L'OTAN, S'ENGAGE A EMPECHER LA REPETITION DU CONFLIT
-ETAT-MAJO AMERICAIN
RIA Novosti :
L'OTAN ne tolèrera pas la répétition d'un conflit analogue à celui subi par la Géorgie début août, a déclaré mercredi à Riga le chef d'état-major interarmées américain, l'amiral Michael Mullen, lors d'une rencontre avec le président letton Valdis Zatlers.
"L'OTAN ne tolèrera pas la répétition d'un conflit analogue à celui qu'a récemment subi la Géorgie", a indiqué M.Mullen actuellement en visite de travail en Lettonie.
Selon la Commission européenne, les dégâts infligés à la Géorgie à la suite du conflit en Ossétie du Sud se sont élevés à environ 3,25 milliards de dollars.
Au terme d'une offensive géorgienne lancée début août contre Tskhinvali, la capitale sud-ossète, et qui a débouché sur un conflit armé de cinq jours avec la Russie, Moscou a reconnu l'indépendance de l'Abkhazie et de l'Ossétie du Sud le 26 août
LE PRESIDENT GEGORGIEN-PROPAGANTISTE, HORS PAIR, PUISQUE FORME AUX USA, AFFIRME- Source le monde :
Après le président russe mercredi, c'est au tour de Micheïl Saakachvili de publier une tribune dans le "Financial Times" où il accuse la Russie de vouloir "redessiner la carte de l'Europe par la force".
Après Dmitri Medvedev mercredi, c'est au tour du président géorgien d'utiliser les colonnes du Financial Times, jeudi 28 août, pour s'exprimer dans une tribune où il accuse la Russie de vouloir "redessiner la carte de l'Europe par la force".
Selon Mikheïl Saakachvili, la prochaine étape, dans la stratégie de Moscou, sera de provoquer un "changement de régime" en Géorgie, en le faisant tomber.
"L'enjeu de cette guerre n'a jamais été l'Ossétie du Sud ni la Géorgie", écrit le président géorgien.. »
Et, de s’acharner, s’enfoncer dans sa logique calomnieuse parce que paraoïaque :
Dans un entretien au « Monde », le président géorgien insiste sur le non-respect par Moscou du plan de paix, signé le 12 août.
Il dénonce le nettoyage ethnique « conduit » par la Russie.
Le président géorgien, Mikheïl Saakachvili, tire les leçons de la guerre éclair du mois d'août avec la Russie.
Les troupes russes se trouvent toujours en Géorgie.
Existe-t-il un problème d'interprétation du plan en six points, initié par M. Sarkozy
le 12 août ? –
Il y a un grand désaccord. Sa première étape prévoyait de revenir au statu quo d'avant le 7 août.
La Russie ne contrôlait qu'un tiers du territoire ossète.
Un autre tiers était un no man's land, et le troisième sous l'autorité du gouvernement géorgien.
Pour la Russie, le président géorgien est « un cadavre politique » :
"Pour nous, le régime actuel géorgien a fait faillite.
Le président Saakachvili n'existe plus pour nous.
Il est un 'cadavre politique'", a déclaré le président russe Dmitri Medvedev, mardi soir, dans une interview à la chaîne de télévision italienne RAI.
Le chef d'État géorgien est dans le collimateur de Moscou depuis le début du conflit. À la mi-août, le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov avait suggéré au président géorgien d'abandonner son mandat.
"Monsieur Saakachvili ne peut plus être notre partenaire et ce serait mieux s'il partait", avait-il expliqué.
Tbilissi a aussitôt dénoncé les propos de Dmitri Medvedev, parlant de "méthodes inacceptables pour un monde civilisé".
"Le président russe a perdu le contrôle parce que ses efforts en vue de renverser le gouvernement géorgien ont échoué", a déclaré le secrétaire du Conseil de sécurité géorgien.
"Nous avons besoin les uns des autres"
Par ailleurs, le président russe a appelé les États-Unis à "revoir" leurs relations avec Tbilissi et a estimé que l'Otan "perdrait plus" que Moscou à rompre ses relations avec la Russie.
Il a souligné que la Russie était prête à parler avec la communauté internationale "de toutes sortes de questions, dont le règlement post-conflictuel dans la région" du Caucase.
"Mais nous voudrions que la communauté internationale se rappelle qui a commencé l'agression et qui est responsable de la mort des gens", a ajouté Dmitri Medvedev, en référence à l'offensive militaire lancée le 8 août par la Géorgie dans sa république rebelle d'Ossétie du Sud.
L'opération a été contrée par une intervention massive de l'armée russe en territoire géorgien.
En outre, Dmitri Medvedev a assuré que Moscou ne craignait pas d'être exclu du G8. "Les appels qui se font entendre, je les explique exclusivement par la technologie électorale américaine pour faire monter une cote de popularité sur fond de conflit", a déclaré le président russe.
Le candidat républicain à la Maison-Blanche John McCain a affirmé dimanche que la Russie était devenue une "autocratie" et qu'il fallait l'exclure du G8, forum qui groupe les huit pays les plus industrialisés du monde, à savoir l'Allemagne, le Canada, les États-Unis, la France, la Grande-Bretagne, l'Italie, le Japon et la Russie.
Et de préciser : "Nous n'avons peur d'aucune exclusion du G8.
Nous estimons que le G8 actuel n'est pas capable de résoudre les problèmes sans faire appel à d'autres États", a-t-il observé.
"Mais il ne faut pas se faire d'illusions.
Nous avons besoin les uns des autres", a estimé le président russe… ».
SOURCE :
Pourtant, il a été prouvé :
Que, c’était bien le Président géorgien Mikhaïl SAAKACHVILLI, laquais des néoconservateurs paranoïaques Américains qui, est l’origine du conflit – déclaration de guerre - à l’encontre de l’Ours Russe :
27 septembre 2008
.."Deux parlementaires belges accusent la Géorgie du président Mikhaïl Saakashvili de "crimes de guerre" en Ossétie du sud
Deux parlementaires belges accusent la Géorgie du président Mikhaïl Saakashvili de "crimes de guerre" en Ossétie du sud, qualifiant Tbilissi d'"agresseur" dans le conflit intervenu au mois d'août dans le Caucase.
"Il y a bien eu crime de guerre"
"Il me semble effectivement établi qu'il y a bien eu crime de guerre", a indiqué jeudi le sénateur Josy Dubié (Ecolo) rejoint à cet égard par sa collègue Christine Defraigne, chef de groupe MR à la Haute assemblée.
Les deux parlementaires demandent une enquête internationale, estimant que la Cour pénale internationale doit être saisie.
Mme Defraigne et M. Dubié se sont rendus cinq jours en Ossétie du sud dans le cadre d'une mission qu'ils qualifient d'indépendante.
Dénonçant un contexte de désinformation, notamment dans le chef de la presse occidentale, ils ont organisé jeudi au parlement une conférence de presse intitulée "La vérité a ses droits". Les deux parlementaires pointent Tbilissi comme premier responsable du conflit avec la Russie.
Saakashvili "instigateur" de l'invasion
"Nous concluons sans hésitation, sans ambages que ce sont les Géorgiens qui sont l'agresseur", a notamment indiqué Christine Defraigne, présentant le président Saakashvili comme "l'instigateur de cette invasion brutale qui s'est accompagnée de violations du droit international".
Les deux sénateurs disent avoir recueilli suffisamment de témoignages et constaté sur place les conséquences de bombardements intensifs et répétés, dans le chef de l'armée géorgienne, visant des logements habités par des civils, un hôpital, un jardin d'enfants, des réfugiés en fuite, un bâtiment de la Croix rouge, une caserne abritant
des "peace-keepers russes", et le parlement ossète dont il ne reste plus que les murs.
Civils délibérément visés
"Le quartier juif à Tskhinvali, la capitale ossète, a été complètement détruit à l'exception de la synagogue", ont-ils relevé.
"Nous avons constaté la destruction quasi-complète d'un village dénommé Tsunar et d'un autre, Kmitogurovo", ont-ils précisé. Selon Josy Dubié, les traces de char repérées dans ce dernier village et les témoignages attestent de ce que les forces géorgiennes ont délibérément visé des habitations qui n'étaient pas vides, et qui n'abritaient pas de militaires.
Compte tenu de ce qu'ils ont vu et entendu, les parlementaires belges ont estimé "vraisemblables" le nombre de 1.500 victimes russes et ossètes avancé par les autorités locales.
Mme Defraigne et M. Dubié ont été en mesure d'examiner une partie de l'armement géorgien pris par les Russes.
Selon eux, il s'agit de matériel sophistiqué. Ils ont notamment du matériel léger américain, cinq chars T72 de dernière génération fabriqués en Ukraine, équipés de matériel de visée nocturne israélien, ont-ils dit.
Une enquête auto-financée et indépendante
Les sénateurs ont dit avoir pu agir en toute liberté durant leur enquête, et ont assuré avoir financé eux-mêmes leurs déplacements.
Ils ont tenu à remettre les pendules à l'heure quant aux origines du conflit en Ossétie du sud, l'exactitude des faits perpétrés et la responsabilité des exactions.
Les sénateurs ont dénoncé la "désinformation" à l'oeuvre dans les médias occidentaux mais aussi dans le chef de responsables politiques.
Une délégation de parlementaires belges composée d'Anne-Marie Lizin (PS), Jean-Luc Crucke (MR) et Sabine de Béthune (CD&V), avait dénoncé l'installation de l'armée russe en territoire géorgien.
"Chacun sa sensibilité, on ne peut pas la leur reprocher vu l'importance de la propagande organisée par M. Saakashvili", a indiqué Mme Defraigne, épinglant par ailleurs "une propension européenne à exprimer généralement une sensibilité plutôt pro-américaine".
"Nous ne sommes pas des agents du FSB"
Les deux élus se sont défendus d'exprimer un point de vue unilatéral pro-russe.
"Nous ne sommes pas des agents du FSB", ont-ils souligné, rappelant qu'ils avaient dénoncé la situation des droits de l'Homme en Russie et la politique poursuivie par Moscou en Tchétchénie.
"Et nous continuerons à le faire. Mais il faut aussi savoir reconnaître quand les choses évoluent dans le bon sens", ont-ils dit, soulignant par ailleurs qu'ils se sont rendus à Beslan durant leur séjour, où, selon eux, la population s'exprime aujourd'hui librement, n'hésitant pas, notamment, à critiquer ouvertement le Premier ministre Vladimir Poutine.
Mme Defraigne et M. Dubié sont d'avis que la Belgique devrait participer à la mission d'observation européenne en Géorgie, le ministre des Affaires étrangères, Karel De Gucht étant réticent à cet égard.
Les deux sénateurs divergent en revanche dans leur rapport quant à l'idée de reconnaître l'indépendance de l'Ossétie du sud comme l'a fait la Russie.
"C'est clairement non", a indiqué jeudi Josy Dubié justifiant son point de vue par la nécessité de respecter le droit international-M. Dubié rappelle qu'il était contre la reconnaissance du Kosovo-.
Mme Defraigne est plus nuancée.
"Peut-on retirer aux peuples le droit de vouloir disposer d'eux-mêmes pour autant que le processus soit pacifique?", s'interroge-t-elle. (belga/7sur7)
25/09/08 12h52 - De Persgroep Publishing. .."
Et, l’Europe soumise aux diktats des néoconservateurs Américains propose de financer la reconstruction, de la Géorgie alors que c’est bien son président, qui est à l’origine des des destructions et cela au détriment d’autres peuples et en plaine crise financière …
GEORGIE :
.."Conférence des donateurs pour la reconstruction du pays :
Les fonds collectés doivent être destinés à la Géorgie
« Dans son intégrité territoriale », donc aussi aux territoires abkhazes
et ossètes.
Les experts de l’ONU et de l’Union européenne ont évalué à environ deux milliards et demi d’euros les besoins de la Géorgie en aide humanitaire et en investissements sur les trois ans à venir.
Une conférence des donateurs se réunit ce mercredi à Bruxelles pour trouver des moyens adéquats. La Russie n’a pas été conviée à cette réunion.
Les représentants des soixante-sept Etats et de grandes institutions financières se penchent sur les dégâts causés à l’économie et aux habitations de Géorgie lors de la guerre contre la Russie, afin d'évaluer le montant nécessaire pour la reconstruction.
Nuance politique importante :
les fonds collectés doivent être destinés à la Géorgie « dans son intégrité territoriale », donc aussi aux territoires abkhazes et ossètes considérés par Moscou comme Etats indépendants.
Tout un symbole
Les sommes réunies seront dépensées en trois étapes :
d’abord, celles qui couvrent les besoins « immédiats », ensuite celles qui permettent de financer les « investissements clés », enfin celles qui doivent répondre aux « besoins supplémentaires ».
Un des objectifs prioritaires est de permettre à quelque soixante-cinq mille personnes déplacées par le conflit de retrouver des lieux d’habitation et des conditions de vie décentes.
Mais presque la moitié de ces personnes, chassée des régions séparatistes, n’a aucune perspective de retour.
Les Géorgiens commencent déjà à se reconstruire des habitations provisoires, le long de l’autoroute reliant Tbilissi à l’Ossétie du Sud. Tout un symbole, qui nécessite quand même un appui financier..."
SOURCE RFI
SUREALISTE !!!!
Par cette action, les technocrates et politiciens européens innocente, le véritable responsable de cette guerre, seul responsable des massacres, du génocide ethnique perpétrés sur les civils et réhabilite, favorise les régimes , les gouvernants despotiques, criminels.
Et, ensuite, ils viendront nous « vendre » l’EXPORTATION par les armes de la Démocratie dans les pays tels l’Afghanistan, l’Irak, etc.
Les « DEUX POIDS DEUX MESURES sont encore une fois, ici à l’œuvre !!!!