse, comme s'il y
avait des enfants en trop ! C'est régressif et mortifère comme projet.»


 


C'est la France en croisade contre ses jeunes : « On y lit «la Guerre des
boutons», mais dès qu'elle a lieu on appelle très vite la police», note le sociologue François DUBET.


 


Condamner plus de jeunes, plus vite, plus tôt, plus sévèrement, c'est «la
doctrine de la tolérance zéro, celle qui donne lieu à des catastrophes, assène Jean-Louis Borie, président du Syndicat des Avocats de France.


 


Aujourd'hui, on se retrouve avec des enfants devant un tribunal pour un vol
de bonbons, alors qu'il suffirait d'un bon coup de pied au cul des parents !» Et d'autres, toujours plus nombreux, en prison.


 


Comme si l'enfermement et la
répression étaient des solutions en soi.


 


La psychiatre Marie Rose MORO, membre de Médecins sans Frontières, chef de
service à l'hôpital Avicenne de Bobigny, reçoit des enfants de la PJJ et fait aussi des expertises sur des mineurs en milieu carcéral.


 


Elle dit que «cet état d'esprit qui nie des enfants en difficulté est
désastreux :


 


Les adolescents dits délinquants ne croient plus en rien. Ceux que je
rencontre derrière les barreaux me font penser à ceux que j'ai rencontrés ailleurs, qui ont vécu des guerres. Us ont perdu toute confiance en la vie et en la nature
humaine».



Un système toujours plus répressif donc, pour venir à bout de cette spirale infernale, la délinquance des
mineurs.


 


Les jeunes auraient tellement changé, ils n'auraient plus rien à voir avec ceux
que l'ordonnance de 1945 s'attachait à protéger.


 


Eh 1922 pourtant, Emile Garçon, dans son «Traité de droit pénal», écrivait déjà
: «Les statistiques les plus sûres comme les observations les plus faciles prouvent, d'une part, que la criminalité juvénile s'accroît dans les proportions les plus inquiétantes et,
d'autre part, que l'âge moyen de la criminalité s'abaisse selon une courbe très rapide.»


 


Le sociologue Laurent Mucchielli, dans une «Note statistique de recadrage sur
la délinquance des mineurs» , en fait la démonstration, chiffres à l'appui :


 


«Il n'est pas vrai que la délinquance des mineurs ne cesse
d'augmenter.


 


Au contraire, la part des mineurs dans l'ensemble des personnes mises en
cause par la police et la gendarmerie est passée de 22% en 1998 à 18% en 2007.»


 


Quant à l'ensemble des faits criminels, «à savoir les homicides, les viols,
les vols à main armée, les prises d'otages et séquestrations, et les trafics de drogue, Us ne représentent que 1,3% du total des infractions reprochées aux mineurs».


 


Enfin, «il n'est pas juste de laisser croire que les mineurs délinquants ne
font l'objet que de mesures éducatives et que les juges sont naturellement «laxistes».


 


 Les peines de prison
représentent déjà un tiers des peines prononcées à l'égard des 13-16 ans, et près de 40% à l'égard des 16-18 ans.»


 


Quel avenir leur réserve-t-on alors ? »

 Elsa VIGOUREUX- Journaliste -


 


UN RECAPITULATIF DU SYSTEME OPPRESSIF MIS EN PLACE PAR LES IDEOLOGUES
NEOCONSERVATIONS NECROPHILES FRANCAIS :


1998. Ouverture des premiers
centres éducatifs renforcés –CER-.
Septembre 2002. Vote de la loi Perben I instituant les juges de proximité, la création des centres éducatifs fermés –CEF- pour les jeunes délinquants récidivistes comme alternative à la prison et
la création des établissements pénitentiaires pour mineurs –EPM-.



Mars 2003. Vote de la loi pour
la sécurité intérieure présentée par Nicolas Sarkozy, ministre de l'Intérieur, nouvelles sanctions contre le regroupement intempestif dans les halls d'immeuble.



Novembre 2005. Emeutes
urbaines en banlieue.



Décembre 2006. Vote de la loi
sur la prévention de la délinquance présentée par Nicolas Sarkozy, ministre de l'Intérieur, et Pascal Clément, garde des Sceaux. Durcissement des sanctions contre les mineurs délinquants et les
récidivistes, en créant notamment la «présentation immédiate» devant le tribunal pour enfants, en développant les sanctions dès 10 ans et le recours à la détention provisoire dès 13
ans.



Juillet 2007. Vote de la loi
sur la récidive. Les récidivistes pourront se voir infliger des peines minimales à partir de 16 ans.



Novembre 2007. Emeutes
urbaines à Villiers-le-Bel.



Avril 2008. Installation de la
commission  VAURINARD chargée de refondre l'ordonnance de 1945 sur les mineurs par Rachida Dati, garde des Sceaux.


 Hadria RIVIERE

[Pierre]

Nous savons toutes et tous que les drogues ont envahi nos établissements scolaires (du moins certains). Alors on peut pas dénoncer cet état de fait et s’offusquer que les autorités se montrent dans nos établissements (à la demande du chef d’établissement soulignons le) pour rappeller que la loi et le code pénal s’y applique aussi, et ainsi faire peur aux petits dealers débutants qui s’y font la main.
Posez vous plutôt la question au sujet des parents de cette jeune fille(Zoé), de savoir pourquoi le chien a" marqué "devant cette fille…..Ces chiens étant conditionnés pour marquer à des occasions bien précises et au lieu que ces parents s'ériges en victime, personnellement j’irais parler avec ma fille pour en connaître un peu plus sur ses fréquentations et ses habitudes lorsqu’il y a des fêtes avec les copains et les copines…
Quant à la fouille, ben c’est une fouille, le but étant de trouver de la drogue éventuelle, dont on se doute très bien que nos gentils petits bambins ne la cache pas dans leur simple poche…Pratiquée par UNE fonctionnaire sur UNE élève, je n’y vois rien de choquant, surtout quand, je le rappelle, cette élève a été marqué par un chien spécialisé dans la détection de produits stupéfiants…tout le reste n'est que laxisme.

[Hadria RIVIERE]

AUX LECTEURS DE CE BLOG ET EN SOLIDARITE AVEC ZOE :


 


Nous avons téléphoné hier soir au papa de Zoé :


 


Le chien s’est arrêté devant les sacs des élèves qui, amenés leurs déjeuners,
au-delà d’un chien chercheur de drogue c’est surtout un chien renifleur et fin gourmet,


 


Si, Zoé a ainsi été désignée c’est également parce qu’elle portait un piercing
 sur la narine– Est-ce qu’un piercing est devenu une marque  de DELINQUANCE ?



Zoe, a eu le courage d’en parler avec son père et c’est ainsi que, cette descente musclée est remontée jusqu’ ‘ au l’univers des
adultes,


 


Pour le reste, les propos de cet individu sont à l’image de l’idéologie qu’il
le motive et le fait agir…


NO COMMENT


 


 

[Pierre]

Les drogues envahissent les collèges et les lycées. Elles sont plus nombreuses, plus variées et plus dangereuses. Ce phénomène s’est amplifié considérablement en quelques années.

C’est une évolution qui échappe d’une certaine façon aux parents et aux enseignants. Normal : la consommation et, a fortiori, le trafic de drogue sont illégaux. Tout se fait donc dans la discrétion.

Pour les jeunes, impossible de ne pas la voir circuler. Les fumeurs et les revendeurs sont connus de tous. Les invitations à fumer sont permanentes.

Entre les adultes et les jeunes, la barrière de la loi, et comme conséquence, une absence de communication sur ce sujet. La drogue circule dans l’indifférence du monde des adultes.

Pour les enseignants, certains élèves ne sont pas bien réveillés, un peu lent, en échec scolaire : sans doute un problème de motivation !

Pour les parents, ça ne peut arriver que chez les autres. Mon fils, ma fille, ils ne fument pas, ils ne feraient pas cela.

2/3 des jeunes déclarent avoir déjà fumé.

Ces drogues sont de plus en plus violentes. Le cannabis anodin de Mai 68 est devenu une drogue dangereuse en raison du taux élevé en produit actif. La cocaïne fait son entrée dans les lycées, l’ecstasy dans les soirées.

Quelques conséquences du cannabis : perte de motivation, troubles de la mémoire, perturbation des fonctions cognitives, fatigues, dépressions. La scolarité est perturbée.

Selon l’individu, les effets varient. Dans le pire des cas, c’est la schizophrénie. La roulette russe : certains prennent la balle.

Parents et enseignants doivent se mobiliser contre ce fléau qui perturbe la scolarité des jeunes et affecte leur santé. En fermant les yeux trop longtemps, nous pourrions être complices des trafiquants de drogue.

La drogue n’a pas sa place dans les établissements scolaires. Les enseignants doivent exclure de leurs cours ceux qui y viennent sous l’influence du cannabis. Les jeunes conscients des ravages que produit la drogue chez leurs pairs doivent désigner ceux qui se livrent à ce trafic, pour le bien de tous et même des revendeurs qui risquent de s’attacher à un milieu qui ne les lâchera plus. Les parents, enfin, doivent prévenir leurs enfants, s’informer sur ce phénomène pour pouvoir en parler avec eux, exiger l’absence de drogues au sein de l’établissement qu’ils fréquentent.

Si nous ne faisons rien aujourd’hui, les jeunes seront en droit de nous demander des comptes pour n’avoir pas su les protéger au moment de leur adolescence.

Votre action Hadria RIVIERE de faire des manifestations est purement criminelle pour l'avenir de ces ados

[Hadria RIVIERE]

Bonjour !


 


TROIS POINTS :


 


Soit, vous n’avez pas lu, en totalité les textes de ce blog…


Soit, VOUS NE COMPRENEZ PAS CE QUE VOUS LISEZ ?


Soit, vous êtes d’une mauvaise foi frisant la malhonnête intellectuelle…


 


Je ne prise guère vos leçons de morale et votre suffisance et,  le qualificatif
utilisé en mon encontre alors que vous n’avez RIEN CMPRIS aux textes présents sur ce blog :


 


La manifestation a été organisée par le comite de parents des élèves du Collège de MARCIAC non pas parce que les
gendarmes luttent contre la drogue..


 


CERTAINEMENT PAS et je vous l’inscris en gras car vus ne semblez ne lire et interpréter les textes de ce blog
qu’en fonction de ce que vus dicte l’idéologie toute répressive qui, vous aveugle !!!


 


Deuxième point :


 


N’ai-je pas précisé dans le corps du texte, deuxième partie :


 


ü      J’ai exerce le
métier d’Educatrice spécialisée, de psychologue pendant plus de 20 ans…


ü      J’ai travaillé en
Prévention Spécialisée, en Prison, auprès du juge pour Enfants – service de la Liberté surveillée etc.…


 


ü      La problématique
DROGUE : Je connais pour y avoir été confronté


ü      Les DEGATS
occasionné par ces substances ainsi que, vous les nommez


ü       JE LES AI VU A L’ŒUVRE, SUR DE NOMBREUX GAMINS…


 


En tant qu’éducateurs, Educatrice cela faisait parti de notre mission d’accompagne les jeunes vers la sortie de cet enfer et
surtout d’éviter qu’ils se laissent entrainer dans ce piège…


 


Donc GARDEZ vos leçons REPRESSIF et vos condamnations bien emballées, dans votre bouche et,  avant de parler tourner 20 fois vos langues….


 


Ce qui, est reproché ici et qui explique et motive la démarche du Comité de Parents – dont je ne suis pas puisque ma fille est
bien gentiment scolarisée dans un Collège privé où les drogues dures circulent et où comme par hasard, elle ne voit aucun gendarmes…-


 


CE N’EST PAS LA LUTTE CONTRE LA DROGUE, C’EST LA MANIERE DONT S’EST DEROULE AU COLLEGE DE MARCIAC LA FOUILLE
MUSCLEE DES GAMINS…


 


Ensuite, JAMAIS LA MANIERE MUSCLEE, les atteintes a la DIGNITE, à L’INTEGRITE DE LA PERSONNE n’ont donne de résultats
tangibles,  en matière de lutte contre les drogues ou la délinquance.


 


Un drogué est avant tout et surtout une personne psychologiquement ou psychiquement malade, en difficulté avec  elle-même, avec les autres etc.…


 


Si, le TOUT RERESSIF, les muscles ou la violence des représentants de l’ordre, la prison etc.… donnaient des résultats
concrets et précis quantifiables… CELA SE SAURAIT ET LA RECETTE SSERAIT APPLIQUEE DANS TOUS LES PAYS !


 


A TITRE EXEMPLE :


 


Depuis longtemps les Etats Unis, pays d’une violence extrême et, où la peine de mort est toujours en exercice seraient depuis
longtemps débarrés et de leur délinquants et des trafiquants de drogues et, de tous qui, génèrent de la violence dans une société..


 


Ce n’est pas le cas..Donc ces méthodes où la violence dominent au détriment de l’accompagnement, de l’écoute, du soutien et de
l’aide ne  résolvent RIEN…


Au contraindre, la  violence, l’INIQUITE qu’une société IMPOSE a ses membres
 a tendance a AMPLIFIER les problèmes qu’elles sont sensés RESOUDRE !!!


 


Je ne vous ai pas souhaité la bienvenu sur ce blog, j’ai toujours eu en horreur les « DONNEURS DE LECON » surtout ce
qui, ne prennent pas le temps de  lire, CONVENABLEMENT et dans son INTEGRALITE un texte et, qui, aveuglé par leur idéologie  s’acharnent sur leur clavier pour jeter  des anathèmes, sur la propriétaire de ce blog…


 


CRIMINELLE Dîtes-vous….Parce que passer les mains dans le slip et le soutien gorge, d’une gamine de 13 ou 14 ans, devant des
hommes/gendarmes…C’est NORMAL, ce n’est pas CRIMINEL…POUR VOUS CE GESTE EST A RECOMPENSER D’UNE MEDAILLE ?


 


MENACER DES GAMINS AVEC UN CHIEN…POUR VOUS C’EST LOGIQUE ET NORMAL…C’EST GENERATEUR DE BONS RESULTATS, DE REUSSITE DANS LA
LUTTE CONTRE LA DROGUE ?


 


EN REVANCHE, CE QUI EST CRIMINEL POUR VOUS
:


 


UN COMITE DE PARENTS QUI DECIDENT DE REFUSER LA VIOLENCE FAITE A LEUR ENFANTS ET QUI, EN CITOYENS RESPONSABLES DECIDENT DE
PROTESTER SUR LES MOYENS UTILISES… ET NON SUR L’UTILITE DE LA LUTTE CONTRE LA DROGUE…VOUS SAVEZ LIRE OU QUOI ???????

 OUVREZ LES YEUX REGARDEZ AUTOUR DE VOUS…ET VOUS VERREZ  CE QUI REELLEMENT MERITE D’ËTRE QUALIFIE DE
CRIMINEL….


 


Votre idéologie vous aveugle….ET VOUS A RETRECIE CONSIDERABLEMENT LE CERVEAU…. VOUS DIS-JE…


 


VOUS AVEZ LE COURAGE LAISSER UN COMMENTAIRE ANONYME - SANS MOYEN DE VOUS CONTACTER...



JE VOUS CONSEILLE DONC DE PASSERVOTRE CHEMIN …VOUS N’ETES PAS LE BIENVENU SUR CE BLOG !!!!


 


 


Hadria RIVIERE