VOUS DEVRIEZ :
ANALYSER, CERNER LA VERITABLE PERSONNALITE, DECRYPTER L’IDEOLOGIE QUI, SOUS-TEND SES ACTIONS,
SES ORIENTATION POLITIQUES
ET,
MAINTENANT REPONDEZ-MOI :
STRAUSS-KHAN A-T-IL VRAIMENT SA PLACE DANS UN PARTI POLITIQUE QUI, S’AFFIRME DE « GAUCHE » ?
ET, BIEN…NON !!!
SA PLACE EST AUPRES DES SARKOUMPISTES...
COMME NOMBREUX DES " ELEPHANTS ROSES"
AUTO-AFFIRMES DE "GAUCHE" !
D’INDENIABLES, LIBERAUX, ADEPTES DE L’IDEOLOGIE MAURASIENNE, LAQUAIS DE L’IDEOLOGIE NEOCONSERVATRICE AMERICANO-SIONISTE,
ASSOIFFES DE POUVOIR ET D’ARGENT, ASSUREMENT.
NI HABITES NI OBSEDES PAR L’INTERETS COLLECTIF,
ET, CERTAINEMET CONCERNES PAR LA VIE QUOTIDIENNE DES CITOYENS DE FRANCE, CELLE DES HABITANTS DES QUARTIERS POPULAIRES – DES GHETTOÏSES-,
LA FRANCE DU CHOMAGE, DE LA PRECARITE, DES « SANS LOGEMENT », DES « SANS JUSTICE » DES « SANS DROITS » DES ENFANTS SANS ENSEIGNANTS, DES CITOYENS FICHES, PUCES, CLASSES, DES « BOUCS EMISSAIRES », DES DISCRIMINES, DES ENFANTS EMPRISONNES, DES CITOYENS FRANÇAIS, EMMURES TENTANT DE SURVIVRE DANS DES PRISONS SURPEUPLES.. ETC...
POUR COMMENCER :
INFORMEZ-VOUS SUR STRAUSS-KHAN, "LE S'EN VA EN GUERRE NEOCONSERVATEUR-UTRALIBERALE-INTEGRISTE RELIGIEUX -
UNE ANALYSE, DES INFORMATIONS, DE QUALITE...
SUR LE BLOG DE RENE NABA :
Paris le, 30 septembre 2007 - René Naba :
.."M. Dominique Strauss Khan, élu le 28 septembre 2007, Directeur Général du Fonds Monétaire international, réserve sa première visite officielle au Président Nicolas Sarkozy, le nouveau parrain international de l’ancien responsable socialiste, qui le recevra lundi 1er octobre à l’Elysée.
Retour sur le parcours de ce dirigeant socialiste propulsé sur la scène internationale par le plus à droite des Présidents Français.
Avant l’heure, Dominique Strauss-Khan, le nouveau Directeur Général du Fonds Monétaire International, se prononce en faveur d’une attaque contre l’Iran et regrette que les Américains se soient trompés de cible préférant attaquer l’Irak au lieu de l’Iran.
Il considère que le Liban est l’«agresseur» dans la dernière guerre d’Israël contre le Liban, en juillet 2006, et que la «fameuse politique arabe de la France» est une «supercherie du Quai d’Orsay».
Ancien ministre des Finances et de l’Economie, ancien candidat à la présidence de la République, le socialiste préféré des Français pour succéder à François Hollande au poste de premier secrétaire du parti socialiste français, Dominique Strauss Khan, de son vrai prénom Gaston, paraît plus proche des néo-conservateurs américains que les ténors de la droite française.
C’est d’ailleurs là son point de convergence avec son nouveau parrain international le plus à droite des Présidents français Nicolas Sarkozy, l’artisan de la mutation post-gaulliste de la Droite française et de son ralliement aux thèses atlantistes.
I- DSK dans le texte. Un belliciste impénitent: A vous de juger
La Revue «Le Meilleur des Mondes » a organisé à l’occasion de la dernière campagne présidentielle française -Mai 2007- une interview croisée entre Nicolas Sarkozy, ministre de l’intérieur à l’époque, et, Dominique Strauss Khan, candidat à la candidature socialiste.
La revue passe pour être un relais des thèses de la Foundation for the Defense of Democracies, porte-voix des néoconservateurs en France.
Le numéro en question est paru aux Éditions Denoël, Automne 2006.
Dominique Strauss-Kahn est interviewé par Elie Cohen, Myriam Encaoua, Gérard Grunberg, Michel Laval et Michel Taubman. Il parle longuement du Liban et de l’Iran, de l’Union européenne, de sa vision de l’économie française.
Voici les principaux passages de l’interview de M. Dominique Strauss-Khan, député de la circonscription populeuse de Sarcelles mais résident du quartier chic de Neuilly:
Iran: « On mesure que les Américains se sont trompés de cible: la menace ne venait pas de l’Irak, mais de son voisin perse».
«La politique qui est aujourd’hui conduite en Iran sous la houlette d’Ahmadinejad comporte de nombreuses expressions du totalitarisme qui, en tant que telles, doivent être combattues.
À ce propos, c’est pour moi une grave erreur d’avoir prétendu, comme l’ont fait Jacques Chirac et son ministre des Affaires étrangères, Philippe Douste-Blazy, que l’Iran jouait « un rôle stabilisateur » dans la région.
Cela entraîne une confusion sur la nature réelle de ce qu’est le régime iranien actuel. Cela revient à envoyer un message erroné à un pays qui use largement de sa capacité de nuisance on le voit au Liban via le Hezbollah, en Irak ou avec le chantage nucléaire qu’il cherche à exercer. » .
«On mesure que les Américains se sont trompés de cible: la menace ne venait pas de l’Irak, mais de son voisin perse».
NDLR-RN: Dominique Strauss Khan se trouve sur ce point sur la même longueur d’onde que Bernard Kouchner, ministre français des Affaires étrangères, nouveau voltigeur de pointe de la diplomatie atlantiste du nouveau gouvernement français, passé de «Médecins sans Frontières» à «Va-t-en guerre sans Frontières», sur la même longueur d’onde que Nicolas Sarkozy, le digne successeur de Tony Blair, l’ancien «caniche britannique» du président George Bush.
M. Sarkozy qui a adopté la même terminologie que les dirigeants israéliens désignant Gaza sous le vocable de «Hamastan», n’a pas exclu lors de son intervention devant la conférence des ambassadeurs de France, fin Août 2007, de recourir à des sanctions unilatérales même en dehors cadre de l’ONU, résumant la position française en une formule:
«la bombe iranienne ou le bombardement de l’Iran».
Formule maladroite, rudimentairement démagogique, s’il en est, car dans l’hypothèse de la mise au point d’une bombe iranienne les pays occidentaux devraient réfléchir par deux fois avant de se lancer dans une aventure nucléaire, dont les principales victimes par ricochet, seraient, d’abord, leurs alliés pétromonarchiques du Golfe, ainsi que le ravitaillement énergétique des pays industrialisés économies.
Depuis l’avènement de la Révolution Islamique, en 1979, la France s’est trouvée en position de «co-bélligérance» face à l’Iran par son soutien massif à l’Irak du temps de Saddam Hussein.
Sous la présidence Sarkozy, elle se retrouve de nouveau en pointe contre l’Iran dans le dossier nucléaire.
La permanence d’une attitude hostile lui avait valu dans le passé de subir les effets des dommages collatéraux, avec l’attentat contre le quartier général français à Beyrouth (59 morts), en 1983, la prise d’otages Français au Liban (1984-1986) et des attentats à Paris même (1986-1988)
M. Strauss Khan ne déplore pas le bellicisme américain, juste l’erreur de ciblage de l’Irak plutôt que de l’Iran.
M. Kouchner, lui, était partisan de la manière forte pour évincer Saddam Hussein.
Il a récupéré à son profit la position du précédent gouvernement Chirac-Villepin, se flattant, au-delà de toute indécence, lors de sa visite à Bagdad, fin juillet, de l’opposition de la France à l’intervention américaine en Irak.
Une position qu’il avait vigoureusement combattu en son temps avec ses amis modernisateurs, les «Sarkozystes de gauche», Romain Goupil, André Glucksman, et la cohorte des transfuges de la gauche, qui ont substitué la lutte des places à la lutte des classes.
Le voilà de nouveau en pointe contre l’Iran.
La prochaine fois, les deux compères, MM. Strauss Khan et Kouchner, regretteront que l’Amérique se soit une nouvelle fois trompée de cible, attaquant l’Iran plutôt que la Syrie et ainsi de suite …jusqu’à la prochaine proie de l’Amérique.
Liban: «Le Hezbollah n’est pas seulement une organisation terroriste (..) Mais c’est aussi une organisation terroriste dont on attend le désarmement par le Liban (..)
Si le Hezbollah est une composante du gouvernement libanais, le conflit auquel nous venons d’assister, et auquel nous pouvons encore assister demain, devient alors un conflit traditionnel entre deux États.
Dans ce cas, il n’y a plus de fondements aux réticences que l’on a pu avoir par rapport aux réactions israéliennes.
Nous avions un agresseur qui venait du Nord (le Liban), et qui a illégalement agressé un pays (Israël) se trouvant au sud de sa frontière.
Si cet agresseur constitue une partie de l’État libanais, c’est alors le Liban qui attaque Israël.
Je ne crois évidemment pas que l’on puisse retenir cette interprétation. Il s’agit donc bien d’une organisation terroriste et il faut que les Libanais désarment le Hezbollah»
SUITE... ET BIEN D'AUTRES ARTICLES AUSSI INSTRUCTIFS LA :
http://renenaba.blog.fr/2008/10/20/francedominique-strauss-kahn-dans-le-texte-piq-ucirc-re-de-rappel-4900071#more4900071