CESSONS, DE NOUS AVEUGLER,
CESSONS, DE NOUS BERCER D’LLUSIONS,
CESSONS DE DEIFIER QUELCONQUE HUMAIN…
FUT-IL PRESIDENT DES Etats-Unis D’AMERIQUES ;
FUT-IL NOIR, METIS, CENTRISTE DEMOCRATE, CATHOLIQUE,
PORTANT UN PRENOM D’ORIGINE MUSULMANE !
CHERCHONS PLUTOT A NOUS INFORMER, SUR LES ACTES POSES
PAS LES GOUVERNANTS US… :
ET, N’OUBLIONS PAS :
PENDANT, QUE LES PEUPLES DE LA PLANETE SONT EN LIESSE,
REVENT D’UN BARACK HUSSEIN OBAMA ACTIF, COURAGEUX, COMBATIF,
ARTISAN DU CHANGEMENT TANT ATTENDU,
LE MEME PAYS AVEC LA COMPLICITE PASSIVE DE SON PEUPLE
S’ADONNE A SON SPORT NATIONAL FAVORIT :
ORGANISER L’AGRESSION D’UN PAYS, D’UN PEUPLE,
TOUT EN DEVERSANT, PAR MEDIAS MANIPULES, INTERPOSES-
SA DEGOULINANTE
STRATEGIE MARKETING VISANT A SE VICTIMER AUPRES
DES POPULATIONS DE CETTE PLANETE AFIN DE JUSTIFIER,
AFIN DE FAIRE ACCEPTER
ADMETTRE, -UNE FOIS POUR TOUTE - L’AGRESSION AINSI PERPETREE :
DEUX EXEMPLES A MEDITER :
1ER :
LE NAVIRE DE GUERRE AMERICAIN EST ENFIN ENTRE DANS LE PORT DE SEBASTOPOL -
SEBASTOPOL -Crimée, Ukraine-, 6 novembre –
RIA Novosti. Un navire de commande américain, le Mount Whitney, est entré jeudi soir dans le port de Sébastopol, rapporte le correspondant de RIA Novosti.
Plus tôt dans la journée, après trois heures de manœuvres, le Mount Whitney était resté en rade de Sébastopol. Les autorités de la ville et les représentants des forces navales ukrainiennes n'avaient fait aucun commentaire sur l'événement et n'en ont toujours pas fait.
Contactées par RIA Novosti, des sources internes à la mairie avaient annoncé que la visite du navire américain n'avait pas eu lieu en raison de problèmes bureaucratiques liés au franchissement de la frontière navale ukrainienne.
Des services douaniers ukrainiens visitent actuellement le navire.
Le Mount Whitney s'est amarré au quai de la gare maritime de la ville. Le quai est séparé du reste de la gare par une clôture derrière laquelle ont voit jusqu'à 80 habitants de la ville brandissant des pancartes sur lesquelles on lit:
"Non à l'OTAN", "Yankees, go home", "Sébastopol ne sera pas une base otanienne", "OTAN, bas les pattes devant l'Ukraine".
Le matin, les participants à un meeting dans le port de Sébastopol avaient déclaré que leur principale revendication était d'empêcher la présence de l'OTAN à Sébastopol qui est aussi la principale base de la Flotte russe de la mer Noire. Une partie des manifestants se sont rendus à la gare maritime de la ville pour poursuivre leur protestation.
2éme -
PROJET DE DEPLOIEMENT DE MISSILES ISKANDER :
MEDVEDEV MET OBAMA A L’EPREUVE
ATHENES, 6 novembre 2008
RIA Novosti.
En évoquant la possibilité de déployer des missiles Iskander dans l'ouest du pays, le président russe Dmitri Medvedev a sans doute décidé de mettre son homologue américain Barack Obama à l'épreuve, estime l'analyste politique grec Constantinos Filis, directeur du centre Russie-Eurasie à Athènes.
Dans son premier message annuel à l'Assemblée fédérale, mercredi dernier, M. Medvedev a déclaré que la Russie installerait des systèmes de missiles Iskander dans la région de Kaliningrad en cas de nécessité pour neutraliser le bouclier antimissile américain en Europe de l'Est.
"Je pense que M. Medvedev a décidé de "mettre à l'épreuve" le nouveau président américain. M. Obama manque d'expérience, et les Russes le savent. Ils attendent sa réaction à cette déclaration", a fait savoir M. Filis dans une interview à RIA Novosti.
Il est persuadé que M. Obama -élu président dans la nuit qui a précédé le discours de M. Medvedev- ne renoncera pas au déploiement d'un radar en République tchèque et de missiles intercepteurs et en Pologne.
S'agissant de l'avenir des relations russo-américaines, l'expert grec estime que le nouveau président sera très gêné dans sa politique extérieure.
"Tout président doit savoir adopter une attitude réaliste envers les problèmes qui se posent.
Les Etats-Unis mènent actuellement une campagne militaire en Afghanistan et ils n'ont pas d'interlocuteur valable au Pakistan. Ils sont également obligés de tenir compte de l'Iran avec son programme nucléaire et son influence grandissante au Proche-Orient. Enfin, l'Irak où il faudra définir les conditions et les délais de retrait des troupes américaines", a affirmé M. Filis.
"Moscou comprend que M. Obama dispose d'un champ de manœuvre très restreint et espère qu'il évitera pour le moment de se pencher sur les questions auxquelles les démocrates américains attachent traditionnellement beaucoup d'importance: les droits de l'homme, la démocratie et ainsi de suite", a-t-il ajouté.
"Il y a tout lieu de croire que M. Obama parviendra à améliorer l'image fort négative des Etats-Unis dans le monde. Cela empêchera Moscou d'évoquer le caractère unilatéral de la politique américaine et le refus de Washington de compter avec les intérêts d'autrui, comme cela s'est passé sous le président George W. Bush", a conclu M. Filis.
LIEN SOURCE :
http://fr.rian.ru/world/20081106/118175116.html