Les sionistes n'ont jamais voulu la paix,
Les sionistes refusent et refuseront un Etat Palestinien,
Les sionistes - tous les colonisateurs des terres palestiniennes et, leurs soutiens, à l'exterieur organisent, financent, justifient, le genocide du peuple Palestinien,
Voyez comment les sionistes n'ont eu de cesse de divulger, à la populace européens endormie, aux arabes effrayes et soumis, aux gouvernements corrompus arabes, européens, yankees leurs véritables objectifs....
"la seule Démocratie du moyen-Orient"... "Armée d'assassins sionistes la plus Im-morale du monde"...."le droit d'israël à (se défendre) à massacrer"....
Mon oeil!!!....
Voyez le programme sioniste détaillé et mis en oeuvre - par les politicards sionistes élus- pour régler, de maniére DEFINITIVE, la question du peuple Palestinien- depuis que les anglo-saxons ont imposé cette entité sioniste en Palestine...Il y a de cela.... plus de 60 longues années...!!! :
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Citations provenant des principales personnalités historiques sionistes, exprimant sans masque, le programme sioniste de génocide des palestiniens :
« Nous devons expulser les arabes et prendre leur place »
David Ben Gurion 1937, futur premier ministre d’Israël
« Nous devons tuer tous les palestiniens à moins qu’ils ne soient résignés à vivre en tant qu’esclaves »
Président Heilbrun, du comité pour la réélection du général Shlomo Lehat, maire de Tel-Aviv, octobre 1987
« Nous devons utiliser la terreur, les assassinats, l’intimidation, la confiscation des terres et l’arrêt de tous les programmes sociaux afin de débarrasser la Galilée de sa population arabe »
Israël Koenig, « The Koenig memorandum »
« La seule solution est Eretz Israel (Grand Israël), ou au moins Eretz Israel Ouest (toutes les terres à l’ouest du Jourdain), sans les arabes.
Il n’y a pas de place pour un compromis sur ce point.
Nous ne devons pas laisser un seul village, pas une seule tribu »
Joseph Weitz, directeur du Fond national juif, 1973
« Une terre sans peuple avec un peuple sans terre »
Israel Zangwill (propagandiste sioniste), il y a environ cent ans
« A l’étranger nous sommes habitués à croire qu’Israël est presque vide ; que rien n’y pousse et celui qui veut acheter de la terre peut aller là-bas acheter les terres qu’il désire.
En réalité, la situation n’est pas ainsi.
Dans ce pays, il est difficile de trouver une terre cultivable qui ne soit déjà cultivée »
Après avoir visité la Palestine en 1891, l’essayiste hébreu Achad Ha-Am a commenté cela
« Comment pourrions-nous rendre les territoires occupés ?
Il n’y a personne à qui les rendre »
Golda Meir, premier ministre d’Israël, 8 mars 1969
« Il n’y a jamais rien eu de tel puisque les palestiniens n’ont jamais existé »
Golda Meir, premier ministre israélien, 15 juin 1969
« Les palestiniens » seront écrasés comme des sauterelles … leurs têtes éclatés contre les rochers et les murs »
Yitzhak Shamir, premier ministre israélien, 1er avril 1988
« Le sang juif et le sang des « goys » (non-juifs) ne sont pas les mêmes »
Le rabbin israélien Yitzhak Ginsburg, concluant que tuer n’est pas un crime si les victimes ne sont pas juives. Jerusalem Post, 19 juin 1989
« Chasser la population pauvre (les arabes) au-delà de la frontière en lui refusant du travail.
Le processus d’expropriation et de déplacement des pauvres doit être mené discrètement et avec circonspection »
Théodore Herzl, fondateur de l’Organisation sioniste mondiale, note du 12 juin 1895
Description par Rabin de la conquête de Lydda, après l’achèvement du plan Dalet.
« Nous réduirons la population arabe à une communauté de coupeurs de bois et de serveurs ».
Uri Lubrani, conseiller spécial aux Affaires arabes de Ben Gurion, 1960, tiré de « The Arabs in Israel » par Sabri Jiryias
« Les palestiniens sont comme les crocodiles, plus vous leur donnez de viande, plus ils en veulent … »
Ehud Barak, premier ministre israélien, 28 août 2000, Jerusalem post du 30 août 2000
« Les palestiniens sont des bêtes qui marchent sur deux jambes »
Menahem Begin, discours à la Knesset, cité dans Amnon Kapeliouk, « Begin and the beast » «(Begin et les bêtes), New Statesman, 25 juin 1982
« Il y a une énorme différence entre nous (les juifs), et nos ennemis. Pas seulement dans la capacité, mais dans la morale, la culture, le caractère sacré de la vie et la conscience.
Ils sont nos voisins ici, mais c’est comme si à quelques centaines de mètres, il y avait un peuple qui n’appartenait pas à notre continent, à notre monde, qui appartenait véritablement à une autre galaxie »
Président israélien Moshe Katsav, Jerusalem Post, 10 mai 2001
« Nous devons tout faire pour nous assurer qu’ils (les palestiniens) ne reviennent pas » … « Les vieux mourront et les jeunes oublieront »
David Ben Gurion, journal du 18 juillet 1948
« Lorsque nous aurons colonisé le pays, il ne restera plus aux arabes que de tourner en rond comme des cafards drogués dans une bouteille »
Raphael Eitan, chef d’Etat major des forces de défense israéliennes (Tsahal), New york Times, 14 avril 1983
« La thèse d’un danger d’un génocide qui nous menaçait en juin 67 et qu’Israêl se battait pour son existence physique était seulement du bluff, créé et développé après la guerre »
Général Matityaha Pelet, Ha’aretz, 19 mars 1972
« C’est le devoir des leaders israéliens d’expliquer à l’opinion publique, clairement et courageusement, un certain nombre de faits qui ont été oubliés avec le temps.
Le premier de ces faits, c’est qu’il n’y a pas de sionisme, de colonisation ou d’Etat juif, sans l’éviction des arabes et l’expropriation de leurs terres »
Yoram Bar Poreht, Yediot Aahronot, 12 juillet 1972
« La population doit se préparer à la guerre, mais il revient à l’armée israélienne de poursuivre le combat avec l’objectif ultime qui est la création de l’Empire israélien »
Moshe Dayan, ministre israélien de la défense et des affaires étrangères, 12 février 1952 Radio Israel
« Des villages juifs ont été construits à la place des villages arabes.
Vous ne connaissez pas le nom de ces villages et je ne vous le reproche pas, car les livres de géographie n’existent plus.
Et non seulement les livres, mais les villages n’existent plus. Nahahal a remplacé Mahahul, le Kibbutz Gevat a remplacé Jubta, le Kibbutz Sarid a remplacé Hanifas et Kafr Yehoushua celle de tel Shaman.
Il n’y a pas un seul endroit dans ce pays qui n’a pas une ancienne population arabe »
Moshe Dayan, discours au Technion, Haifa, repris dans Ha’aretz, 4 avril 1969
« … si les gens s’habituent à cette donnée et que nous soyons réellement obligés d’accepter le retour des réfugiés, il pourrait être difficile pour nous, quand nous seront confrontés à des hordes de plaignants, de convaincre le monde qu’ils ne vivaient pas tous sur le territoire israélien.
Quoi qu’il arrive, il serait souhaitable de réduire au minimum leur nombre … sinon »
Arthur Lourie, responsable israélien, dans une lettre à Walter Eytan, directeur général du ministère des affaires étrangères israélien (ISA FM 2564/22). D’après Benny Morris, « Naissance du problème des réfugiés palestiniens 1947-49 », p. 297
« Une réconciliation volontaire avec les arabes est hors de question, que ce soit maintenant ou dans le futur.
Si vous souhaitez coloniser un pays dans lequel une population vit déjà, vous devez fournir une armée pour le pays ou trouver quelque riche personne ou bienfaiteur qui vous la fournirait.
Sinon, abandonnez la colonisation, parce que sans une force armée, qui rendrait physiquement impossible toute tentative de détruire ou d’empêcher cette colonisation, la colonisation sera impossible, pas difficile, pas dangereuse, mais IMPOSSIBLE.
Le sionisme est une aventure de colonisation et c’est pour cela qu’elle est dépendante d’une force armée.
Il est important … de parler hébreu, mais malheureusement, il est encore plus important d’être capable de tirer, ou bien je termine le jeu de la colonisation »
Vladimir Jabotinsky, fondateur du sionisme révisioniste (précurseur du likoud), Le Mur de fer, 1923
« La colonisation sioniste doit être exécutée contre la volonté de la population autochtone.
C’est pourquoi cette colonisation doit continuer seulement sous la protection d’une puissance indépendante de la population locale, tel un mur de fer capable de résister à la pression de la population locale. Ceci est notre politique à l’égard des arabes »
Vladimir Jabotinsky, Le Mur de fer, 1923
« Entre nous soit dit, il doit être clair qu’il n’y a pas de place pour deux peuples dans ce pays.
Nous n’atteindrons pas notre but si les arabes sont dans ce pays.
Il n’y a pas d’autres possibilités que de transférer les arabes d’ici vers les pays voisins – tous.
Pas un seul village, pas une seule tribu ne doit rester
Joseph Weitz, chef du département colonisation de l’Agence juive en 1940, tiré de « A solution to the refugee problem »
« Israël aurait dû exploiter la répression des manifestations en Chine lorsque l’attention du monde s’est focalisée sur ce pays, pour mettre à exécution des expulsions massives parmi les arabes des territoires »
Benyamin Netanyahu, alors député israélien au ministère des affaires étrangères, ancien premier ministre d’Israël, s’exprimant devant des étudiants à l’université de Bar Ilan, tiré du journal israélien « Hotam », du 24 novembre 1989
« A-t-on vu un seul peuple abandonner son territoire de sa propre volonté ?
De la même façon, les arabes de Palestine n’abandonneront pas leur souveraineté sans l’usage de la violence »
Vladimir Jabotinsky (fondateur et partisan des organisations terroristes sionistes), cité par Maxime Rodinson dans « Peuple juif ou problème juif » (Jewish people or jewish problem)
« Si j’étais un leader arabe, je ne signerais jamais un accord avec Israël.
C’est normal, nous avons pris leur pays.
C’est vrai que Dieu nous l’a promis, mais en quoi cela les concerne ? Notre dieu n’est pas le leur.
Il y a eu l’antisémitisme, les nazis, Hitler, Auschwitz, mais était-ce de leur faute ?
Ils ne voient qu’une seule chose : nous avons volé leur pays. Pourquoi devraient-ils l’accepter ? »
David Ben Gurion, le premier ministre israélien, cité par Nahum Goldman dans le paradoxe juif, p. 121.
« Nous déclarons ouvertement que les arabes n’ont aucun droit de s’établir sur ne serait-ce un seul centimètre du Grand Israël …
La force est l’unique chose qu’ils comprennent.
Nous devons utiliser la force absolue jusqu’à ce que les palestiniens viennent ramper devant nous »
Raphael Eitan, chef d’Etat-major des forces de la défense israéliennes. Gad Becker, Yediot Aharonot, 13 avril 1983, New York Times, le 14 avril 1983
« Si l’assemblée générale devait voter par 121 voix contre une le retour aux frontières de l’armistice (frontière d’avant juin 1967), Israël refuserait de se plier à cette décision »
Aba Aban, ministre israélien des affaires étrangères. New York Times, 9 juin 1967
« Chaque fois que nous faisons quelque chose, vous me dites que l’Amérique fera ceci ou fera cela …
Je vais vous dire quelque chose de très clair : Ne vous préoccupez pas de la pression de l’Amérique sur Israël, nous, les juifs, contrôlons l’Amérique, et les américains le savent »
Le premier ministre israélien Ariel Sharon, 3 octobre 2001, à Shimon Péres, cité sur la radio Kol Yisrael
« Parmi les phénomène politique les plus inquiétants de notre temps, il y a l’émergence, dans l’Etat nouvellement créé d’Israël, d’un parti de la Liberté (Herut), un parti politique très proche, dans son organisation, ses méthodes, sa philosophie politique et son appel social, des nazis et des partis fascistes.
Begin et Yitzhak Shamir qui étaient membres de ce parti sont devenus premiers ministres »
Albert Einstein. Hanna Arendt et d’autres juifs américains célèbres, ont écrit dans le New York Times, pour protester contre la visite en Amérique de Begin, en décembre 1948.
« La carte actuelle de la Palestine a été dessinée sous le mandat britannique.
Le peuple juif possède une autre carte que les jeunes et les adultes doivent s’efforcer de mener à bien : celle du Nil à l’Euphrate »
Ben Gurion
« Nous devons affronter la réalité qu’Israël n’est ni innocent, ni rédempteur.
Et que lors de sa création et de son expansion, nous les juifs avons créé ce dont nous avons souffert historiquement : une population de réfugiés dans une diaspora »
Martin Buber, philosophe juif, s’adressant au premier ministre Ben Gurion, sur le caractère moral de l’Etat d’Israël en faisant référence aux réfugiés arabes en mars 1949.
« Quand nous (disciples du judaïsme prophétique) nous sommes retournés en Palestine … la majorité des juifs, ont préféré apprendre d’Hitler plutôt que de nous »
Martin Buber, au public de New York. Jewish Newletter, 2 juin 1958
« Le pouvoir légal d’Hitler était basé sur le « décret de loi », qui était voté tout à fait légalement par le Reichstag et qui permettait au Führer et à ses représentants, en langage simple, de faire ce qu’ils voulaient, ou en langage juridique, de publier des décrets ayant pouvoir de loi.
Exactement le même type de loi votée par la Knesset (le parlement israélien) juste après la conquête de 1967, accordant au gouvernement israélien, et à ses représentants le pouvoir d’Hitler, qu’ils utilisent de façon hitlérienne »
Docteur Israel Shahak, président de la Ligue israélienne pour les droits de l’homme et les droits civiques, survivant du camp de concentration de Bergen Belsen, commentant les lois d’urgence de l’armée israélienne suite à la guerre de 1967. Palestine, vol. 12, décembre 1983
« Nous sommes sortis, accompagnés par Ben Gurion.
Allon a répété sa question : « Que devons-nous faire avec la population palestinienne ? »
Ben Gurion a levé sa main dans un geste qui voulait dire : « Chassez-les » »
Yitzhak Rabin, version censurée des mémoires de Rabin, publiées dans le New York times, 23 octobre 1979.
Recueil de citations proposé par Mutien
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1917 : les troupes britanniques occupent la Palestine. Par la déclaration Balfour, le Royaume‑Uni se déclare favorable à l’établissement d’un foyer national pour le peuple juif.
1936-1939 : révolte des Arabes palestiniens contre l’immigration juive et le mandat britannique.
1947 : l’ONU adopte un plan de partage de la Palestine en deux États indépendants, l’un arabe, l’autre juif.
1948 : proclamation de l’indépendance de l’État d’Israël, le 14 mai. Première guerre israélo-arabe, qui dure jusqu’en octobre 1949.
1964 : création de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP), organisation politique et paramilitaire.
1967 : guerre des Six Jours. Israël occupe la Cisjordanie et la partie orientale de Jérusalem, la bande de Gaza, le plateau du Golan et la péninsule du Sinaï.
1973 : guerre du Kippour. Israël subit de lourdes pertes avant de reprendre l’initiative.
1974 : l’ONU reconnaît l’OLP comme « seul représentant légitime du peuple palestinien ».
1979 : signature d’un traité de paix entre l’Égypte et Israël.
1987 : déclenchement de la première Intifada.
Création du Hamas (Mouvement de la résistance islamique).
1993 : après six mois de négociations secrètes à Oslo, Israël et l’OLP se reconnaissent mutuellement et signent une déclaration de principe sur une autonomie palestinienne transitoire de cinq ans.
Création de l’Autorité palestinienne.
2000 : échec du sommet de Camp David organisé par le président américain Bill Clinton.
Déclenchement de la deuxième Intifada.
2001-2002 : violente offensive militaire israélienne dans les Territoires ; violente campagne d’attentats palestiniens en Israël.
2004 : mort de Yasser Arafat, chef historique de l’OLP. Mahmoud Abbas lui succède.
2005 : Israël se retire de la bande de Gaza après trente-huit ans d’occupation.
2006 : victoire du Hamas aux législatives palestiniennes.
2007 : guerre civile entre le Hamas et le Fatah de Mahmoud Abbas à Gaza.
Le Hamas s’impose.
Les Palestiniens sont divisés.
Mais en 2007, un an avant l’opération "plomb fondu", ce qui préoccupait Ya’alon, c’était les 40 milliards de m3 de gaz naturel, évalués à environ 3 milliards d’euros, découverts en 2000 au large de Gaza.
Ya’alon rejetait l’idée que "le gaz de Gaza puisse devenir le vecteur d’un état palestinien viable au plan économique" comme étant "erronée".
Le problème selon lui était que :
"La vente du gaz palestinien à Israël n’engendrera pas assez de richesse pour profiter à une population palestinienne très appauvrie.
Par contre, si l’on en juge par le passé, elle permettra de financer d’autres attaques terroristes contre Israël...
Une transaction sur le gaz avec l’Autorité Palestinienne [AP] devra, par définition, inclure le Hamas.
Soit le Hamas pourra bénéficier des revenus engendrés, soit il sabotera le projet en lançant des attaques contre le Fatah, les installations de gaz et Israël – ou contre les trois à la fois...
Il est clair que sans une opération militaire d’envergure pour mettre fin au contrôle du Hamas sur Gaza, on ne pourra procéder à aucun forage sans l’accord du mouvement islamique radical.."
L’opération "plomb fondu" n’a pas réussi à anéantir le Hamas, par contre elle a pris la vie de 1387 Palestiniens (dont 773 civils) et de 9 Israéliens (dont 3 civils).
2011 : le 23 septembre, le président de l’Autorité palestinienne présente une demande d’adhésion d’un État de Palestine à l’ONU.
Elle n’aboutit pas, faute de soutien des pays membres du Conseil de sécurité.
Mais, en octobre, les Palestiniens obtiennent le statut de membre à part entière de l’Unesco.
2012 : en novembre, l’armée israélienne lance l’opération « Pilier de défense » contre Gaza.
Palestiniennes pleurant la mort de Mahmoud Raed Saddllah, un enfant de 4 ans tué lors d’un bombardement sur Jabaliya, bande de Gaza, le 16 novembre 2012
En huit jours, au moins 163 Palestiniens et six Israéliens sont tués.
2014 :Opération "coussin de protection" :
Ce matin, il a ajouté :
"Nos frappes continuelles causent de lourdes pertes au Hamas.
Nous détruisons des armes, des infrastructures terroristes, des systèmes de commande et de contrôle, des institutions du Hamas, des bâtiments du régime, des maisons de terroristes et nous tuons des terroristes dans les différents niveaux de commande...
La campagne contre le Hamas s’étendra dans les jours prochains et l’organisation paiera un lourd tribut."
depuis juillete 2014 et l'opération sioniste :
"coussin de protection"
Le bébé Mutasam Saat, âgé de 25 jours, a été gravement blessé dans un raid aérien israélien sur la maison de sa famille le 31 juillet ...
...."Les auteurs déclarent en outre se rendre compte que ce macabre total reste provisoire, et devra être revu à la hausse, un certain nombre des noms de victimes restant à confirmer.
La liste ci-dessous provient du ministère de la Santé, qui a confirmé la mort de 1943 Palestiniens (dont au moins 467 enfants, 243 femmes et 87 seniors), et au moins 10.143 blessés dont 3009 enfants, 1912 femmes et 359 personnes âgées.
Une liste nominative des martyrs Palestiniens est disponble sur le site....